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▸ les 15 dernières parutions

01.12.2025 à 13:00

Cameroun : l'opposant Anicet Ekane est mort en détention

FRANCE 24

L'opposant politique et président du Manidem, Anicet Ekane, est mort dans la nuit de dimanche à lundi 1er décembre, a annoncé le vice-président du parti, Valentin Dongmo. Anicet Ekane avait été interpellé le 24 octobre dernier à Douala et était depuis en détention .

01.12.2025 à 12:52

Guerre en Ukraine : une semaine décisive pour l'Ukraine, Trump optimiste sur un accord

FRANCE24

Volodymyr Zelensky est arrivé à Paris pour rencontrer Emmanuel Macron et consolider ses soutiens européens au moment où il est fragilisé politiquement et où les Etats-Unis pilotent d'intenses tractations diplomatiques pour arrêter la guerre lancée par la Russie contre l'Ukraine. Récit d'Olivier Faissolle

01.12.2025 à 12:51

Budget : Sébastien Lecornu reçoit les cadres du Parti socialiste à Matignon

FRANCE24

Le Premier ministre Sébastien Lecornu intensifie les consultations pour tenter d'obtenir un compromis sur le budget de la Sécurité sociale, de retour à l'Assemblée nationale pour une nouvelle lecture décisive ce 2 décembre. Explications de Flore Simon, chroniqueuse politique.

01.12.2025 à 12:47

Asie : plus de 1 000 morts après des inondations dévastatrices

FRANCE24

Des inondations dévastatrices ont frappé quatre pays d’Asie ces derniers jours. Au Sri Lanka, en Thaïlande, en Malaisie et en Indonésie, des phénomènes météorologiques distincts ont déclenché plusieurs jours de pluies torrentielles.  Le bilan dépasse déjà 1 000 morts et ne cesse de s'alourdir. L'Indonésie est le pays de loin le plus touché. Il déplore à lui seul, plus de 500 morts et autant de disparus.

01.12.2025 à 12:37

CAN 2025, GROUPE F : le Cameroun, la Côte d'Ivoire et le Gabon dans le groupe de la mort

Romain HOUEIX

Avec un groupe F de la CAN 2025 constitué du champion en titre, la Côte d'Ivoire puis du Cameroun, du Gabon et du Mozambique, qui est vraiment le favori dans cette poule relevée ? Qui peut créer la surprise ? Quels joueurs surveiller ? Quel match ne faudra-t-il pas rater ? Éléments de réponse avec Xavier Barret et Hervé Kouamouo, consultants de France 24.

01.12.2025 à 12:37

L’or flambe… et certains États rêvent de l'utiliser pour réduire leur dette

Christophe DANSETTE

Face à un cours de l'or dépassant les 4 250 dollars l'once, plusieurs pays, et même le FMI, réfléchissent ouvertement à vendre une partie de leurs réserves pour alléger leur dette. Une tentation politiquement explosive et juridiquement très encadrée, qui ressurgit à mesure que le métal jaune atteint des sommets.

