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25.11.2025 à 18:39

Un "chef-d'œuvre inconnu" de Renoir vendu 1,8 million d'euros aux enchères à Paris

FRANCE24

La toile, qui était estimée entre 1 et 1,5 million d'euros et n'avait jamais été exposée ni vendue, a été acquise par "un acheteur international", a précisé Drouot. Peinte avant 1910, elle était conservée depuis toujours par la famille de Jeanne Baudot, amie et unique élève du maître français à qui il l'avait offerte. "Ce tableau représente tout ce qu'il est possible de vouloir pour un Renoir", a commenté Pascal Perrin, historien d'art et spécialiste du peintre, en présentant la toile. "L'enfant et ses jouets - Gabrielle et le fils de l'artiste, Jean" montre le tout jeune deuxième fils du peintre - qui a eu cinq enfants -, futur réalisateur de "La grande illusion" et de "Partie de campagne", assis sur les genoux de sa nourrice Gabrielle Renard, en train de jouer avec des figurines de personnage et d'animaux. Pascal Perrin a souligné "l'état exceptionnel de l’œuvre, qui n'a subi aucune restauration". La toile "est un parfait exemple de la maîtrise du peintre en pleine maturité", explique-t-il dans le catalogue de la vente. "Nous retrouvons tout son amour pour les scènes intimes, la représentation d'un enfant, d'un moment volé le temps d'une après-midi au cœur même de sa famille". C'est "un chef-d'œuvre inconnu jusqu'alors des spécialistes, du public et du marché de l'art", souligne dans le catalogue le commissaire priseur chargé de sa vente, Christophe Joron-Derem. Auguste Renoir (1841-1919) a réalisé trois versions de cette scène. Les deux autres sont conservées à la National Gallery of Art de Washington et au musée de l'Orangerie à Paris. Le tableau vendu mardi était jusqu'alors resté dans la sphère privée. Jeanne Baudot, qui était aussi la marraine de Jean Renoir, a conservé la toile jusqu'à sa mort en 1957. Elle l'a léguée à Jean Griot, fils de sa gouvernante qu'elle considérait comme le sien et résistant qui fit partie du cabinet du général de Gaulle pendant la Seconde Guerre mondiale et dirigea le Figaro dans les années 1970. Après sa mort, en 2011, la toile a été conservée par ses héritiers. Auguste Renoir a peint des dizaines de portraits de ses enfants. Gabrielle Renard, qui s'est occupée d'eux pendant une vingtaine d'années, était aussi l'un de ses modèles privilégiés et apparaît dans près de 200 œuvres.

25.11.2025 à 18:29

La justice au chevet du repreneur en série ACI Group, 1.600 emplois en jeu

FRANCE24

. Enquête pénale La juridiction n'est pas la seule à s'intéresser à cette holding: le parquet de Lyon a confirmé à l'AFP avoir ouvert une enquête pénale à la suite de plaintes déposées par le groupe, dont l'une cible Philippe Rivière pour abus de biens sociaux. Fondateur et actionnaire majoritaire, M. Rivière a toutefois été privé par le tribunal de son mandat social à la tête de l'entreprise, désormais gérée par des administrateurs judiciaires. Il n'a pas souhaité s'exprimer à ce sujet auprès de l'AFP, donnant "la priorité au plan de retournement" de l'activité, a assuré son entourage. A son arrivée à l'audience mardi, il paraissait tendu. "Je ne pense pas qu'ils prononceront la liquidation judiciaire, il va montrer qu'il y a des possibilités de financement à venir", a expliqué à l'AFP l'un de ses avocats, Me Jean-Marie Chanon, qui compte plaider la poursuite de l'activité d'ACI Group. . Ultra-croissance Comment en est-on arrivé là ? Créé en 2019 par Philippe Rivière et Patrice Rives, ACI Group a racheté à tour de bras une kyrielle d'entreprises industrielles en difficulté, notamment spécialisées dans la fourniture de pièces pour les industries de la défense, de l'aéronautique et du nucléaire civil. En mars au salon Global Industrie à Lyon, M. Rivière reconnaissait qu'une telle boulimie d'acquisitions pouvait faire "peur", notamment au "monde financier". "C'est difficile avec nous parce que tous les mois on intègre une nouvelle société", ce qui complique la lecture de l'activité économique y compris pour des professionnels. . Pourquoi un redressement? Les inquiétudes du monde financier n'étaient pas sans fondement puisque Patrice Rives a décidé en septembre de placer la holding en redressement judiciaire, sans publier d'explications et contre l'avis de Philippe Rivière. La situation interpelle jusqu'à Bercy. "La manière dont cette holding a été mise en redressement judiciaire et les conditions qui l'y ont amenée méritent qu'on s'y intéresse de très près", déclarait début novembre le ministre de l'Economie Roland Lescure, indiquant avoir "demandé un audit" à ses services. La CGT Métallurgie, qui dit recenser les plaintes de nombreux salariés accumulant des arriérés de salaires ou les redoutant, manifestait mardi devant le tribunal à Lyon, dénonçant un "scandale industriel". Fabrice Fort, coordinateur régional de la CGT Métallurgie, a évoqué "une affaire qui pourrait virer au scandale d'Etat": "Rivière a bénéficié d'aides publiques, sans aucun contrôle", pourtant dans des domaines sensibles touchant l'armement et le nucléaire, "pour ensuite syphoner les trésoreries des entreprises qu'il rachetait et faire remonter les fonds à la holding". "C'est une technique éprouvée, Rivière est un Bernard Tapie bis mais, là, l'élève a dépassé le maître", a asséné Fabrice Fort. . Quel avenir pour les sites? Une douzaine de sociétés du groupe ont déjà été placées en redressement ou en liquidation directe ces dernières semaines. M. Lescure a promis que l'Etat se pencherait sur "toutes les filiales les unes après les autres", dont certaines "vont bien" et d'autres "moins bien", pour "tenter de trouver des repreneurs". "L'Etat travaille, aux côtés des administrateurs judiciaires, à des solutions visant à préserver la continuité de l'activité sur le plus grand nombre de sites possibles, sous réserve d'une perspective de retour à la viabilité", a indiqué Bercy à l'AFP, assurant que M. Rivière "ne participe pas aujourd'hui à ces discussions". "On est bien revenu" du discours faisant de Philippe Rivière "un nouveau capitaine d'industrie, sauveur d'entreprises", commentait le député de la Loire Pierrick Courbon (PS) qui avait accompagné des salariés lors d'un rendez-vous à Bercy le 18 novembre.

