LePartisan.info À propos Podcasts Fil web Écologie Blogs Revues MÉDIAS
Retrouvez toute l'actualité internationale en continu - France 24
Souscrire à ce flux
Chaîne de service public - Actualité internationale.

Accès libre

▸ les 15 dernières parutions

10.11.2025 à 15:08

Présidentielle 2020 : Donald Trump gracie Rudy Giuliani et plus de 70 autres personnes

FRANCE 24

Selon un texte rendu public lundi, le président américain a gracié 77 personnes liées à la tentative d'inverser le résultat de la présidentielle de 2020, dont l'ancien maire de New York Rudy Giuliani. Parmi les autres bénéficiaires de cette grâce "complète, totale et inconditionnelle" figurent Mark Meadows, ancien chef de cabinet et des militants républicains.

10.11.2025 à 14:59

Présidence de la FIA: le système électoral attaqué devant la justice française

FRANCE24

"Il y a quelque chose de pourri au royaume de la FIA", a estimé lors de l'audience son avocat, Robin Binsard, selon qui Laura Villars, qui souhaitait déposer sa candidature, "a pu constater une multiplication des malversations et des fraudes en vue d'empêcher toute autre candidature que celle du président sortant." La Suissesse de 28 ans souhaitait en effet déposer sa candidature à la tête de la FIA en vue de l'élection qui aura lieu le 12 décembre. Mais le règlement du scrutin impose de présenter une liste de vice-présidents issus des différents continents. Or une seule personnalité venant d'Amérique du Sud est éligible et elle a accepté de figurer sur la liste du président sortant, l'Emirati Mohamed Ben Sulayem. Sans autre vice-président potentiel issu du continent, les autres candidats n'ont pas pu déposer leur dossier. Laura Villars a donc saisi en référé le TGI de Paris -la FIA étant une association française- pour demander la suspension des élections. Le tribunal rendra sa décision le 3 décembre. "Autocratie" Lundi, Me Binsard a pointé "une concentration des pouvoirs extrêmement dangereuse dans cette association", entre les mains du président. Outre une incohérence de date sur la publication par M. Ben Sulayem de sa liste en vue des élections, Me Binsard a aussi souligné que deux des personnes y figurant ne remplissaient pas les critères d'éligibilité. "Il n'y a aucune transparence, aucune éthique, aucune démocratie", a-t-il déploré. "On a atteint un niveau d'autocratie et de violation des règles qui est inédit." Benjamin Fontani et Mehdy Kadri, deux avocats mandatés par l'Américain Tim Mayer, ancien commissaire sportif de la FIA qui a dû retirer sa candidature pour les mêmes raisons, sont intervenus pour appuyer la demande de Laura Villars. Ils ont eux aussi déploré "le système un peu mafieux" mis en place. En réponse, les avocats de la Fédération ont insisté sur la "transparence absolue du régime des élections, le même depuis 2011". "Tout le reste n'est qu'une pure invention, pure fantaisie", ont-il affirmé. Selon eux, ce sont Mme Villars et M. Myer qui n'ont pas réussi à convaincre d'autres candidats sud-américains potentiels. "Beaucoup de ressentiment" "On sent qu'il y a beaucoup de ressentiment de la part de ces deux candidats, ils mènent une bataille avec un véritable acharnement médiatique pour essayer de discréditer la FIA", a estimé à l'audience l'un des conseils de la fédération. "Depuis le début de cette affaire on essaie de monter en épingle une histoire complètement rocambolesque. Il y a juste eu une application strictement mécanique des statuts et du règlement intérieur qui a entraîné cette candidature unique." Les avocats de la fédération ont également souligné qu'une suspension des élections entraînerait une paralysie du fonctionnement de la FIA, qui ne pourrait plus organiser de compétitions, mettant notamment en péril le Championnat du monde de Formule 1. Un préjudice de "plusieurs centaines de millions d'euros". A l'issue de l'audience, qui a duré un peu plus d'une heure, Laura Villars s'est dite "très satisfaite de tous les points que mon équipe a soulevés. J'espère que on pourra avoir des réponses concrètes d'ici le 3 décembre et je suis aussi satisfaite d'avoir une décision avant l'élection". Me Binsard a lui noté qu'en cas de suspension des élections, "les statuts prévoient l'hypothèse de la vacance du pouvoir et permettent au président du Sénat (de la FIA) d'assurer les affaires courantes dans l'attente d'une nouvelle élection dans les quatre mois". Sollicités par l'AFP à l'issue de l'audience, les avocats de la FIA n'ont pas souhaité réagir.