01.12.2025 à 12:35

Procès Péchier: la famille de l'anesthésiste à la rescousse

FRANCE24

Persuadée de son innocence, la famille de Frédéric Péchier fait bloc derrière lui, à l'orée d'une semaine dominée par son étude de personnalité. "Jamais, jamais on n'a pu douter de son innocence", a martelé lundi à la barre la mère de l'accusé, Marie-José Péchier, une petite dame aux cheveux blonds coupés court. "Je sens au fond de mon cœur que mon fils est innocent. Il a eu une enfance heureuse et je ne comprends pas pourquoi il se serait transformé en serial killer du jour au lendemain". "Il aimait son métier, vraiment. Je ne le reconnais pas dans le portrait qu'on fait de lui", a-t-elle ajouté, après des semaines de témoignages accablants d'anciens collègues et enquêteurs. Vendredi, à l'audience, Lionel Doury, un chirurgien qui a côtoyé Frédéric Péchier à la clinique Saint-Vincent, un des deux établissements où ont eu lieu les empoisonnements, a évoqué au contraire son "absence d'empathie assumée". "Frédéric Péchier pouvait dire +je n'ai aucune empathie pour eux (les patients) et je m'en fous de ce qui peut leur arriver+", selon le Dr Doury. Le commandant de police Laurent Dumont a évoqué les "failles personnelles" de Frédéric Péchier, dominé par son père puis par sa femme, évocatrices selon lui d'un "tueur en série". Il a évoqué le "sentiment de rejet de son père" éprouvé par Frédéric Péchier, qui "se voit comme le vilain petit canard" de la famille alors qu'il a "besoin de reconnaissance et d'être considéré comme le meilleur". "Frédéric, je l'ai fait peut-être un peu plus travailler que les autres", a dit lundi le père de l'accusé, Jean-Michel Péchier. Il s'est dit "fier" de son fils et a assuré n'avoir "jamais eu de contentieux" avec celui qui est devenu anesthésiste, comme lui. "Je le crois innocent", a aussi déclaré cet homme de 78 ans, à la carrure imposante comme son fils, dénonçant un procès "inéquitable". "Un homme détruit" Frédéric Péchier a vécu chez ses parents jusqu'à ses 24 ans, avant de partir à Besançon pour ses études. Revenu vivre chez eux à Poitiers après sa mise en cause judiciaire, en 2017, Frédéric Péchier, 53 ans, a perdu son emploi, sa femme -dont il est divorcé- et son statut social. C'est chez ses parents que, fortement alcoolisé, il s'est défenestré en 2021. "Frédéric est un homme détruit. Il n'a pour lui que sa famille et l'amour inconditionnel de ses propres enfants qui se sont construits loin de lui", a déclaré sa mère. S'adressant aux parties civiles, cette infirmière retraitée a déclaré: "je suis moi-même une ancienne soignante. Je sais ce qu'est la douleur et la souffrance de perdre un être cher. Je comprends leur combat pour la vérité, mais nous aussi, nous avons besoin de la vérité". D'autres membres de la famille Péchier, dont son ex-épouse et une de ses filles, doivent s'exprimer lundi devant la cour d'assises. Selon le directeur d'enquête Olivier Verguet, "la seule personne qui aurait les clés pour le déverrouiller, c'est Mme Péchier". Il a estimé que son ex-femme, cardiologue, avait une "emprise sur son époux". "Quand bien même l'épouse du Dr Péchier, ce qui n'est absolument pas le cas, serait une personnalité despotique, tyrannique, qui tiendrait son mari sous emprise, comment vous faites le lien entre ça et aller empoisonner des gens?", a balayé devant des journalistes l'avocat de Frédéric Péchier, Randall Schwerdorffer. Jeudi, Frédéric Péchier, qui comparaît libre, a clamé une nouvelle fois son innocence: "Je maintiendrai toujours que je ne suis pas l'empoisonneur", a-t-il répété. Il encourt une peine de réclusion criminelle à perpétuité. Le verdict est attendu d'ici au 19 décembre.

01.12.2025 à 12:31

En Croatie, la banalisation de l'ultra-nationalisme et la montée du révisionnisme

