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▸ les 15 dernières parutions

21.11.2025 à 23:41

Après le Rwanda, l'émir du Qatar en visite en République démocratique Congo

Fatimata WANE

Après sa visite au Rwanda, l'émir du Qatar a atterri dans la capitale Kinshasa pour une brève escale. Si la venue du Qatar a pour objectif de booster les investissements dans le pays, la question sécuritaire de l’est congolais a aussi été au menu. Le Qatar sert de médiateur dans les négociations entre les rebelles du M23 et le gouvernement congolais.

21.11.2025 à 23:32

Pas d'auteurs, pas de festival ?

Boycottée par des centaines d'auteurs et de maisons d'édition, l'édition 2026 du Festival d’Angoulême est compromise. Quel avenir pour ce festival? On en parle avec Lisa Mandel, autrice et co-fondatrice de la maison d'édition Exemplaire. 

21.11.2025 à 23:22

Rokia Traoré : "Je suis née libre", un livre manifeste de la chanteuse malienne

FRANCE24

Rokia Traoré, chanteuse et guitariste malienne de renommée internationale, publie "Je suis née libre" (JC Lattès). Une autobiographie puissante dans laquelle elle revient sur son parcours artistique, son engagement culturel, et une bataille judiciaire qui a marqué sa vie. Entretien exclusif dans le Journal de l’Afrique

21.11.2025 à 23:13

L1: L'OM corrige Nice et repasse en tête

FRANCE24

Jeudi, Roberto De Zerbi s'était dit heureux d'avoir pu bien travailler pendant la trêve internationale, mais on ne savait pas trop quelles conclusions en tirer, les quelques retours de blessures (Balerdi, Kondogbia, Weah, Nadir) étant compensés par de nouveaux pépins (Aguerd, Murillo). Mais les joueurs du technicien italien ont répondu sur le terrain avec une prestation très consistante, qui doit leur offrir une bonne dose de confiance avant de se frotter à Newcastle mardi, pour ce qui ressemble à une dernière carte à abattre en Ligue des champions. En attendant, les Marseillais repartent de la Côte d'Azur installés sur la première marche du podium, dont seul le Paris SG pourra les déloger, en cas de succès samedi soir face au Havre. Pour Nice en revanche, les affaires ne s'arrangent pas. Neuvièmes avant les autres matchs de cette 13e journée, les Aiglons viennent en effet d'enchaîner trois défaites consécutives en championnat et ont très souvent paru totalement impuissants vendredi. Après un début de match équilibré et bruyamment animé par les ultras niçois, qui fêtaient le 40e anniversaire de leur groupe, l'OM a en effet assez vite pris les devants. Porté notamment par l'envie de Benjamin Pavard, revanchard après une période difficile, ou l'activité de Geoffrey Kondogbia, qui retrouvait le terrain après une longue absence, l'équipe de De Zerbi a su mettre la pression sur la très jeune et parfois fébrile défense centrale niçoise. Impitoyable Greenwood L'ouverture du score a été signée Pierre-Emerick Aubameyang, plus vif et plus attentif que Melvin Bard pour reprendre un ballon dévié par Pavard sur un corner frappé par Mason Greenwood (1-0, 11e). L'Anglais a ensuite marqué lui-même le deuxième but marseillais d'une frappe du droit déviée par Bard, qui a vécu 45 premières périodes très pénibles (2-0, 33e). Le début de bagarre générale qui a suivi le but de Greenwood a ensuite brièvement relancé les Aiglons, qui ont eu plusieurs fois l'occasion de marquer (Terem Moffi 42e et 45e+2, Bard 45+3) mais ont finalement surtout montré que Jeffrey De Lange était un gardien remplaçant tout à fait fiable. Juste avant la pause, Igor Paixao, accompagné par Aubameyang, a de son côté saboté un deux-contre-un qui aurait pu permettre à l'OM de boucler définitivement l'affaire, et le match était donc encore ouvert au retour des vestiaires. Il ne l'est resté que quelques minutes, le temps pour De Lange de mettre à nouveau Moffi en échec, puis pour Greenwood d'enfoncer le clou. Contrairement à Moffi, l'Anglais est impitoyable: à la 53e minute, il a laissé Juma Bah sur place d'un crochet et d'une accélération avant de battre Yehvann Diouf d'une impeccable frappe croisée du droit (3-0). Cinq minutes plus tard, Timothy Weah, décidément plus que précieux, alourdissait la marque au bout d'une jolie action animée par Aubameyang et Emerson Palmieri (4-0) et l'affaire était entendue. Mohamed-Ali Cho a bien sauvé l'honneur de la tête, bien servi par Sofiane Diop (4-1, 63e), mais l'OM a encore sévi quand Aubameyang a montré à Paixao comment on gère un deux-contre-un. Pas rancunier, le Gabonais a servi le Brésilien et Marseille s'est imposé 5-1. En fin de match, un feu d'artifice tiré par les ultras niçois a interrompu le match quelques instants, mais tout était réglé. On sait que la Coupe d'Europe ne réussit pas aux Aiglons et vendredi, l'adversaire était clairement de calibre européen.