10.11.2025 à 14:53

Climat : après la lutte, l'adaptation ? Parlons-en avec Féris Barkat et Cyril Dion

Pauline PACCARD

Aujourd'hui dans "Parlons-en", on s'interroge sur l'utilité de la COP30, alors même que l'on ne tient pas les engagements des conférences précédentes. Pour en parler, nous recevons deux militants incarnant deux générations de lutte pour le climat, qui ne se découragent pas malgré les signaux d'alerte qui s'accélèrent depuis les dix ans qui nous séparent de la COP21. Avec Féris Barkat, cofondateur de Banlieues Climat et enseignant à la Sorbonne et Cyril Dion, réalisateur, militant et auteur de "La lutte enchantée : comment garder espoir (et lutter !) dans un monde qui bascule" (2025).

10.11.2025 à 14:52

Nicolas Sarkozy va sortir de prison après vingt jours d'incarcération

FRANCE24

Nicolas Sarkozy va sortir de prison ce lundi. La cour d'appel de Paris a ordonné la remise en liberté de l'ex-président, incarcéré depuis vingt jours après sa condamnation dans l'affaire du financement libyen de sa campagne présidentielle.

10.11.2025 à 14:41

Face aux menaces d'ingérences russes, l'UE veut muscler ses aides aux médias

FRANCE24

Dans ce document, consulté lundi par l'AFP, l'exécutif européen accuse Moscou de "chercher à éroder la confiance dans les systèmes démocratiques" en diffusant des "informations trompeuses" et en "falsifiant des faits historiques". Elle prend pour exemple l'élection présidentielle roumaine de novembre 2024, où le candidat d'extrême droite Calin Georgescu était arrivé en tête du premier tour après une campagne massive sur TikTok, marquée par des soupçons d'ingérence étrangère. "Au-delà de sa guerre d'agression brutale contre l'Ukraine, la Russie intensifie également ses attaques hybrides, menant une guerre d'influence contre l'Europe", affirme Bruxelles. Comme des "infrastructures critiques" Afin de contrer ces menaces, la Commission entend renforcer ses aides financières aux médias, même si cette feuille de route est pour l'heure dénuée de montants précis. Elle prévoit tout particulièrement de lutter contre les "déserts médiatiques", ces zones rurales où les rédactions locales ferment, faute de moyens. Et veut favoriser le pluralisme en surveillant de plus près les fusions de groupes médiatiques. L'UE prévoit aussi de lancer un centre pour mieux coordonner la lutte contre les ingérences étrangères à échelle européenne. En plus de la désinformation, elle identifie deux grosses menaces qui pèsent sur les processus électoraux et institutions du continent: les cyberattaques et le développement accéléré de l'intelligence artificielle. "Les processus électoraux doivent être considérés comme des infrastructures critiques, au même titre que des câbles sous-marins", assure l'eurodéputée Nathalie Loiseau dans un entretien à l'AFP. Les propositions de la Commission vont d'ailleurs dans la "bonne direction", estime l'élue, qui regrette toutefois que Bruxelles ne mette pas en place "ce qui existe déjà". A commencer par faire aboutir son enquête visant le réseau social X, accusé d'entraves répétées aux règles européennes sur le numérique, mais pas encore sanctionné. "On ne peut pas avoir une enquête sur X qui est bouclée depuis aussi longtemps et ne pas en connaître les résultats ni les conséquences", affirme-t-elle. Sollicitée sur cette question lundi, la Commission a assuré avoir besoin de "bases solides" pour "prendre des décisions définitives" contre le réseau social. "Pas de solutions à la hauteur" L'UE pourrait être plus ambitieuse et forcer les plateformes à donner davantage de visibilité aux médias fiables via leurs algorithmes, plutôt qu'à des comptes partageant de la désinformation, plaide pour sa part Reporters sans frontières. Pour l'ONG française, le texte que la Commission s'apprête à dévoiler pose effectivement "le bon diagnostic", mais il "n'avance pas de solutions à la hauteur des enjeux". En plus de soutenir les médias et de protéger les institutions démocratiques, la Commission souhaite par ailleurs aider à combattre la violence visant les journalistes et les responsables politiques. Selon un rapport, près de deux tiers des partis politiques ont fait part de menaces, violence ou harcèlement, en ligne ou en personne, lors des dernières élections européennes de 2024. Parmi les personnes les plus visées: les femmes et les minorités.