FRANCE24

Du concert géant de Thompson, légende de la musique croate connue pour ses sympathies pronazies qui a réuni 450.000 personnes à Zagreb en juillet, à l'attaque par des hooligans d'évènements culturels serbes en novembre, les tensions se multiplient ces derniers mois, note Florian Bieber, de l'université autrichienne de Graz. "On voit à la fois une montée du révisionnisme historique et une hausse des menaces contre ceux qui pensent différemment", explique le chercheur. Un processus qui s'accompagne de nombreuses tentatives de réhabilitation des Oustachis, le régime pronazi au pouvoir pendant la 2e guerre mondiale. "Ce n'est pas nouveau, mais cela s'est accéléré et amplifié cette année", ajoute M. Bieber. En juillet, Marko Perkovic, connu sous le nom de scène 'Thompson', a chanté devant des centaines de milliers de personne son tube qui commence par "Za dom spremni" - "Pour la patrie, prêts"; le slogan des Oustachis. Un régime installé par Berlin pendant la guerre et responsable de la persécution et de la mort de centaines de milliers de Serbes, de Juifs, de Roms et de militants antifascistes. Ce concert a ouvert une brèche dans laquelle se sont engouffrés les sympathisants d'extrême droite. "Les racines sont plus profondes, mais le concert les a sûrement encouragés, car ils ont vu le nombre de fans", analyse Florian Bieber. Même le Premier ministre, Andrej Plenkovic, a assisté aux répétitions, et posté un selfie avec Thomson. Depuis mai 2024, son parti le HDZ (droite) gouverne au sein d'une coalition avec le Mouvement patriotique, au discours nationaliste, anti-immigration, anti-LGBT, et qui prône l’interdiction de l’avortement dans un pays où l'église catholique est presque toute puissante. "Foi, famille, patrie" Thompson, dont le pseudonyme évoque un pistolet mitrailleur, est devenu célèbre pendant les conflits qui ont déchiré la Yougoslavie dans les années 1990. Présentant ses concerts comme des célébrations de "la foi, la famille et la patrie", il rejette toute sympathie nazie, des accusations "inacceptables" selon lui. Mainte fois, il a expliqué que le refrain de "Za dom spremni" n'a rien à voir avec le slogan Oustachi, même si les mots sont les mêmes. Il dit se référer à l'utilisation de ce même slogan par un groupe paramilitaire au début des années 1990. Une phrase normalement interdite selon une décision de la Cour constitutionnelle en 2006. Mais répétée jusqu'au sein du Parlement par deux députés après le concert géant de Thomson cet été. En octobre, plusieurs députés ont organisé au sein du Parlement une table ronde remettant en question le nombre de victimes du camp de concentration croate de Jasenovac, dans lequel 100.000 personnes ont été tuées, selon le musée américain de l'Holocauste. La communauté juive a fustigé un évènement "scandaleux" et "une disgrâce morale". Tensions serbo-croates Un discours ultranationaliste qui ravive aussi les tensions entre Serbes et Croates, qui se sont affrontés pendant les guerres des années 1990. Et si le respect des droits de la minorité serbe de Croatie était l'une des conditions de l'entrée du pays dans l'Union européenne en 2013, les discours antiserbes n'ont jamais disparu. Pour Milorad Pupovac, le représentant de la minorité serbe - 3% des 3,8 millions d'habitants de Croatie, la situation n'a jamais été aussi tendue. Début novembre, des hommes masqués ont pris d'assaut un événement culturel serbe en scandant des slogans fascistes, poussant à l'annulation de plusieurs événements similaires pour des raisons de sécurité. Des graffitis antiserbes ont aussi été signalés dans plusieurs villes. "Nous n'avions jamais vu des groupes masqués de jeunes ultras s'en prendre ainsi à la culture, à la liberté d'expression et aux droits des minorités, et potentiellement bientôt aux institutions elles-mêmes", s'inquiète M. Pupovac. - Nouvelles générations - Dans les foules venues assister au concert de Thomson, au milieu des symboles pro-oustachis, de très nombreuses familles viennent avec des enfants et des adolescents, nés bien après la fin de la guerre. Des nouvelles générations exposées à des idées ultra-nationalistes parfois même plus extrêmes que celles ayant cours pendant la guerre - "dans un contexte mondial où les idées radicales sont plus courantes, plus socialement acceptables", explique Florian Bieber. Dimanche, environ 10.000 manifestants antifascistes se sont rassemblés en Croatie pour dénoncer les récentes actions antiserbes et la résurgence de la politique d'extrême droite dans leur pays. "Il est temps pour une majorité silencieuse de dire quelque chose contre ces évolutions dangereuses et violentes", expliquait la militante Vedrana Bibic à l'AFP quelques jours avant la manifestation.

01.12.2025 à 12:27

En pleine crise avec Caracas, Trump prêt à se pencher sur une frappe mortelle en mer des Caraïbes

