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19.11.2025 à 15:19

Arabie Saoudite: premier partenaire de Trump ?

Raphael KAHANE

En accueillant avec tous les honneurs le prince héritier Mohamed Ben Salmane à Washington, Donald Trump montre à quel point l'Arabie Saoudite est un allié stratégique pour lui au Porche-Orient. Plus encore qu'Israël ? On va plus loin avec Patricia Allémonière et Bruno Daroux.

19.11.2025 à 14:34

La pauvreté, une fatalité française ? Avec L. Abdelké Yakoub, H. Steinberg et S.-P. Sengayrac

Pauline PACCARD

Alors que les associations d'aide aux démunis lancent leur campagne d'hiver, toutes font le même constat : le nombre de bénéficiaires ne fait qu'augmenter dans la sixième économie mondiale. Un chiffre : les Restos du Cœur distribuaient huit millions de repas en 1985, contre 160 millions l'an dernier. La pauvreté est-elle une fatalité française ? Question posée à Layla Abdelké Yakoub, responsable Plaidoyer Justice fiscale et inégalités à Oxfam, Henriette Steinberg, secrétaire nationale du Secours Populaire et Simon-Pierre Sengayrac, codirecteur de l’Observatoire économie de la Fondation Jean-Jaurès.

19.11.2025 à 14:29

Le patron de l'IGPN veut renforcer le contrôle des cellules de déontologie

FRANCE24

Réagissant sur BFMTV à un rapport de l'ONG Flagrant Déni publié mardi et critiquant le manque d'indépendance de la "police des polices", M. Hardouin a rejeté l'image de "lessiveuse" accolée à son institution. Il a toutefois concédé la nécessité de "mettre en cohérence" les cellules de déontologie locales, rattachées aux directions départementales, qui traitent la grande majorité des dossiers disciplinaires. Il a plaidé pour une nouvelle organisation où l'IGPN exercerait "un rôle de coordination, d'évaluation, un droit de regard, un droit de contrôle", ce qui n'est "pas complètement le cas" actuellement. Le directeur a annoncé une réunion de travail vendredi avec "les directeurs zonaux" pour organiser systématiquement un "dépaysement" des enquêtes "lorsqu'il y a un risque (...) de conflit d'intérêts", c'est-à-dire quand l'échelon local est jugé "trop proche d'une affaire". Interrogé sur la hausse de 60% des affaires de violences policières depuis 2016 évoquée par l'ONG, Stéphane Hardouin a appelé à se "méfier" d'une "inflation statistique". Le patron de l'IGPN a fait valoir que ces données brutes englobent l'ensemble des personnes dépositaires de l'autorité publique, y compris les policiers municipaux dont les effectifs ont "augmenté de 50%", et pas uniquement la police nationale. M. Hardouin a enfin récusé tout lien mécanique entre la baisse du taux d'élucidation des enquêtes et une forme d'impunité. "Une affaire peut être élucidée, mais pour autant, il n'y a pas de poursuite parce qu'il n'y a pas d'infraction", a-t-il assuré. Il a rappelé que "c'est le procureur de la République qui décide de la saisie d'un service" d'enquête, l'IGPN traitant systématiquement les cas les plus graves, notamment les décès ou blessures lourdes.

19.11.2025 à 14:05

XV de France: les Bleus doivent retrouver "plaisir" et "panache", dit Flament

FRANCE24

"On est bien conscients des prestations qu'on rend. Tout n'est pas à jeter non plus, tout n'est pas tout rose. Mais c'est sûr qu'il y a cette frustration que, je pense, tout le monde a du côté du staff, du côté du public, du côté de la presse. On en veut plus et on en attend tous plus", a reconnu Flament après une défaite contre l'Afrique du Sud (32-17) puis une victoire peu convaincante contre les Fidji (34-21), où le Toulousain était absent en raison d'une légère blessure à la cuisse. "De l'extérieur, j'ai eu l'impression qu'on ne se régalait pas vraiment sur le terrain. C'est ce dont on a, entre autres, parlé en début de semaine: prendre du plaisir, se lâcher, oser, tenter, faire preuve de panache, aller attaquer, se régaler", a-t-il exposé. Le deuxième ligne assure que les Bleus montent en puissance. "La semaine des Fidji, déjà, on a senti que sur les entraînements, c'était beaucoup plus qualitatif. Alors, c'est sûr que ça ne s'est pas forcément parfaitement traduit sur le match. Mais en tout cas, à l'entraînement, on avait de bien meilleures sensations. Donc, on sent qu'avec le temps, les entraînements, on se rode et le jeu se fluidifie (...) il y a un peu plus d'énergie", a-t-il décrit. Lors des deux entraînements ouverts cette semaine à la presse à Marcoussis, on a vu les Bleus travailler énormément leur communication pour ne pas être surpris par des hors-jeux comme lors du dernier match. "On a toutes les ressources en interne, le Tournoi-2025 c'était il n'y a pas si longtemps, mais c'est vrai qu'aujourd'hui on n'est pas trop dans la même dynamique (...) ce n'est pas une science exacte", a expliqué Thibaud Flament.