10.11.2025 à 14:39

Stablecoins: la Banque d'Angleterre propose un cadre pour renforcer la confiance

FRANCE24

Les stablecoins sont considérés comme un outil majeur de la popularisation des cryptomonnaies, censés incarner à la fois la stabilité d'une monnaie traditionnelle et la facilité de transaction offerte par les actifs numériques. Ils sont actuellement très majoritairement basées sur le dollar. "Notre objectif est de soutenir l'innovation et de construire la confiance dans cette nouvelle forme de monnaie" qui est appelée à "jouer un rôle significatif dans les paiements" à l'avenir, affirme dans un communiqué Sarah Breeden, vice-gouverneure de la BoE chargée de la stabilité financière. Alors que leur usage s'élargit déjà, les régulateurs veulent rassurer particuliers et institutions, dont la confiance a été entamée par l'effondrement en 2022 du "Terra", un stablecoin dont le cours était censé être garanti par un algorithme et non par des réserves en monnaie traditionnelle. Selon une série de propositions dévoilées lundi par la BoE, soumises à consultation jusqu'au 10 février, les particuliers ne pourront dans un premier temps détenir plus de 20.000 livres (près de 23.000 euros) d'un stablecoin. Les entreprises seront limitées, sauf exceptions, à 10 millions. La BoE, qui pourrait aussi "soutenir les émetteurs de stablecoins systémiques" -c'est-à-dire les acteurs majeurs- "en période de tensions", envisage d'autoriser que jusqu’à 60% des actifs détenus en garantie de la monnaie numérique soient des titres de dette publique britannique à court terme. La banque centrale sera chargée de réguler les stablecoins qui seront désignés comme "systémiques" par le ministère des Finances, tandis que les entreprises moins importantes du secteur seront sous l'égide du régulateur des marchés (la FCA). La FCA avait publié en mai ses propres propositions pour les émetteurs de stablecoins, notamment leur imposer de "détenir systématiquement des actifs de garantie d'un montant équivalent à la valeur des stablecoins". Le cadre britannique pour le secteur doit entrer en vigueur l'an prochain, dans la foulée des Etats-Unis, qui ont adopté l'été dernier leur propre dispositif législatif, très favorable au secteur. L'UE s'est pour sa part dotée en 2024 d'un arsenal juridique limitant la fabrication et l'utilisation de stablecoins en dollars dans sa zone, sans pour autant faire décoller les stablecoins en euros.

10.11.2025 à 14:36

Canicules urbaines : quand la nature fait respirer la ville

Myriam MASCARELLO

Gros coup de chaud sur la planète ! L'année 2024 a battu tous les records depuis 1850. Les villes sont en première ligne, car en cas de canicule, la chaleur s’accumule dans les "îlots de chaleur urbains". Comment rafraîchir ces chaudrons à ciel ouvert sans faire marcher les climatiseurs, qui augmentent le réchauffement climatique ? En réinvitant la nature au cœur des agglomérations. Exemple à Angers, dans l’ouest de la France.