FRANCE24

Washington, qui dit lutter contre les cartels de la drogue, a déployé des forces armées depuis septembre en mer des Caraïbes, notamment le plus grand porte-avions du monde. Une décision qui a enflammé les relations bilatérales. Le président américain a confirmé dimanche s'être entretenu il y a plusieurs jours avec son homologue vénézuélien Nicolas Maduro. La veille, il avait décrété que l'espace aérien du Venezuela devait être considéré comme "totalement fermé". Caracas a dénoncé une "agression en préparation" des Etats-Unis, dans une lettre à l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep). Mais à la crise bilatérale se greffe désormais une autre polémique: le Washington Post affirme que le ministre de la Défense américain Pete Hegseth a ordonné, lors d'une frappe en septembre, que tous les passagers du bateau soient tués, conduisant les militaires à viser une deuxième fois deux survivants qui s'accrochaient au bateau en flammes. "Nous allons regarder", a déclaré le président américain à bord de son avion, relevant qu'il n'aurait "pas voulu ça". Tout en soutenant son ministre: "Je ne sais rien de ça. Il dit qu'il n'a pas dit ça et je le crois", a déclaré le milliardaire américain. Le Washington Post affirme que "l'ordre était de tuer tout le monde", ce que Pete Hegseth qualifie de "fausses informations". Bête noire des Etats-Unis depuis un quart de siècle, le Venezuela est accusé par Donald Trump d'être derrière le trafic de stupéfiants qui inondent les Etats-Unis. Caracas dément et rétorque que l'objectif de Washington est de le renverser et de mettre la main sur le pétrole du pays. Rien de concret n'a filtré sur la conversation entre les deux chefs d'Etat. "Je ne dirais pas que cela s'est bien ou mal passé. C'était un appel téléphonique", a éludé le président américain. Aide de l'Opep Le Venezuela a annoncé de son côté avoir demandé à l'Opep de l'aider "à stopper cette agression (américaine) qui se prépare avec de plus en plus de force". Des propos tenus dans une lettre de M. Maduro lue par la vice-présidente et ministre du Pétrole Delcy Rodriguez, lors d'une visioconférence des ministres de l'Opep. Washington "cherche à s'emparer des vastes réserves de pétrole du Venezuela, les plus grandes du monde, par l'utilisation de la force militaire", y écrit M. Maduro, répétant des accusations proférées à de multiples reprises. Au total, les Etats-Unis ont mené des frappes contre plus de 20 navires dans les Caraïbes et le Pacifique, tuant au moins 83 personnes, sans fournir de preuves que ces navires soient impliqués dans le trafic de drogue. Des experts et l'ONU questionnent la légalité des opérations. Aucun suspect n'a été ni interpellé ni interrogé. Le président de l'Assemblée nationale du Venezuela a annoncé dimanche avoir reçu "des familles de Vénézuéliens assassinés, exécutés extrajudiciairement lors des actions, clairement illégitimes et illégales" de l'armée américaine. Jorge Rodriguez, un des hommes forts du pays, a aussi rebondi sur les accusations du Washington Post. "Si une guerre avait été déclarée et conduit à de tels assassinats, nous parlerions de crimes de guerre. Étant donné qu'il n'y a aucune guerre déclarée entre pays, ce qui s'est produit (...) ne peut être qualifié autrement que d'assassinats ou d'exécutions extrajudiciaires", a-t-il estimé. Ces derniers jours, une activité constante d'avions de combat américains a été enregistrée à quelques dizaines de kilomètres des côtes vénézuéliennes, selon des sites de suivi des aéronefs. Six compagnies aériennes ont suspendu leurs liaisons avec le Venezuela. Mais l'aéroport de Caracas fonctionnait normalement dimanche. Jeudi, Donald Trump avait déclaré que l'armée américaine allait "très bientôt" commencer à cibler des trafiquants dans des opérations terrestres, suscitant l'opposition de parlementaires américains de tous bords. Au pouvoir depuis 2013, le président socialiste Nicolas Maduro, héritier politique de Hugo Chavez, figure de la gauche radicale, a été réélu en 2024 après un scrutin marqué par des troubles et des arrestations. La cheffe de l'opposition Maria Corina Machado, prix Nobel de la paix 2025, assure que le pouvoir a fraudé. pgf-burs/nr-dla/aje/pcl