25.11.2025 à 18:16

Enquêtes, "devoir conjugal", inceste… les pistes pour lutter contre les violences sexuelles

Bahar MAKOOI

Réformes judiciaires, détection des violences dès la maternelle, lutte contre la cyberviolence… Une proposition de loi "intégrale" cosignée par 109 députés et élaborée sur la base de propositions du monde associatif a été présentée lundi en conférence de presse. Ce texte contient des mesures inédites. Tour d'horizon.

25.11.2025 à 17:55

Loi sur Charcot: "très bon espoir" de sortie prochaine de l'arrêté d'application, déclare Rist

FRANCE24

Depuis le vote définitif du Parlement en début d'année, "qu'attend ce gouvernement pour enfin publier le décret d'application?", a demandé la députée Valérie Létard (Liot), soulignant que "chaque jour compte" pour les malades et familles. L'élue nordiste a évoqué une "famille qui se bat seule et s'épuise", celle d'une femme de sa circonscription, "Marie-Christine", 71 ans, qui n'arrive désormais plus à se lever seule, même avec de l'aide, a une élocution qui se dégrade, une respiration qui inquiète, et dont la fille "envisage d'arrêter de travailler pour rester auprès de sa mère". Or "cette loi, votée depuis plus de neuf mois, n'existe toujours pas dans la vraie vie", et "pendant ce temps, Marie-Christine paie 790 euros de reste à charge par mois, toutes ses économies y passent, elle a pourtant travaillé toute sa vie", a-t-elle pointé. Après avoir rendu hommage au sénateur Gilbert Bouchet (LR), qui est décédé en octobre et avait porté ce texte, la ministre de la Santé a plaidé qu'un "travail collectif" était nécessaire pour faire exister "cette loi très attendue par les malades et leurs familles". "Les départements et l’État travaillent pour pouvoir sortir l'arrêté", a assuré Stéphanie Rist, disant avoir "très bon espoir que, dans les semaines qui arrivent, cet arrêté va pouvoir sortir". En fauteuil roulant et sous respirateur, Gilbert Bouchet avait, en octobre 2024, défendu en personne la réforme de la prise en charge des patients touchés par la maladie de Charcot -ou sclérose latérale amyotrophique (SLA)-, qui condamne les patients touchés à une paralysie progressive gagnant l'ensemble du corps et aboutit au décès en quelques années. Le texte adopté par le Sénat, ensuite voté à l'unanimité à l'Assemblée nationale, entend pallier les longs délais de traitement des demandes de prestation de compensation du handicap (PCH). Il prévoit ainsi une "procédure dérogatoire" de traitement des demandes, priorisant et accélérant le traitement des cas de "pathologies d'évolution rapide et causant des handicaps sévères et irréversibles", comme Charcot.

25.11.2025 à 17:47

Les Bourses européennes terminent en hausse

FRANCE24

La Bourse de Paris a terminé en hausse de 0,83%, Francfort de 0,97%, tandis que Londres a gagné 0,78% et Milan 0,95%.