10.11.2025 à 14:35

France : liberté sous contrôle judiciaire pour Nicolas Sarkozy

FRANCE24

La cour d'appel de Paris a ordonné lundi la remise en liberté de Nicolas Sarkozy, incarcéré depuis vingt jours après sa condamnation au procès libyen, et l'a placé sous contrôle judiciaire, lui interdisant notamment d'entrer en contact avec Gérald Darmanin.

10.11.2025 à 14:25

L'envoyé américain Kushner discute avec Netanyahu de la trêve à Gaza

FRANCE24

Entrée en vigueur le 10 octobre sous pression américaine, le cessez-le-feu entre Israël et le mouvement islamiste palestinien Hamas a permis de réduire considérablement les violences dans la bande de Gaza, de libérer des prisonniers palestiniens et presque tous les otages israéliens. Le bureau du Premier ministre Benjamin Netanyahu a confirmé lundi une rencontre avec Jared Kushner, émissaire et gendre du président américain Donald Trump, sans épiloguer sur le contenu des échanges. Or cette visite à Jérusalem, souligne la presse israélienne, intervient alors que Washington cherche à obtenir des accords sur les phases à venir du cessez-le-feu dans la foulée de la libération presque complète des otages. Israël a rapatrié dimanche le corps de l'officier israélien Hadar Goldin, tué en 2014 lors d'une guerre contre le Hamas dans la bande de Gaza et dont la dépouille a fait l'objet pendant des années d'intenses tractations. Le Hamas a ainsi libéré les 20 derniers otages vivants du 7-Octobre et remis, malgré des retards importants, 24 des 28 corps retenus en otages à Gaza qu'il s'est engagé à rendre dans le cadre de la trêve. Quatre dépouilles d'otages restent encore retenues à Gaza, appartenant à trois Israéliens et un Thaïlandais, morts lors de l'attaque sans précédent du Hamas en Israël du 7 octobre 2023 qui a déclenché la guerre à Gaza. "Le temps semble s'être arrêté. J'ai l'impression qu'il est parti il y a à peine quelques jours et qu'il revient déjà", a déclaré lundi dans un communiqué la soeur de Hadar Goldin, Ayelet, après onze ans d'attente. "Comment se battre pour un soldat parti au combat (...) qui ne reviendra que dans un cercueil ? Comment devons-nous nous sentir ? Je ne sais toujours pas", a-t-elle ajouté. Force de stabilisation Outre ces libérations et rapatriements, la trêve prévoit entre autres le désarmement du Hamas, auquel le mouvement islamiste s'oppose, le retrait des forces israéliennes de Gaza et la reconstruction du territoire palestinien ravagé par deux ans de guerre. L'accord de trêve, soutenu par de nombreux pays, prévoit aussi le déploiement d'une "force de stabilisation internationale" dotée de soldats originaires de pays arabes et/ou musulmans dans le territoire palestinien. Le président Trump a dit la semaine dernière s'attendre au déploiement "très bientôt" à Gaza. Et son administration souhaite que le Conseil de sécurité de l'ONU donne un mandat jusqu'à fin 2027 à cette force, selon le projet de résolution consulté vendredi par l'AFP. Selon des sources diplomatiques, plusieurs pays ont déjà signalé être prêts à participer à cette force, notamment l'Indonésie, mais tiennent à un mandat du Conseil de sécurité pour effectivement déployer des troupes dans le territoire palestinien. Les Emirats ne rejoindront "probablement pas" la force de stabilisation sans un "cadre clair", a prévenu lundi le conseiller présidentiel Anwar Gargash, lors d'un forum à Abou Dhabi. Mais ils "soutiendront tous les efforts politiques en faveur de la paix et resteront en première ligne au niveau de l'aide humanitaire", a-t-il ajouté en affirmant que son pays avait fourni 2,57 milliards de dollars d'aides à Gaza depuis le début de la guerre. Sur le terrain, à Gaza, "nous ne nous sentons toujours pas en sécurité", a déclaré à l'AFP Salma Abou Shawish, 40 ans, une habitante du camp de réfugiés d'Al-Bureij, dans le centre du territoire, en évoquant des tirs ou frappes sporadiques. "Nous essayons de protéger nos enfants des traumatismes psychologiques et de les aider à oublier la guerre et ses conséquences. La vie à Gaza est difficile. Nous manquons toujours de nourriture et de nombreuses familles sont sans abri. Nous souhaitons seulement que ce cauchemar prenne fin et ne se reproduise jamais", a-t-elle témoigné.