01.12.2025 à 12:21

Nicola Pietrangeli, emblème du tennis italien

FRANCE24

Également sacré à deux reprises au tournoi de Rome, l'ancien numéro trois mondial était adulé par ses compatriotes au point que le célèbre court central du Foro Italico porte son nom depuis 2006. "Ce terrain n'est pas le plus important, ni le plus grand, mais c'est de loin le plus beau du monde", disait Nicola Pietrangeli en 2022. Fier de ses couleurs, même si sa langue maternelle était le français et non l'italien, le droitier raffolait de la Coupe Davis, compétition à laquelle il participa de 1954 à 1972 et dont il détient toujours le record du nombre de matches joués et gagnés (120 victoires en 164 matches). Malgré ces impressionnantes statistiques, il n'est jamais parvenu à la remporter comme joueur, échouant en finale en 1960 et 1961. C'est en tant que capitaine qu'il soulève finalement le Saladier d'Argent en 1976. Emmenés par Adriano Panatta, le seul autre Italien vainqueur à Roland-Garros, les Azzurri éliminent la Suède, la Grande-Bretagne et l'Australie avant de disposer du Chili en finale. - Du foot au tennis - Né le 11 septembre 1933 à Tunis, Nicola Pietrangeli joue jusqu'à ses 18 ans au football à la Lazio, mais lorsque le club romain essaie de le prêter à une autre équipe, il se tourne définitivement vers le tennis. "Au football, tu es esclave de ton équipe", soulignait-il auprès de l'AFP pour expliquer son choix. Doté d'un excellent revers, d'un toucher de balle précis et d'une endurance impressionnante, il devient le premier Italien vainqueur en Grand Chelem en 1959 en battant le Sud-Africain Ian Vermaak en finale. Cette année-là, il gagne aussi le double, discipline très prisée à l'époque, associé à son compatriote Orlando Sirola, avec qui il forme une formidable paire. Il remporte un deuxième Roland-Garros en 1960 face au Chilien Luis Ayala avant d'être barré à deux reprises en finale par l'Espagnol Manuel Santana (1961 et 1964) dans sa course vers un troisième sacre. Moins à l'aise hors de la terre battue, il ne dépasse pas le troisième tour à l'US Open mais joue quand même une demi-finale à Wimbledon en 1960. - À l'écran - À cette époque, le tennis est divisé entre les amateurs, qui jouent les grands tournois traditionnels et la Coupe Davis, et les professionnels qui s'engagent dans un circuit parallèle une fois leur réputation établie. Contrairement à ses contemporains Rod Laver ou Ken Rosewall, Pietrangeli ne franchit jamais le pas du professionnalisme, jusqu'à ce que les deux mondes soient unifiés dans ce qu'on appellera l'ère Open (après 1968), mais il a alors déjà 34 ans. Après avoir raccroché la raquette en 1974, Nicola Pietrangeli apparaît au cinéma et à la télévision. Il y anime notamment La Domenica Sportiva, une émission sportive diffusée le dimanche sur la Raï depuis 1953. Au cinéma, il obtient un rôle dans trois films dont "La donna giusta", un long-métrage de Paul Williams sorti en 1982, dans lequel il partage l'affiche avec Virna Lisi et Margot Kidder.

01.12.2025 à 12:17

Sida : malgré des progrès, l'épidémie continue de tuer chaque jour

FRANCE24

Quarante après la découverte du virus du sida, quarante millions de personnes dans le monde vivent encore avec, dont un million et demi d'enfants selon les chiffres de l'ONU Sida. À l'occasion de la journée mondiale de lutte contre le sida, nous recevons Dr Romain Palich, infectiologue à l'Hôtel-Dieu.

01.12.2025 à 12:07

L'Iran en proie à des sécheresses chroniques, aggravées par le changement climatique

FRANCE24

Le Maroc accueille à partir d'aujourd'hui le dix-neuvième congrès mondial de l'eau. Il sera question de stress hydrique ou de pénurie d'eau dans un monde toujours plus chaud. L'Iran est par exemple confronté à l'une des sécheresses les plus graves depuis le début des relevés météorologiques dans la zone, il y a soixante ans.

01.12.2025 à 11:55

Incendie de Hong Kong: 151 morts, les autorités disent sévir contre la "désinformation" en ligne

