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▸ les 15 dernières parutions

03.11.2025 à 12:20

Afghanistan : un séisme de magnitude 6,3 fait au moins 20 morts

FRANCE24

Un tremblement de terre de magnitude 6,3 a frappé l'Afghanistan tôt lundi, faisant au moins 20 morts et plusieurs centaines de blessés et endommageant la célèbre mosquée bleue de Mazar-e Charif, selon les autorités. 

03.11.2025 à 12:14

Afghanistan : un séisme de magnitude 6,3 fait plus de 20 morts

FRANCE24

Au moins 20 personnes ont été tuées et 534 blessées dans un séisme de magnitude 6,3 ayant frappé le nord de l'Afghanistan dans la nuit de dimanche à lundi, deux mois après le tremblement de terre le plus meurtrier de l'histoire récente du pays.

03.11.2025 à 12:11

Nigeria : comment la population accueille-t-elle les propos de Donald Trump ?

FRANCE24

Donald Trump a répété dimanche 2 novembre ses menaces d'intervention militaire au Nigeria en raison de ce qu'il prétend être une persécution des chrétiens, après que le président Bola Ahmed Tinubu a suggéré une rencontre avec son homologue américain "dans les prochains jours".

03.11.2025 à 12:09

Mexique : manifestations après l'assassinat d'un maire à l'ouest du pays

FRANCE24

Des centaines de personnes ont manifesté dimanche 2 novembre au Mexique pour réclamer justice après l'assassinat, la veille au soir, du maire d'une grande ville de l'Etat du Michoacan (ouest) gangréné par le trafic de drogues.

03.11.2025 à 12:07

Sécheresse en Iran : le principal barrage en eau de Téhéran pratiquement à sec

FRANCE24

Téhéran, la capitale de l'Iran, risque de manquer d'eau potable d'ici deux semaines en raison d'une sécheresse historique qui a pratiquement mis à sec son principal réservoir, a mis en garde dimanche un média d'État. Siavosh Ghazi nous en dit plus.

03.11.2025 à 12:05

Flavie Flament ressuscite "Le Schmilblic" sur France 3

FRANCE24

"On l'attendait tellement ce moment! Il nous obsède, ce +Schmilblic+ depuis qu'on sait qu'on va le faire", a lancé l'animatrice en introduisant cette séquence dans le premier numéro de "Flavie en France", enregistré en public au marché de Libourne (Gironde). Dans le jeu, les candidats doivent deviner quel objet se cache derrière le surnom "Le Schmilblic" en posant des questions à l'animatrice. La toute première candidate du "Schmilblic" version 2025, Eva, 18 ans, a confessé qu'elle ne connaissait pas le jeu auparavant. Présentée par Guy Lux, sa version initiale a été diffusée sur l'ORTF en 1969/1970. Mais c'est un sketch de Coluche, au milieu des années 70, qui a inscrit "Le Schmilblic" dans la mémoire populaire. Ce sketch culte "est le principal souvenir que j'en avais moi-même quand on m'a proposé de l'animer", a déclaré Flavie Flament au journal Le Parisien/Aujourd'hui en France. "Et puis, il y a le mot en lui-même qui est passé dans le vocabulaire courant." Dans son sketch, Coluche incarnait plusieurs candidats, dont un vieil homme franchouillard à béret basque, papy Mougeot, qui n'arrivait pas à prononcer le nom "Schmilblic". Flavie Flament assure avoir "un de ses sosies" comme vrai candidat dans la version 2025 du jeu: "Je lui ai demandé s'il venait de Cajarc (la ville où est censé se dérouler le sketch de Coluche, ndlr) et il s'est marré. (...) Et je confirme que le mot +Schmilblic+ n'est pas si facile à prononcer quand on est à l'antenne". "Flavie en France" est une émission quotidienne itinérante d'une demi-heure diffusée en fin de matinée et enregistrée à travers l'Hexagone. Accompagnée de chroniqueurs, Flavie Flament y met en lumière les villes visitées, du patrimoine à la gastronomie en passant par les initiatives locales. L'animatrice a rebondi avec ce programme, après une seule saison aux commandes de "Télématin" sur France 2, en duo avec Julien Arnaud (parti sur BFMTV).

03.11.2025 à 12:05

Israël menace d'intensifier les attaques contre le Hezbollah dans le sud du Liban

FRANCE24

Israël a menacé dimanche d'intensifier ses attaques au Liban contre le Hezbollah, que le Premier ministre, Benjamin Netanyahu, a accusé de tenter de se "réarmer", exhortant Beyrouth à tenir ses engagements de le désarmer. Nous en parlons avec notre correspondant à Jérusalem Stéphane Amar.