21.11.2025 à 22:45

Wall Street termine en hausse, espère une nouvelle baisse de taux de la Fed

FRANCE24

Le Dow Jones a pris 1,08%, l'indice Nasdaq 0,88% et l'indice élargi S&P 500 a gagné 0,98%. Sur la semaine, les principaux indices de la place américaine restent toutefois en recul, d'environ 2%. Vendredi, avant l'ouverture de la place américaine, le président de la Fed de New York John Williams a déclaré "continue(r) de voir de la marge pour un nouvel ajustement à court terme" des taux directeurs. A moins de trois semaines de la dernière réunion de la Réserve fédérale de l'année, sa déclaration a immédiatement fait réagir les investisseurs, qui ont conclu que la balance penchait à nouveau vers une détente monétaire en décembre. Désormais, une nette majorité d'investisseurs parient sur une baisse de taux en décembre, contre une minorité un jour plus tôt, selon l'outil de veille CME FedWatch. "Cela a certainement été un facteur important dans le rebond d'aujourd'hui", commente auprès de l'AFP Angelo Kourkafas, d'Edward Jones, notant "une certaine sensibilité autour des taux". L'indice Russell 2000, qui réunit 2.000 PME, a avancé de 2,80%. Petites et moyennes entreprises sont traditionnellement soutenues par un environnement de taux plus bas et une conjoncture économique positive. Reste que "le fait que nous n'allions pas obtenir certaines données clés ne facilite pas la tâche" des membres de la Fed. Le CPI, mesure phare d'inflation aux Etats-Unis, d'octobre et le rapport sur l'emploi pour le même mois ne seront jamais publiés en raison de la longue paralysie budgétaire qu'a connue le pays. Ces mêmes données pour le mois de novembre ne seront connues qu'après la réunion de décembre de la Réserve fédérale. Pour Angelo Kourkafas, "la tendance restera à la baisse des taux jusqu'en 2026, de manière progressive et lente". Dans ce contexte, sur le marché obligataire, le rendement à échéance dix ans des emprunts de l'Etat américain se détendait à 4,06% vers 21H25 GMT, contre 4,08% la veille en clôture. En parallèle, les investisseurs semblent avoir modéré leurs craintes quant à la possibilité d'une bulle financière autour de l'intelligence artificielle (IA). "Une partie de ce scepticisme pourrait persister, les investisseurs commençant à se demander un peu plus si l'IA peut générer des profits suffisants pour justifier toutes ces dépenses importantes", anticipe M. Kourkafas. Selon lui, l'enthousiasme "n'est pas terminé" même si "les valorisations ont probablement atteint leur plafond". Côté entreprises, les valeurs associées au secteur des cryptoactifs ont plutôt résisté au recul du bitcoin, à l'image des plateformes d'échange Coinbase (+0,94%) et Robinhood (+1,03%). Le groupe de prêt-à-porter Gap (+8,24% à 24,96 dollars) a bondi, porté par des ventes en hausse lors du troisième trimestre, notamment grâce à une campagne publicitaire virale avec le groupe de musique Katseye.