19.11.2025 à 14:00

CAF Awards 2025 en direct : Hakimi, Salah ou Osimhen... Qui sera le meilleur joueur africain ?

Romain HOUEIX

La Confédération africaine de football (CAF) organise mercredi à Rabat (Maroc) sa cérémonie annuelle de remise des distinctions récompensant les meilleurs talents du football africain en 2025. La cérémonie débutera à 19 h. Suivez cette soirée importante pour le continent en direct sur France24.com avec notre direct commenté.

19.11.2025 à 13:21

Les députés rejettent les "dépenses" du budget de l'Etat en commission

FRANCE24

Ce vote est avant tout indicatif, puisque c'est le projet de loi initial du gouvernement qui serait arrivé dans tous les cas dans l'hémicycle, comme c'est toujours le cas pour les textes budgétaires. Mais le scrutin a été sans appel : seuls les députés socialistes ont annoncé s'abstenir, tous les autres groupes s'opposant à cette partie dépenses. Entre les tenants au centre et à droite d'une baisse sensible des dépenses, et les partisans à gauche d'investissements suffisants à compenser par des recettes supplémentaires, le texte a été écartelé en commission. "La copie finale n'a pas de sens", a déploré le rapporteur général du budget Philippe Juvin (LR). Au bilan plusieurs crédits majeurs ont été purement et simplement rejetés, "huit" selon le vice-président Daniel Labaronne (Renaissance) en ouverture de séance, citant notamment ceux voués à l'"agriculture", la "culture", l'"écologie", à la "justice" ou à la "santé. "Cette copie passe complètement à côté du sujet, il faut qu'on maîtrise la dépense publique", a critiqué son collègue de groupe Paul Midy, pointant "32 milliards" de dépenses supplémentaires prônées au gré des amendements des députés. Mais certains investissements sont nécessaires en "soutien aux actions de l'Etat ou des collectivités locales", a défendu Christine Arrighi (groupe écologiste). "Nous sommes en train de détruire la démocratie parlementaire", s'est inquiété Charles de Courson (Liot). Eric Coquerel (LFI), président de la commission, a lui dépeint "une démocratie bizarre qui fait qu'on peut étudier un projet de loi dès le départ minoritaire", sans que le Parlement ait réellement "les moyens" de "le transformer comme dans d'autres pays du monde". Ce vote sur les dépenses risque d'être le seul en première lecture à l'Assemblée, car les débats au sein de l'hémicycle sont toujours englués mercredi dans la partie "recettes" de ce budget, avec plus d'un millier d'amendements à examiner avant dimanche minuit (le gouvernement pourra alors envoyer le texte modifié au Sénat). Si elles sont soumises au vote, ces "recettes" seront probablement rejetées au vu des prises de position des différents groupes, ce qui aurait pour effet d'interrompre la discussion et d'envoyer le projet de loi initial au Sénat, sans commencer à étudier les dépenses.

19.11.2025 à 13:17

L'éleveur Bertrand Venteau élu président de la Coordination rurale

FRANCE24

"Le plus dur est devant nous. Il faut continuer à construire la CR", a-t-il dit, prévenant qu'il ne voulait "plus voir de querelles" de personnes. Alors qu'il tançait encore mardi soir une équipe sortante accusée de "se complaire dans la bobosphère parisienne" au lieu "de donner des moyens aux départements", il a appelé à l'unité du syndicat. Après une campagne dure, il l'a emporté dans un scrutin assez serré, à 74 voix contre 68, selon les résultats proclamés mercredi, au 32e congrès du syndicat à Auch (Gers). Président de la chambre d'agriculture de la Haute-Vienne depuis 2019, il a mis en avant son expérience de terrain et promu un syndicat "au service des équipes départementales dans la défense des paysans". Comme la sortante Véronique Le Floc'h, il a posé le diagnostic de la "crise de croissance" d'un syndicat qui a gonflé d'un coup, raflant notamment des voix à la puissante FNSEA. A l'adresse de ses soutiens, la frange dure et puissante du syndicat dans le Sud-Ouest, il a promis de continuer la mobilisation sur le terrain et de "combattre" les écologistes. "Les écolos, la décroissance, veulent nous crever, nous devons leur faire la peau", a-t-il lancé, déclenchant des applaudissements nourris dans la salle. Dès le début, sa candidature a été soutenue par les dirigeants des places fortes du syndicat aux bonnets jaunes, du Gers au Lot-et-Garonne: les "sudistes" estiment que la percée aux élections leur est largement attribuable, portée par des actions musclées, comme la tentative de blocage de Paris en janvier ou le saccage de bureaux de l'Office français de la biodiversité. En janvier, à l'issue d'une campagne de "dégagisme" qui a ébranlé l'alliance historique FNSEA-Jeunes agriculteurs (JA), la Coordination rurale a obtenu près de 30% des voix des agriculteurs (contre 20% six ans auparavant). Elle s'est retrouvée à la tête de 11 chambres d'agriculture et dispose désormais de confortables subventions publiques (4,02 millions d'euros), dépassant celles de la FNSEA (3,7 millions) et des JA (3,8 millions) séparément.