10.11.2025 à 14:03

France : Nicolas Sarkozy va sortir de prison, une liberté sous contrôle judiciaire

FRANCE24

La cour d'appel de Paris a ordonné lundi la remise en liberté de Nicolas Sarkozy, incarcéré depuis vingt jours suite à sa condamnation au procès libyen, et l'a placé sous contrôle judiciaire.

10.11.2025 à 13:31

Six finalistes, un vainqueur: le prestigieux Booker Prize décerné lundi soir

FRANCE24

Parmi les auteurs sélectionnés pour l'édition 2025 de ce prix comparable au Goncourt français, deux font figure de favoris des bookmakers: le Britannique Andrew Miller ("The Land in Winter"), déjà finaliste dans le passé, et l'Indienne Kiran Desai ("The Loneliness of Sonia and Sunny"), qui avait remporté le prix en 2006. Le suspense s'achèvera entre 21H30 et 22H00 locales (même que GMT) avec l'annonce du vainqueur lors d'une cérémonie à Londres. Décerné depuis 1969, le Booker Prize est doté de 50.000 livres (56.800 euros). Il a contribué au succès d'écrivains comme Salman Rushdie, Margaret Atwood ou Arundhati Roy. Présidé par l'écrivain irlandais Roddy Doyle, lauréat du Booker en 1993 pour "Paddy Clarke Ha Ha Ha", le jury 2025 comprend notamment l'actrice américaine Sarah Jessica Parker, l'un des personnages phares de la série "Sex And The City", et la romancière nigériane Ayobami Adebayo. L'année dernière, le prix était allé à la Britannique Samantha Harvey pour son cinquième roman, "Orbital", une oeuvre de format court, lyrique et contemplative, qui suit pendant 24 heures six astronautes à bord d'une station spatiale. Les six auteurs en lice cette année ont pour la plupart déjà publié plusieurs ouvrages. Trois d'entre eux --les Américaines Susan Choi ("Flashlight") et Katie Kitamura ("Audition"), ainsi que l'Américano-britannique Ben Markovits ("The Rest of Our Lives")-- sont finalistes pour la première fois. "Complexités" Outre Kiran Desai, lauréate en 2006 avec "The Inheritance of Loss" ("La Perte en héritage"), deux auteurs -- Andrew Miller et David Szalay ("Flesh"), respectivement britannique et britanno-hongrois -- ont fait partie de la "shortlist" dans le passé. Oddschecker, un site leader dans la comparaison des cotes de paris, donnait lundi "The Land in Winter" d'Andrew Miller favori, suivi de "The Loneliness of Sonia and Sunny" de Kiran Desai. Le roman de Kiran Desai est une saga haletante sur l'amour, la famille, l'immigration et la solitude moderne, dont l'action se déroule au milieu des années 1990. L'autrice, qui a mis 20 ans à écrire ce roman de 700 pages, décrit son ouvrage comme "une romance contemporaine à la beauté d'une autre époque". Lors de sa sélection, les juges du Booker ont salué les "riches complexités" et la "générosité" de cet ouvrage. Dans "The Land in Winter", Andrew Miller ramène le lecteur dans les années 1960, dans la campagne anglaise où s'abattent des tempêtes de neige et où la vie de deux couples se retrouve bouleversée. "Flesh" de David Szalay suit l'itinéraire d'Istvan, depuis son adolescence en Hongrie où, isolé, il noue une relation avec une voisine d'immeuble de l'âge de sa mère, jusqu'aux hautes sphères du pouvoir à Londres. Susan Choi raconte elle dans "Flashlight" le destin chamboulé d'une famille, lorsque Serk, Coréen né et élevé au Japon et parti vivre aux Etats-Unis, disparaît sur une plage japonaise. Avec "Audition", Katie Kitamura signe un roman déstabilisant, qui démarre par une rencontre dans un restaurant entre une actrice et un jeune homme, avant de basculer dans une deuxième partie qui brouille les pistes. Enfin, Ben Markovits emmène le lecteur de "The Rest Of Our Lives" dans un voyage introspectif sur ses relations familiales, avec pour toile de fond un road-trip à travers les Etats-Unis. Après l'annonce du vainqueur, la reine Camilla, grande lectrice, accueillera mardi une réception en présence des finalistes et des membres du jury. Les organisateurs ont récemment annoncé le lancement du Booker Prize pour enfants, qui vise à récompenser les oeuvres de fiction destinées aux lecteurs de 8 à 12 ans, écrites ou traduites en anglais et publiées au Royaume-Uni. Le premier prix sera décerné en 2027.