03.11.2025 à 12:00

Des Gazaouis vivent "dans la terreur" près de "la ligne jaune"

FRANCE24

À Jabalia, des habitants de Gaza marchent près de "la ligne jaune", qui délimite la zone derrière laquelle l'armée israélienne s'est repositionnée depuis le cessez-le-feu. "Je vis ici avec ma famille de six personnes, mais nous vivons dans la peur", déclare un Gazaoui.

03.11.2025 à 11:57

Serbie : des dizaines de milliers d'habitants commémorent l'accident de Novi Sad

FRANCE24

Des dizaines de milliers de manifestants se sont rassemblés samedi à Novi Sad pour commémorer l'accident survenu il y a un an dans la gare de la deuxième ville de Serbie, à l'origine d'un vaste mouvement de contestation contre le pouvoir en place à Belgrade, et rendre hommage aux seize personnes décédées.

03.11.2025 à 11:50

Nigeria : Trump n'exclut rien en termes d'intervention militaire

FRANCE24

Donald Trump n'a exclu dimanche 2 novembre ni intervention terrestre ni frappes aériennes au Nigeria, au lendemain de sa menace d'y mener une action militaire si le pays le plus peuplé d'Afrique n'arrête pas ce que le président américain prétend être une persécution des chrétiens. Nous en parlons avec notre chroniqueur international Gauthier Rybinski.

03.11.2025 à 11:46

Netanyahu somme le gouvernement libanais de désarmer le Hezbollah

FRANCE24

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a averti dimanche qu'Israël "agirait si nécessaire" contre le Hezbollah si le Liban ne prenait pas des mesures pour empêcher le groupe chiite de se réarmer, comme le prévoit l'accord de cessez-le-feu conclu dans la région il y a un an.

03.11.2025 à 11:41

L'Afghanistan de nouveau frappé par un séisme, plus de 20 morts

FRANCE24

Au moins 20 personnes ont été tuées et 534 blessées dans un séisme de magnitude 6,3 ayant frappé le nord de l'Afghanistan dans la nuit de dimanche à lundi, deux mois après le tremblement de terre le plus meurtrier de l'histoire récente du pays. Nous en parlons avec notre correspondante Ondine De Gaulle.

03.11.2025 à 11:37

Poupées sexuelles: El Haïry souhaite des contrôles chez les acheteurs

FRANCE24

Shein a été signalé à la justice française pour la commercialisation de "poupées sexuelles d'apparence enfantine", que le géant de l'e-commerce asiatique assure avoir retiré de sa plateforme en France. Ces poupées "sont des objets pédocriminels sur lesquels des prédateurs s'entraînent, malheureusement, parfois avant de passer à des sévices sur des enfants", a dit Mme El-Haïry sur BFMTV. "Quand vous faites l'achat d'objets aussi ignobles que ça, (…) il y a un risque accru de passer à l'acte. Et donc, les enfants qui sont aux alentours ont vocation à être protégés", a-t-elle dit. Elle souhaite que les plateformes transmettent des "informations" sur les acheteurs, "ce qui nous permettra de pouvoir lancer un certain nombre de contrôles et voir s'il y a des enfants qui sont en danger". "Toutes les trois minutes, un enfant subit des violences sexuelles", a-t-elle rappelé. "Des hommes qui ont aujourd'hui ces poupées-là à leur domicile ou sur des lieux de travail" sont "potentiellement des pédocriminels qui passeront à l'acte sur des enfants", a-t-elle dit. "Mon enjeu aujourd'hui, c'est les fournisseurs" (de ces poupées) mais aussi "les hommes qui détiennent ces horreurs, ces ignominies, à leur domicile, et qui peut-être ont des enfants qui dorment dans la chambre d'à côté", a-t-elle dit. "Je veux qu'on aille jusqu'au bout de la chaîne cette fois-ci. Il y en a marre parce que ce ne sont pas des objets comme les autres", poursuit-elle. La Haute-commissaire "souhaite, pour protéger les enfants, parce qu'on sait à quel point la détention d'images pédocriminelles fait passer à l'acte (…) que la détention d'objets pédocriminels engage les mêmes responsabilités".

03.11.2025 à 11:33

Le Botswana va-t-il réussir à racheter De Beers, le géant mondial du diamant ?