19.11.2025 à 13:03

Lutte contre le narcotrafic : l'État impuissant ?

Roselyne FEBVRE

Le ministre de l'Intérieur estime qu'"un point de bascule" a été atteint après le meurtre, à Marseille, du frère du militant écologiste Amine Kessaci. Emmanuel Macron a convoqué une réunion à l’Élysée pour faire le point sur la mise en œuvre de la loi narcotrafic. L'État est-il impuissant devant la montée grandissante des réseaux mafieux ? Roselyne Febvre pose la question à Pablo Pillaud-Vivien de la revue Regards et Dominique de Montvalon, éditorialiste politique.

19.11.2025 à 12:57

Santé: l'épidémie de chikungunya s'achève en métropole

FRANCE24

"En ce mi-novembre, la transmission est en net ralentissement et la majorité des foyers sont dorénavant inactifs", a constaté dans un bilan hebdomadaire Santé publique France. L'activité des moustiques tigres, qui transmettent le virus à l'origine du chikungunya, "est en nette diminution et la transmission devrait cesser", précise l'agence, soulignant que le dernier cas autochtone identifié avait vu ses symptômes apparaître le 30 octobre à Antibes. L'épidémie de chikungunya, une maladie dont les symptômes sont proches de la grippe, aura été d'une ampleur exceptionnelle cette année en métropole, avec plus de 800 cas autochtones recensés. Jusqu'alors, les records culminaient à une trentaine de cas annuels pour cette maladie longtemps circonscrite aux tropiques. Cette situation exceptionnelle s'explique en partie par une forte épidémie, la plus sévère depuis 20 ans, outre-mer à La Réunion et dans la zone de l'océan Indien. Elle a joué sur l'arrivée de cas importés, lesquels ont ensuite favorisé des contaminations hexagonales. Mais, plus généralement, le réchauffement climatique favorise l'implantation du moustique tigre dans des régions d'où il était absent voici quelques décennies. Le moustique tigre transmet également la dengue, mais l'année est moins marquante en la matière: cette année la métropole a comptabilisé 29 cas autochtones, loin du record de toute l'année 2024 (66 cas). Tous les foyers sont désormais clos. La situation s'est aussi stabilisée pour la fièvre West Nile, transmise par le moustique Culex plus courant en Europe de l'ouest: 59 cas autochtones sont désormais enregistrés pour cette année en métropole, soit un seul de plus que début novembre, mais d'ores et déjà un record: le précédent remontait à 2023 avec 43 cas. Trois décès ont, au total, été enregistrés à la suite de cette maladie, un bilan qui ne s'est pas alourdi depuis plusieurs semaines.

19.11.2025 à 12:38

MBS reçu par Trump à la Maison-Blanche : le prince héritier attend "des garanties de sécurité"

FRANCE24

Le président américain Donald Trump a reçu ce mardi 18 novembre le prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane à Washington. Nous en parlons avec notre invité Bertrand Besancenot, diplomate et ancien ambassadeur de France au Qatar et en Arabie Saoudite.

19.11.2025 à 12:06

Guerre en Ukraine : plusieurs morts dans l'ouest et des dégâts après des frappes russes

FRANCE24

Des explosions ont secoué les villes de Lviv et de Ternopil, où les étages supérieurs d'une tour d'habitation ont été pulvérisés. Emmanuelle Chaze nous en dit plus.

19.11.2025 à 12:03

Le Louvre : les bijoux volés restent introuvables

FRANCE24

Un mois après le "casse du siècle" dans le musée le plus visité au monde, les bijoux du Louvre restent introuvables.

19.11.2025 à 12:00

L'écrivain Boualem Sansal de retour en France, aussitôt reçu par Macron

FRANCE24

Boualem Sansal de retour en France : l'écrivain franco-algérien, qui se trouvait en Allemagne depuis sa libération de prison en Algérie mercredi, a atterri sur le sol français mardi 18 novembre et a aussitôt été reçu par Emmanuel Macron.