10.11.2025 à 13:22

Du Bénin au cinéma chinois : l’incroyable parcours de l'actrice Rawdoth Alazi Soumaïla

FRANCE24

Elle s’appelle Rawdoth Alazi Soumaïla, mais en Chine, on la surnomme “Mulan”. Partie du Bénin pour étudier le commerce, elle a finalement suivi son véritable rêve : le cinéma. Elle est aujourd’hui la première Africaine à tenir un rôle principal dans une superproduction chinoise, Formed Police Unit. "Mulan" est de retour au pays, le temps d’un voyage symbolique, là où tout a commencé.

10.11.2025 à 13:21

Djibouti : le président sortant Ismaël Omar Guelleh candidat à un sixième mandat

FRANCE24

Ismaël Omar Guelleh, président sans partage de Djibouti depuis 1999, a annoncé samedi sa candidature à un sixième mandat lors du scrutin d'avril 2026, selon un communiqué de la présidence djiboutienne.
15 / 15
  GÉNÉRALISTES
Basta
Blast
L'Autre Quotidien
Alternatives Eco.
Le Canard Enchaîné
La Croix
Le Figaro
France 24
France-Culture
FTVI
HuffPost
L'Humanité
LCP / Public Senat
Le Media
Le Monde
Libération
Mediapart
La Tribune
 
  EUROPE ‧ RUSSIE
Courrier Europe Centrale
Desk-Russie
Euractiv
Euronews
Toute l'Europe
 
  Afrique du Nord ‧ Proche-Orient
Haaretz
Info Asie
Inkyfada
Jeune Afrique
Kurdistan au féminin
L'Orient - Le Jour
Orient XXI
Rojava I.C
 
  INTERNATIONAL
CADTM
Courrier International
Equaltimes
Global Voices
I.R.I.S
The New-York Times
 
  OSINT ‧ INVESTIGATION
OFF Investigation
OpenFacto°
Bellingcat
Disclose
Global.Inv.Journalism
 
  MÉDIAS D'OPINION
AOC
Au Poste
Cause Commune
CrimethInc.
Hors-Serie
L'Insoumission
Là-bas si j'y suis
Les Jours
LVSL
Médias Libres
Politis
Quartier Général
Rapports de force
Reflets
Reseau Bastille
Rézo
StreetPress
 
  OBSERVATOIRES
Armements
Acrimed
Catastrophes naturelles
Conspis
Culture
Curation IA
Extrême-droite
Human Rights Watch
Inégalités
Information
Internet actu ✝
Justice fiscale
Liberté de création
Multinationales
Situationnisme
Sondages
Street-Médics
Routes de la Soie
🌓