21.11.2025 à 22:40

Tournée africaine : Emmanuel Macron en visite en Afrique du Sud avant le début du G20

FRANCE 24

Emmanuel Macron est arrivé vendredi en Afrique du Sud pour la deuxième étape de sa tournée africaine après l'île Maurice. Le président français est sur place pour renforcer les liens économiques avec ce pays ainsi que rendre hommage à la lutte contre l'apartheid, avant l'ouverture samedi du sommet du G20.

21.11.2025 à 22:37

Bolivie : le chef de la lutte antidrogue annonce le retour imminent de la DEA américaine

FRANCE24

Membre du gouvernement du nouveau président de centre-droit, Rodrigo Paz, il détaille la future stratégie antidrogue de la Bolivie, troisième producteur mondial de cocaïne, après la Colombie et le Pérou, selon l'ONU. La nouvelle administration veut rompre avec les politiques menées sous les gouvernements de gauche d'Evo Morales (2006-2019) puis de Luis Arce (2020-2025), promettant des changements radicaux sur les plans politique, économique, social et diplomatique. L'éradication des cultures de coca, matière première de la cocaïne, constitue l'un des axes de cette stratégie, tout comme le combat contre les réseaux criminels. La Bolivie entend relancer la coopération avec Washington, mais aussi avec d'autres pays. DEA de retour La DEA n'est plus présente en Bolivie depuis la rupture des relations bilatérales en 2008, lorsqu'Evo Morales a expulsé l'ambassadeur américain, l'accusant de soutenir un mouvement de droite cherchant, selon lui, à diviser le pays andin. L'arrivée au pouvoir de Rodrigo Paz début novembre a relancé les relations entre les deux pays, ouvrant la voie au retour de l'agence antidrogue américaine. La DEA va revenir "très prochainement parce qu'il existe un engagement politique et c'est le plus important", assure Ernesto Justiniano. Selon lui, l'une des principales contributions attendues de l'agence américaine sera la reprise du partage d'informations. "La coopération internationale est fondamentale", a-t-il jugé, appelant à une coopération plus étroite avec les États-Unis, mais aussi les pays de la région et l'Europe. "Tous ceux qui souhaitent coopérer avec nous sont les bienvenus, et nous allons coopérer avec le monde entier", ajoute le vice-ministre. "Nous ne serons plus un pays isolé, un pays qui se regarde le nombril et agit uniquement par nécessité politique". Ernesto Justiniano, 56 ans, qui avait déjà exercé ces mêmes fonctions au début des années 2000, affirme vouloir intensifier l'éradication des cultures de coca illégales et renforcer la lutte contre le narcotrafic. "Chiffres exorbitants" La Bolivie compte 31.000 hectares de cultures de coca, dont seulement 22.000 reconnus légales, selon les Nations unies. Il n'existe pas de données actualisées sur le potentiel de production de cocaïne. Ernesto Justiniano évoque des niveaux alarmants. "Les chiffres sont exorbitants", affirme-t-il, estimant que la production annuelle pourrait atteindre aujourd'hui quelque "300 tonnes". Selon lui, il fallait autrefois environ 345 kg de feuilles de coca pour produire un kilo de cocaïne, contre 140 à 160 kg aujourd'hui, en raison de procédés plus modernes. "Avec un hectare de coca illégale, je peux produire plus du double de cocaïne qu'il y a vingt ans", souligne-t-il. Le pays manque toutefois de moyens pour faire face à cette hausse. "Notre capacité réelle de déploiement est minimale", admet le chef antidrogue, évoquant des hélicoptères et des avions antidrogue immobilisés faute d'assurance ou de pièces de rechange. "Toutes les incursions (...) se font par voie terrestre", assure-t-il. "Et une fois sur place, ils doivent rejoindre les points suivants à pied, faute même de carburant pour les véhicules". La Bolivie traverse sa pire crise économique en quarante ans, aggravée par une pénurie de dollars. Quelques jours après son investiture, le président Rodrigo Paz a accusé la gauche d'avoir laissé derrière elle un État s'apparentant à un "cloaque" d'une ampleur "inattendue".