19.11.2025 à 11:59

Ukraine: 25 morts dans une frappe russe avant des efforts diplomatiques en Turquie

FRANCE24

Le Kremlin a de son côté refusé de commenter des informations publiées par le média américain Axios, selon lesquelles Washington et Moscou préparent discrètement un plan de paix pour mettre fin à près de quatre ans de guerre en Ukraine. M. Zelensky est arrivé dans la matinée à Ankara pour rencontrer son homologue turc, Recep Tayyip Erdogan. En revanche, l'émissaire américain Steve Witkoff ne sera pas présent, a indiqué à l'AFP un responsable américain. Selon des responsables ukrainiens à l'AFP, ces contacts, sans présence russe, visent surtout à "réengager" les Etats-Unis dans le processus de paix et à les convaincre d'accroître la pression sur Moscou. En attendant, l'Ukraine a vécu dans la nuit l'une des attaques les plus meurtrières de l'année, impliquant 476 drones et 48 missiles russes, dont respectivement 442 et 41 ont été abattus, selon l'armée de l'air. Cette attaque a notamment visé les régions occidentales de l'Ukraine, d'ordinaire plus épargnées en raison de leur éloignement du front: Lviv, Ivano-Frankivsk et Ternopil. A Ternopil, au moins 25 personnes ont été tuées, dont trois enfants, et 73 blessées, selon le dernier bilan du ministère de l'Intérieur. Les bombardements ont "endommagé des immeubles d'habitation ainsi que des installations industrielles et des entrepôts", provoquant "des incendies de grande ampleur", a-t-il indiqué. Étages éventrés L'administration régionale de Ternopil a appelé les habitants à rester chez eux et à fermer les fenêtres en raison d'une teneur en chlore dans l'air supérieure à la norme, liée aux incendies et fortes fumées. Un journaliste de l'AFP sur place a vu deux immeubles d'habitation dont les derniers étages ont été éventrés, de la fumée s'échappant de ce qu'il restait des appartements, tandis que des pompiers s'activaient autour avec une lance à incendie. Comme lors d'autres attaques, la Roumanie, membre de l'Otan et voisine de l'Ukraine, a annoncé avoir déployé des avions en réponse à une nouvelle incursion de drone sur son territoire. En Russie, le ministère de la Défense a rapporté mercredi avoir neutralisé, la veille, une attaque ukrainienne à l'aide de missiles américains ATACMS sur la ville de Voronej, dans le sud-ouest du pays. Il a précisé avoir abattu les quatre missiles, la chute de débris ayant endommagé entre autres une clinique et un orphelinat sans faire de victimes. L'état-major ukrainien avait confirmé mardi soir avoir attaqué la Russie à l'aide d'ATACMS, une arme américaine qui n'avait pas été utilisée depuis plusieurs mois. Le ministère russe de la Défense a aussi dit mercredi avoir abattu 65 drones ukrainiens au-dessus de six régions de Russie. "Réengager" Washington Depuis son retour au pouvoir en début d'année, Donald Trump s'est présenté comme un médiateur pour ce conflit, bien que Washington ait été un soutien militaire et financier majeur de Kiev depuis quatre ans. Ses efforts n'ont toutefois pas abouti à une cessation des hostilités. Se disant tour à tour frustré par Volodymyr Zelensky et Vladimir Poutine, il a finalement adopté en octobre des sanctions contre le secteur pétrolier russe. Plusieurs sessions de pourparlers entre Russes et Ukrainiens à Istanbul cette année n'ont pas abouti à des avancées majeures. La Russie, qui occupe environ 20% de l'Ukraine, réclame que celle-ci lui cède cinq régions et renonce à intégrer l'Otan. Kiev refuse et réclame le déploiement de troupes occidentales pour se protéger, idée que la Russie juge inacceptable. La volonté de Kiev de relancer les pourparlers intervient à un moment très difficile pour l'armée ukrainienne. Une ville clé sur le front Est, Pokrovsk, semble sur le point de tomber ; les soldats russes ont pénétré cet été dans la région de Dnipropetrovsk (centre-est) et avancent depuis plusieurs jours dans celle de Zaporijjia (sud), où le front était largement gelé depuis deux ans. La semaine dernière, le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, avait indiqué que Moscou était "ouvert à des processus de négociation" pour résoudre le conflit, tout en jugeant Kiev et l'Europe responsables du gel des discussions.

19.11.2025 à 11:53

Donald Trump : "Tais-toi, truie" a lancé le dirigeant à une journaliste

FRANCE24

Une journaliste de l'agence de presse Bloomberg a posé une question à Donald Trump sur l'affaire Jeffrey Epstein. La réponse du président américain : "Tais-toi, truie". Le dirigeant est habitué aux insultes aux journalistes femmes, pour éviter les questions qu'il n'apprécie pas.
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