25.11.2025 à 17:35

Le Pakistan dément avoir frappé l'Afghanistan, après des raids ayant fait 10 morts

FRANCE24

Le Pakistan a démenti mardi 25 novembre avoir mené des frappes sur l'Afghanistan, où le gouvernement taliban l'a accusé d'avoir ciblé des civils, tuant dix personnes dont neuf enfants.

25.11.2025 à 17:33

Réunions secrètes entre Américains et Russes sur l'Ukraine à Abou Dhabi

FRANCE24

Des réunions "secrètes" sur l'Ukraine entre Américains et Russes se sont tenues lundi et devraient se poursuivre mardi 25 novembre à Abou Dhabi pour tenter d'avancer sur un cessez-le-feu, ont affirmé mardi des médias américains et britanniques. Nous en parlons avec Federico Santopinto, directeur de recherche à l'IRIS.

25.11.2025 à 17:32

Casse du Louvre : quatre nouvelles interpellations, les bijoux toujours introuvables

FRANCE24

Un mois après le casse spectaculaire au musée du Louvre, quatre nouveaux suspects ont été interpellés et vont être interrogés par les enquêteurs, qui n’ont pas réussi jusqu’ici à retrouver la trace des précieux bijoux. Nous en parlons avec Axel Ronde, porte-parole du CFTC Police.

25.11.2025 à 17:31

50 000 femmes tuées par un proche en 2024 selon l'ONU

FRANCE24

Quelque 50 000 femmes et filles ont été tuées par un proche en 2024, soit toujours une toutes les dix minutes, selon des chiffres de l'ONU qui déplore lundi 24 novembre l'absence de "véritable progrès" dans la lutte contre les féminicides.

25.11.2025 à 17:30

Donald Trump "veut afficher l'Ukraine à son tableau de chasse de conflits réglés"

FRANCE24

Au lendemain du rejet par Moscou du plan de paix proposé par les Européens, Washington change-t-il de stratégie ou de calendrier ? Matthieu Mabin nous en dit plus.

25.11.2025 à 17:29

Le Sénat adopte le budget de "fin de gestion" pour 2025

FRANCE24

Ce texte a été voté par la droite et l'ensemble du bloc central, tandis que la gauche s'y est opposée. L'Assemblée nationale, elle, l'avait rejeté en première lecture. Députés et sénateurs tenteront de se mettre d'accord sur une version de compromis lors d'une commission mixte paritaire (CMP) prévue jeudi matin. Il faudra ensuite que ce texte commun soit adopté dans les deux chambres la semaine prochaine, obligeant le gouvernement à espérer que certains groupes d'opposition s'abstiennent ou votent favorablement. La mission paraît néanmoins beaucoup moins périlleuse que sur le budget pour 2026, objet éminemment plus politique. "Ce texte est d'abord technique et il ne vise rien d'autre qu'à être collectivement capable de bien finir l'année", a ainsi plaidé la ministre des Comptes publics Amélie de Montchalin. Il permet de "garantir précisément et en toute transparence les jalons essentiels qui nous permettront de respecter la cible de déficit de 5,4% (du PIB) en 2025", a-t-elle ajouté. En effet, le budget de "fin de gestion" respecte l'engagement initial du gouvernement sans dégrader le déficit, au contraire des années précédentes. Il prévoit tout de même quelques ouvertures et annulations de crédits, comme 190 millions supplémentaires pour des dépenses de sécurité en Outre-mer et contre les incendies estivaux. Côté annulation, 1,6 milliard sont notamment ponctionnés sur le programme d'investissements "France 2030", le gouvernement invoquant un surplus de trésorerie. "Il faut saluer l'effort accompli en 2025 et le considérer comme un point de départ du redressement, mais aucunement comme un point d'arrivée", a reconnu le rapporteur général du budget au Sénat, Jean-François Husson (Les Républicains), qui est par ailleurs beaucoup plus critique sur le budget pour 2026, dont le Sénat se saisit jeudi dans l'hémicycle. Il a suggéré l'adoption du texte, non sans obtenir le vote de quelques amendements, comme une rallonge de 50 millions pour la "mission d'aménagement du territoire" dévolue à La Poste, par exemple. La gauche a regretté la priorité donnée à la baisse des dépenses. "C'est la technique du rabot qui est privilégiée, en ciblant d'abord le plus facile, le budget d'investissement", a épinglé le sénateur Grégory Blanc (groupe écologiste).

25.11.2025 à 17:27

Ukraine : sept morts dans des frappes sur Kiev

FRANCE24

Une pluie de drones et missiles s'est abattue sur Kiev dans la nuit, faisant au moins sept morts, tandis que s'activent mardi 25 novembre en coulisses Ukrainiens, Américains et Européens pour tenter de trouver une issue au conflit après la publication d'un plan américain.