21.11.2025 à 22:23

Le Sénat s'oppose à la généralisation du Nutri-score

FRANCE24

Par 212 voix contre 117, la chambre haute s'est opposée à un article introduit à l'Assemblée nationale début novembre. La mesure proposait de généraliser le Nutri-score sur les emballages, cette échelle de notation des aliments pouvant aller de A à E. Les entreprises qui refuseraient d'afficher cette information seraient pénalisées d'une taxe de 5% sur leur chiffre d'affaires, dont le produit serait affecté à l'Assurance maladie. "L'information, oui; la taxation, non", s'est justifié le sénateur Les Républicains Laurent Somon. La ministre de la Santé Stéphanie Rist a aussi soutenu la suppression de cette mesure, avançant une "incompatibilité avec le droit européen". La gauche a regretté ce retour en arrière, alors que la suppression de ce dispositif avait été repoussée samedi en commission des Affaires sociales. Il est "largement prouvé que le Nutri-score modifie les comportements dans le bon sens et notamment pour l'alimentation des enfants. Le généraliser est un véritable outil de santé publique", a appuyé le sénateur Bernard Jomier (groupe socialiste). L'association UFC-Que choisir a fait part de sa "déception" car il s'agit d'"un outil de protection des consommateurs". "Encore une fois, le Sénat a préféré défendre les intérêts industriels plutôt que la santé publique et c'est un problème", a-t-elle ajouté dans un communiqué à l'AFP. Les sénateurs ont par ailleurs adopté une taxe sur les boissons énergisantes alcoolisées, ciblant notamment de nouveaux produits particulièrement prisés des jeunes comme la boisson "Vody". Cette taxe, qui avait déjà été adoptée par les députés, a été élargie par les sénateurs pour prendre en compte certaines boissons mélangeant alcool fort et ingrédients sucrés et aromatises. La chambre haute a également adopté un amendement du sénateur Renaissance Xavier Iacovelli pour instaurer une taxe sur les sucres ajoutés dans les produits alimentaires destinés aux nourrissons et aux enfants en bas âge. Ces votes sont loin d'être définitifs car les débats sur ce budget de la Sécu vont se poursuivre entre les deux chambres du Parlement jusqu'au début du mois de décembre au plus tôt.

21.11.2025 à 22:11

Le gouvernement américain demande le démantèlement de l'activité publicité de Google

FRANCE24

Les représentants du gouvernement ont fait cette demande en conclusion de leur plaidoirie dans le procès sur les outils de publicité en ligne développés par Google et utilisés par les éditeurs de sites internet pour vendre des espaces publicitaires. Le département de la Justice, ainsi que plusieurs Etats américains, reprochent à Google de créer des situations de monopole sur le marché de la publicité en ligne, en agissant de "manière illégale et évoluant sans arrêt depuis une décennie". Selon eux, le groupe contrôle plusieurs aspects essentiels de ce marché, en particulier les plateformes où les sites peuvent vendre leurs espaces publicitaire et celle où les transactions sont réalisées, ayant ainsi la main sur une immense demande publicitaire. La décision du juge devrait être connue dans les prochains mois. D'après des documents internes, Google se compare ainsi à Goldman Sachs ou Citibanks possédant Wall Street. "Nous devons régler le problème et nous estimons que la meilleure solution est de démanteler le monopole de Google, ce qui créera un nouveau concurrent", a justifié sur X la procureure adjoint en charge du dossier, Gail Slater. Google estime pour sa part qu'une telle proposition serait un abus de pouvoir de la part du gouvernement qui déstabiliserait le marché, assurant que ses outils apportent efficacité et innovation, et que séparer les différentes activités est techniquement impossible. Selon Laurel Kilgour, analyste pour le American Economic Liberties Project présente à l'audience, le juge a exprimé ses inquiétudes sur le fait qu'une procédure d'appel puisse inverser sa décision dans plusieurs années. Cette audience était la conséquence d'une décision d'un autre juge fédéral cette année qui avait conclu que Google avait volontairement créé les conditions d'un monopole sur ces outils du marché publicitaire. Il s'agit désormais de trouver les solutions les plus efficaces pour y remédier, le démantèlement étant le choix le plus extrême. Il s'agit du deuxième procès anti-monopole visant le groupe californien cette année. En septembre, un juge avait rejeté une demande similaire du ministère de la Justice, concernant cette fois l'activité de recherche en ligne, que le gouvernement souhaitait être séparée du reste du groupe. Des procédures qui entrent dans le cadre d'une offensive plus large de la part du gouvernement pour tenter de remettre de la concurrence dans le secteur numérique, sans grand résultat jusqu'ici.