Christophe DANSETTE

Le gouvernement botswanais veut prendre le contrôle de De Beers, groupe historique du diamant détenu à 85 % par Anglo Américain, sa maison mère. Un pari audacieux pour un pays dont l’économie dépend largement de cette pierre précieuse… mais qui subit aujourd’hui la crise du marché.

03.11.2025 à 11:23

Tanzanie : la présidente investie malgré les violences électorales

FRANCE24

Mme Hassan, 65 ans, avait été promue à la tête de la Tanzanie à la mort de John Magufuli en 2021. Saluée au début pour avoir assoupli les restrictions instaurées par son prédécesseur, elle a été accusée ensuite de réprimer ses détracteurs, notamment en amont du scrutin. "Moi, Samia Suluhu Hassan, jure que je remplirai mes fonctions de présidente de la République (...) avec diligence et un cœur sincère", a-t-elle affirmé. La cheffe de l'Etat, qui portait un voile rouge et un long vêtement noir, a également prôné dans un discours "l'unité et la solidarité". La cérémonie, qui n'était pas ouverte au public, contrairement aux précédentes, s'est tenue dans un espace ressemblant à un terrain de parade militaire de la capitale Dodoma, où quelques podiums dressés ne réussissaient pas à masquer un grand vide. Des chanteurs et chanteuses se sont succédé, avant l'arrivée de la présidente, pour chanter les louanges de "Mama Samia", son surnom parmi ses soutiens, devant un parterre de dignitaires et de militaires. Parmi les invités étaient notamment présents les présidents de la Zambie, de la Somalie et du Burundi. Mme Hassan a selon la commission électorale obtenu 97,66% des suffrages. L'élection a été qualifiée de "parodie de démocratie" par l'opposition, les deux principaux opposants ayant été soit emprisonné, soit disqualifié. L'opposition a également dénoncé d'importantes tricheries le jour de l'élection, mais aussi sur le taux de participation de 87% selon la commission électorale. Le scrutin a surtout été marqué par un fort niveau de violence, des manifestations anti-régime ayant été réprimées dans le sang et la Tanzanie mise sous cloche: l'internet reste coupé depuis mercredi, ce qui ralentit considérablement la sortie d'informations. Cadavres De premières photos et vidéos de cadavres, parfois empilés les uns sur les autres, mais aussi d'hommes en uniforme usant de leur arme à feu, commencent à apparaître sur les réseaux sociaux. Le service de fact-checking de l'AFP a pu vérifier que certaines d'entre elles n'avaient jamais été postées auparavant. Plusieurs éléments montrent qu'elles ont été prises en Tanzanie. Un porte-parole du principal parti d'opposition, Chadema, a estimé vendredi qu'au moins 700 manifestants hostiles au régime ont été tués en Tanzanie en trois jours. Un chiffre estimé crédible par une source sécurité, qui a alors mentionné "des centaines de morts". Le samedi, ce porte-parole, John Kitoka, a ensuite fait état d'au moins 800 tués. Des informations crédibles corroborent l'idée que des centaines, et peut-être même des milliers de personnes ont été tuées lors des violences électorales, a de son côté estimé une source diplomatique interrogée par l'AFP. D'après des "rapports préoccupants", la police utilise également le blocage d'internet pour "traquer les membres de l'opposition et les manifestants qui pourrait avoir des vidéos" de ses atrocités, a poursuivi cette source. "Vague de terreur" Les écoles restent fermées lundi et les transports publics à l'arrêt. La capitale économique Dar es Salaam et les principales villes du pays ont retrouvé un peu de calme depuis le week-end. Dimanche, le pape Léon XIV a indiqué prier "pour la Tanzanie" et évoqué les "nombreuses victimes" des affrontements ayant éclaté après les élections. L'élection présidentielle était couplée avec les législatives. Les autorités tanzaniennes nient toute violence. "Il n'y a eu aucun usage excessif de la force", a affirmé le ministre tanzanien des Affaires étrangères Mahmoud Thabit Kombo. "Je n'ai pas vu ces 700 morts". Le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres a réclamé vendredi une "enquête minutieuse et impartiale sur les accusations d'utilisation excessive de la force". Chadema a été exclu des élections et avait appelé au boycott du scrutin. Son chef Tundu Lissu, arrêté en avril, est jugé pour trahison, une accusation passible de la peine capitale. Luhaga Mpina, candidat à la présidentielle de l'ACT Wazalendo, autre parti d'opposition, a, lui, été disqualifié. Amnesty international avait dénoncé une "vague de terreur" marquée par "des disparitions forcées, des arrestations arbitraires, des actes de torture et (...) des exécutions extrajudiciaires" avant le scrutin.
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