25.11.2025 à 17:26

Cambriolage au Louvre : quatre nouvelles personnes interpellées

FRANCE24

Deux hommes et deux femmes ont été arrêtés en lien avec le récent cambriolage du Louvre. Notre reporter Sylvain Rousseau nous en dit plus.

25.11.2025 à 17:04

De retour en Chine : l'unique couple de pandas quitte le zoo de Beauval

FRANCE24

L'unique couple de pandas géants hébergé en France s'est envolé mardi depuis Roissy pour regagner leur Chine natale, suscitant l'émotion de nombreux fans, mais Pékin a promis de leur trouver des remplaçants.  

25.11.2025 à 16:21

Casse du Louvre: quatre nouvelles interpellations, les bijoux toujours introuvables

FRANCE24

Ces deux hommes, âgés de 38 et 39 ans, et deux femmes, de 31 et 40 ans, originaires de région parisienne, ont été placés en garde à vue, a annoncé mardi la procureure de Paris, Laure Beccuau. Cette mesure peut être reconduite pendant 96 heures, soit jusqu'au début du weekend. D'ici là, ces personnes "n'ont pas accès aux éléments de la procédure, raison pour laquelle je ne communiquerai pas davantage sur ce dont elles sont soupçonnées", a ajouté la magistrate dans un communiqué. L'un des interpellés est suspecté d'être le quatrième homme du casse, a précisé une source proche du dossier à l'AFP, confirmant une information du Parisien. Malgré les moyens importants mis en œuvre depuis le début de cette enquête, les bijoux dérobés le 19 octobre, huit joyaux du XIXe siècle, trésors nationaux, n'ont eux toujours pas été retrouvés. Le butin comprenant notamment le diadème de l'impératrice Eugénie (épouse de Napoléon III) qui compte près de 2.000 diamants est estimé à 88 millions d'euros mais est invendable en l'état. Jusqu'ici les enquêteurs de la Brigade de répression du banditisme (BRB) de la police judiciaire parisienne et l'Office central de lutte contre le trafic de biens culturels (OCBC) avaient pu interpeller, en deux coups de filet, trois des quatre membres présumés de l'équipe de cambrioleurs. Mais pas le ou les commanditaires. Sous les verrous Parmi les suspects déjà sous les verrous, trois hommes âgés de 35, 37 et 39 ans sont suspectés d'avoir fait partie de l'équipe de quatre malfaiteurs, dont deux ont pénétré le 19 octobre dans la galerie d'Apollon tandis que les deux autres étaient restés à l'extérieur, avant de prendre la fuite tous ensemble. Les malfaiteurs avaient agi en plein jour, encagoulés, munis d'un monte-charge de déménageurs et armés de disqueuses. Leur casse, retentissant, n'a duré que huit minutes. Deux d'entre eux ont laissé des traces ADN derrière eux, sur l'un des scooters ayant servi à la fuite, sur l'une des vitrines fracturées et sur des objets abandonnés au Louvre. L'ADN du couple a été retrouvé dans la nacelle du monte-charge utilisé. Les profils de ces malfaiteurs ne correspondent pas à ceux "que généralement on associe au haut du spectre de la criminalité organisée", avait indiqué la procureure. Deux d'entre eux, habitants d'Aubervilliers (Seine-Saint-Denis), étaient pour l'un sans activité, après avoir été livreur ou ripeur (ramassage d'ordures), pour l'autre chauffeur de taxi clandestin, connu pour des vols aggravés. L'homme du couple, lui, a un casier chargé de onze condamnations, dont une dizaine pour des vols. Ils ont été mis en examen par les juges d'instruction de la juridiction interrégionale spécialisée (Jirs) de Paris pour vol en bande organisée et association de malfaiteurs. Poste de police mobile Parallèlement à l'enquête judiciaire, une controverse politique est née au sujet de la sécurité du Louvre. La Cour des comptes a estimé que le musée le plus visité au monde avait "privilégié les opérations visibles et attractives" au détriment de la sécurité. A la mi-novembre, la directrice du Louvre Laurence des Cars, qui avait déjà reconnu des failles dans la sécurité du musée, a annoncé l'installation prochaine d'un "poste avancé mobile de la police nationale" pour protéger le musée pendant les périodes d'affluence touristique. Mme des Cars avait souhaité peu après le vol l'installation d'un commissariat de police au sein du Louvre, demande à laquelle le ministre de l'Intérieur, Laurent Nuñez, et le préfet de police, Patrice Faure, s'étaient opposés. Confronté à une vétusté alarmante, le musée avait fait l'objet en début d'année de l'annonce par le président Emmanuel Macron d'un projet "colossal" pour le désengorger et le moderniser, avec un nouvel accès, une salle dédiée à la Joconde et des billets d'entrée plus chers pour les non-Européens.
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