21.11.2025 à 21:46

La COP30 entre en prolongation, engluée dans le sujet des énergies fossiles

FRANCE 24

Les négociations climatiques de la COP30 au Brésil entre près de 200 pays sont entrées vendredi en prolongation après deux semaines de négociations. Et pour le moment sans compromis en vue sur les énergies fossiles – pétrole, gaz et charbon.

21.11.2025 à 21:37

Coupe Davis: l'Italie maîtrise la Belgique et s'offre une troisième finale de rang

FRANCE24

Leader de la sélection italienne en l'absence de Jannik Sinner (2e mondial) et Lorenzo Musetti (8e), Flavio Cobolli (22e) a survécu à sept balles de match contre le N.1 belge Zizou Bergs (43e), finalement vaincu 6-3, 6-7 (5/7), 7-6 (17/15) en 3h04. Plus tôt dans la journée, Matteo Berrettini (56e) s'était imposé beaucoup plus rapidement (6-3, 6-4) contre Raphaël Collignon (86e). Contre Bergs, Cobolli a exploité son unique balle de break du premier acte pour s'adjuger la manche 6-3. Dans ce duel de redoutables serveurs, aucun des deux joueurs n'a concédé la moindre balle de break dans le deuxième set, que Bergs a fini par arracher 7/5 au tie-break. De plus en plus entreprenant, le Belge s'est procuré trois balles de break en début de troisième set et une quatrième à 4-4. Mais Cobolli a planté quatre premiers services supersoniques pour écarter le danger, puis il s'est offert deux premières balles de match dans le jeu suivant. Deux services gagnants du droitier flamand, qui n'a pas réussi ensuite à convertir sa cinquième balle de break à 5-5, ont conduit les deux joueurs à un nouveau tie-break. Haletant, le jeu décisif s'est conclu au bout de 32 points sur un ultime service gagnant de Cobolli. L'Italie a ainsi remporté sa treizième rencontre d'affilée en Coupe Davis, une compétition dans laquelle elle n'a plus connu la défaite depuis septembre 2023. La sélection de Filippo Volandri est la première à disputer trois finales de rang depuis l'Australie, qui avait soulevé le Saladier d'argent en 1999 avant de perdre le match pour le titre les deux années suivantes. Elle défiera en finale l'Espagne, sextuple gagnante de la Coupe Davis, ou l'Allemagne, emmenée à Bologne par le N.3 mondial Alexander Zverev. Les deux nations s'affrontent samedi à partir de midi dans la seconde demi-finale. L'Italie a gagné sept de ses treize matches contre l'Espagne en Coupe Davis mais perdu six de ses huit duels contre l'Allemagne.