FRANCE24

Le sinistre qui s'est déclaré mercredi après-midi dans l'ensemble de Wang Fuk Court, dans le district de Tai Po, est l'incendie d'immeuble le plus meurtrier depuis 1980 dans le monde, à l'exclusion de feux survenus dans des nightclubs, des prisons ou des centres commerciaux, d'après des recherches dans la base de données des catastrophes de l'Université de Louvain en Belgique. Le nombre de décès confirmés est passé de 146 à 151, a dit devant la presse un responsable de la police, Tsang Shuk-yin. L'ampleur du drame a causé un choc dans le territoire et suscité des appels à identifier les responsables de la tragédie. Les médias locaux ont rapporté samedi soir qu'un étudiant de 24 ans, Miles Kwan, à l'origine avec d'autres d'une pétition réclamant des comptes pour le pire incendie qu'ait connu la ville depuis 1948 avait été arrêté. La pétition en ligne, qui avait recueilli plus de 10.000 signatures en moins d'une journée, a été supprimée. Un journaliste de l'AFP a vu lundi Miles Kwan quitter le commissariat du district de Cheung Sha Wan en taxi, sans pouvoir recueillir de commentaire de sa part sur sa situation. Les autorités ont signifié leur intransigeance lundi. Le chef de la sécurité du territoire, Chris Tang, interrogé sur Miles Kwan et d'autres éventuelles arrestations, a dit devant la presse avoir observé ces derniers jours "des commentaires inexacts" publiés en ligne. "Certaines personnes aux motivations inavouées (cherchent) à mettre en danger la sécurité de Hong Kong et la sécurité nationale (de la Chine) et à profiter que toute la société souffre pour inciter au mécontentement contre le gouvernement en pratiquant la désinformation", a-t-il dit. "Par conséquent, nous devons prendre les mesures appropriées, y compris des mesures de police", a-t-il ajouté sans plus de précision. Hong Kong, rétrocédé à la Chine par le Royaume-Uni en 1997, a vu le contrôle de Pékin se resserrer avec une loi de sécurité nationale stricte passée en 2020 en réaction aux manifestations pro-démocratie. Treize personnes, 12 hommes et une femme, ont été arrêtées à ce jour dans l'enquête sur l'incendie, a dit Chan Tung, directeur de la police criminelle et de la sécurité de Hong Kong. Le complexe d'environ 2.000 logements était en cours de rénovation, mais toujours habité. L'attention s'est concentrée sur l'emploi possible de matériaux inflammables pour la rénovation, comme les filets protégeant de la poussière et de la chute d'objets, et l'usage, commun à Hong Kong, de bambou pour les échafaudages. Un responsable du gouvernement de Hong Kong, Eric Chan, a corroboré le soupçon sur les conditions de réalisation du chantier. Des échantillons de filets de protection collectés à sept endroits et à des hauteurs différentes "ne répondaient pas aux normes de résistance au feu", a-t-il dit.

01.12.2025 à 11:43

Sept personnes jugées pour tentative d'escroquerie et de corruption au préjudice de TotalEnergies

FRANCE24

Pendant trois semaines, le tribunal va examiner le rôle exact des prévenus dans ce dossier où se côtoient les noms d'un sulfureux homme d'affaires aujourd'hui décédé, d'un prestigieux magistrat et d'un ténor du barreau parisien. Les mis en cause sont suspectés d'avoir, à divers degrés, œuvré à la constitution d'un tribunal arbitral en 2009, à l'initiative des régions russes de Saratov et de Volgograd (sud-ouest du pays) et de la société de droit russe Interneft. Ces dernières réclamaient que TotalEnergies leur verse une somme d'un peu plus de 22 milliards de dollars, arguant que le groupe n'avait pas honoré un contrat d'exploration pétrolière en Russie signé en février 1992 avec une de ses filiales. L'homme d'affaires André Guelfi, dit "Dédé la sardine", est suspecté d'avoir été un acteur de premier plan dans la mise en place de l'arbitrage, dénoncé par TotalEnergies. M. Guelfi a joué au début des années 1990 un rôle d'intermédiaire pour Elf (acquis plus tard par l'actuel TotalEnergies) en ex-URSS et a été condamné à une peine de prison ferme pour son rôle dans le détournement de fonds du groupe pétrolier. Mort en 2016, il n'a pas été entendu par les magistrats instructeurs chargés de l'affaire. En mai 2011, TotalEnergies, s'estimant victime d'une tentative d'escroquerie, a déposé plainte auprès du parquet de Nanterre. Après quasiment 15 ans de procédure et de nombreux soubresauts judiciaires, le procès s'est enfin ouvert. Désigné comme membre de l'instance arbitrale décriée, l'ancien président du tribunal de commerce de Paris Jean-Pierre Mattei est jugé pour corruption passive et tentative d'escroquerie en bande organisée, au même titre que les deux autres arbitres choisis. L'avocat Olivier Pardo est quant à lui visé des chefs de corruption active d'arbitre international et d'une personne chargée d'une mission de service public. Il est notamment soupçonné d'avoir cherché à influer sur la désignation de M. Mattei et, plus généralement, de collusion avec M Guelfi. Son confrère Xavier Cazottes comparaît pour des faits similaires. Un avocat proche de M. Mattei, deux autres membres du tribunal arbitral ainsi que l'administrateur ad hoc de la filiale d'Elf, aujourd'hui liquidée, sont aussi renvoyés devant le tribunal.

01.12.2025 à 11:41

Plus de 500 morts en Indonésie suite aux pluies meurtrières

FRANCE24

Le bilan des inondations qui ont frappé l'île de Sumatra dans l'ouest de l'Indonésie, s'élève désormais à 502 morts et plus de 500 disparus. Récit de Sophie Samaille
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