21.11.2025 à 21:23

Des touristes déçus par une fausse pub utilisant l'IA sur un marché de Noël au palais de Buckingham

FRANCE24

"On est venu en pensant que c'était vrai", explique cette femme de 25 ans. "Je pensais que j'avais de la chance" de pouvoir voir le premier marché de Noël organisé devant la résidence royale londonienne, "et nous avons été très tristes quand nous avons réalisé qu'il n'y avait rien". Plusieurs messages posté en ligne et qui ont circulé dans le monde entier dans plusieurs langues, dont le thaï, le portugais, l'arabe ou l'arménien, promettaient "une expérience de Noël royale inédite". En réalité, la photo illustrant ce faux évènement était une image d'un marché de Noël - avec ses petites cabanes en bois et ses lumières festives - générée par l'IA. "Je l'ai vue sur des reels Instagram et TikTok. Ca disait qu'il allait y avoir un marché de Noël pour la première fois au palais de Buckingham", raconte aussi Emma Paxton, ingénieure de 26 ans originaire de Boston aux Etats-Unis. Lucas, un Français vivant à Londres affirme lui aussi avoir "entendu beaucoup parler" via des amis vivant à l'étranger de ce soi-disant marché. "Je viens juste de découvrir maintenant que ça vient de l'IA", dit-il. Plusieurs internautes ont mis en ligne des vidéos pour révéler la supercherie, notamment des blogs de voyage, comme Love and London. L'image générée par l'IA a commencé à circuler en septembre après que le Royal Collection Trust (RCT), qui organise les visites du palais de Buckingham, a évoqué l'ouverture d'une petite boutique de Noël au palais. Le RCT a publié un message d'avertissement sur son site indiquant que cette boutique n'était "pas un marché de Noël" et qu'"il n'y aura pas de marché de Noël au palais de Buckingham". Vendredi, des affiches près du palais indiquaient la direction de cette boutique de Noël, qui vend des souvenirs tels que des chocolats et des boîtes à thé à l'effigie de la famille royale.

21.11.2025 à 21:13

Brésil: la défense de Bolsonaro demande à ce qu'il purge chez lui ses 27 ans de prison

FRANCE24

M. Bolsonaro, 70 ans, est assigné à résidence depuis août et est menacé d'une incarcération dans les prochains jours. L'ancien président d'extrême droite (2019-2022) a été déclaré coupable en septembre d'avoir été le chef d'une "organisation criminelle" ayant conspiré pour assurer son "maintien autoritaire au pouvoir" après la victoire de son rival de gauche, Luiz Inacio Lula da Silva, lors du scrutin d'octobre 2022. La Cour suprême a formellement rejeté la semaine dernière l'appel interjeté par M. Bolsonaro de sa condamnation. Mais sa défense a encore la possibilité d'appels supplémentaires jusqu'en début de semaine. Elle a fait savoir vendredi qu'elle allait "déposer les recours appropriés" mais cherche d'ores et déjà à lui éviter la prison. Selon la requête adressée par ses avocats à la Cour suprême, l'ex-chef de l'Etat se trouve dans un état de santé "profondément affaibli" et une incarcération "aura de graves conséquences et représente un risque pour sa vie". Pour la défense, lui accorder de purger sa peine à domicile serait une décision à "caractère humanitaire" et l'"unique mesure propre à préserver la dignité humaine, la santé et la vie même du condamné". L'ex-président souffre notamment des séquelles d'un coup de couteau reçu à l'abdomen en 2018, qui lui a valu plusieurs interventions chirurgicales. Il a été en outre diagnostiqué en septembre d'un cancer de la peau et est saisi fréquemment de violentes crises de hoquets, selon ses proches. Il a déjà été "admis trois fois à l'hôpital depuis qu'il est assigné à résidence - deux fois pour des examens et une fois pour une urgence médicale", rappellent ses avocats. Pour eux, ses besoins de suivi médical sont "absolument incompatibles avec un environnement carcéral ordinaire". Ils ne manquent pas de souligner qu'en mai l'ancien président Fernando Collor de Mello (1990-1992), condamné à huit ans de prison pour corruption, a été autorisé par la Cour à purger sa peine à domicile pour raisons de santé. Détente avec Washington "Quelqu'un veut voir Bolsonaro mort, c'est la réalité", a dit devant la presse vendredi le député de droite Nikolas Ferreira, après lui avoir rendu visite chez lui. Evoquant les problèmes de santé de l'ancien président, il a toutefois assuré qu'il a un "mental fort". Selon le parquet, le projet de coup d'Etat ourdi par le camp Bolsonaro a échoué faute de soutien de hauts responsables militaires. Il prévoyait notamment l'assassinat de Lula, de son vice-président Geraldo Alckmin et du juge de la Cour suprême chargé de l'affaire, Alexandre de Moraes. La haute juridiction a condamné mardi à plus de vingt ans de prison trois militaires et un policier, reconnus coupables d'avoir planifié ce triple assassinat dans le cadre d'une opération dénommée "Poignard vert et jaune" (les couleurs du Brésil). L'affaire Bolsonaro a empoisonné les relations bilatérales avec les Etats-Unis du président Donald Trump, dont Jair Bolsonaro est un allié. Washington a notamment infligé une surtaxe punitive de 40% sur une partie des produits brésiliens exportés vers les Etats-Unis, invoquant une "chasse aux sorcières" contre M. Bolsonaro. Des sanctions individuelles ont également été prises, visant notamment le juge Moraes. Mais les relations entre Washington et Brasilia ont donné récemment des signes de détente, symbolisée par la rencontre entre Lula et Donald Trump fin octobre en Malaisie. Le gouvernement américain, qui a engagé des négociations avec les autorités brésiliennes, a annoncé jeudi qu'il allait lever les droits de douane élevés imposés sur un certain nombre de produits agricoles en provenance du Brésil. Sont concernés la viande de bœuf, le café ou les tomates au moment où le locataire de la Maison Blanche est sous pression pour faire baisser le coût de la vie pour les Américains.

21.11.2025 à 20:41

Foot: accord de principe pour que les Bleus retrouvent le Stade de France en 2026, selon la FFF

FRANCE24

"Avec GL Events, nous nous sommes mis d'accord sur des termes généraux qui nous permettront de passer à une phase de contractualisation de notre relation", a dit le patron de la "3F" à l'issue d'un comité exécutif qui a validé la décision. Ces derniers mois, les Bleus ont joué leurs ultimes matches à domicile de qualifications au Mondial-2026 au Parc des Princes à Paris. "C'est une bonne nouvelle puisque, après la fédération de rugby, c'est la fédération française de football qui devrait retrouver son écrin", a-t-il poursuivi. Après deux années de procédures et de recours sans succès des deux anciens concessionnaires Bouygues et Vinci, en place depuis 1995, GL Events s'est vu accorder en août et pour 30 ans la gestion du Stade de France, dont l’État reste propriétaire. Le groupe, qui s'était déjà accordé avec la Fédération française de rugby (FFR) pour cinq matches par an, n'était en revanche pas parvenu à s'entendre jusqu'à présent avec la FFF, insatisfaite jusque-là des conditions financières qui lui étaient réservées. Philippe Diallo a ainsi évoqué "une amélioration extrêmement sensible des conditions économiques réservées à la Fédération et à l'équipe de France pour jouer au Stade de France", sans toutefois préciser les montants. Dans cet accord à finaliser, il est prévu une première phase jusqu'en 2030, durant laquelle des travaux doivent être faits au Stade de France, la FFF ayant la possibilité d'organiser des matches des Bleus ailleurs si nécessaire. A partir de 2030 et jusqu'au terme de la concession, elle devra organiser à Saint-Denis au moins six matches des Bleus en deux ans ainsi que les finales de la Coupe de France. Par ailleurs, la Fédération n'a toujours pas l'assurance de l'État de pouvoir programmer la prochaine finale de la Coupe de France le samedi 23 mai 2026 à Saint-Denis. "Des travaux du Grand Paris, sur le RER B, doivent commencer ce week-end-là. Ma demande, c'est de savoir si on est capables de commencer les travaux après la finale pour pouvoir accueillir les spectateurs", a expliqué le président de la Fédération. Si la FFF devait délocaliser la finale de la Coupe, elle devrait attendre "les quarts, voire les demi-finales" pour connaître les noms des clubs encore en lice et ainsi faire en sorte que le choix "préserve l'équité sportive", a-t-il conclu.
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