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02.02.2025 à 19:57

Hand/Mondial-2025: le Danemark toujours plus haut

FRANCE24

Les Danois avaient déjà réalisé un inédit triplé mondial il y a deux ans à Stockholm, ils ont mis la barre encore plus haut pour asseoir un peu plus leur domination sur la planète de la balle collante, similaire à celle de la France du milieu des années 2000 au milieu de la décennie suivante. Les stars Mikkel Hansen et Niklas Landin ont beau avoir raccroché après les JO, l'équipe dirigée depuis 2017 par Nikolaj Jacobsen a survolé le Mondial, remportant tous ses matches par un écart moyen ahurissant de 12,5 buts. "On a joué un handball fantastique du premier au dernier jour. Bravo aux joueurs, ils ne sont pas seulement incroyables sur le terrain mais aussi en dehors. Ces jeunes garçons aiment jouer au handball", a déclaré Jacobsen. La Croatie, victorieuse chez elle de la France en demi-finale à Zagreb (31-28), n'a pas longtemps entrevu un deuxième titre mondial (après 2003), menée de quatre buts à la mi-temps (16-12) puis de six (19-13) dès la 35e minute. Malgré une belle résistance en seconde période, elle n'a pas pesé plus lourd que les Allemands (40-30 au deuxième tour), les Brésiliens (33-21 en quarts de finale) et les Portugais (40-27 en demi-finale). "C'est une équipe fantastique à regarder et incroyablement difficile à affronter. Je ne leur vois aucune faiblesse", a souligné le sélectionneur islandais des Croates, Dagur Sigurdsson. Gidsel stratosphérique Tous ont été emportés par le collectif danois, intraitable en défense et parfaitement huilé en attaque. "Nous prenons du plaisir à jouer ensemble, ça se voit sur le terrain, et à être ensemble. On ressent le désir dans l'équipe d'être le meilleur tout le temps", a expliqué Jannick Green, le deuxième gardien du Danemark, qui évolue au Paris Saint-Germain. Un collectif sublimé par le meneur de jeu de Flensbourg (Allemagne) Simon Pytlick (3 buts et 6 passes décisives dimanche), par le gardien du FC Barcelone Emil Nielsen (13 arrêts sur 34 dimanche, 38% de réussite, 43% sur l'ensemble de la compétition) et, surtout, par Mathias Gidsel. L'arrière droit de Berlin, au bras gauche de plomb et aux jambes de feu, a un peu plus assis son statut de meilleur joueur du monde (titre qu'il a obtenu en 2023): 10 buts (sur 11 tirs, plus 4 passes décisives) face aux Croates, pour porter son total lors du Mondial à 74 (8,2 en moyenne par match, sans tirer les penalties). "Mathias ? Je suis fatigué de parler de lui, je suis à court de mots pour le décrire", a souri Green. "Il est juste incroyable, il marque à partir de rien. Je ne sais pas si je peux dire ça, mais il est emmerdant pour les adversaires: je le déteste quand je l'affronte. Il est agaçant", a-t-il ajouté. Gidsel termine meilleur marqueur et meilleur joueur du Mondial, à seulement 25 ans. Pytlick n'en a lui que 24 et Nielsen 27: le Danemark, sacré champion du monde pour la première fois en 2019, a encore de beaux jours devant lui et la concurrence du souci à se faire.

02.02.2025 à 19:41

L1: Rennes arrache la victoire pour la première de Beye

FRANCE24

Ces trois points permettent au club breton de sortir de la zone rouge (15e avec 20 points), alors que Strasbourg reste confortablement lové en milieu de classement (9e avec 27 pts). Arrivé vendredi au chevet des Bretons qui n'avaient pas réussi à se relancer sous le court règne de Jorge Sampaoli -- dix matches, dont sept défaites, Habib Beye était très attendu. Si son premier match comme joueur professionnel, sous le maillot alsacien, avait été un match nul entre Rennes et Strasbourg (1-1) en août 1998, il a cette fois gagné pour sa première sur un banc de L1, mettant fin à cinq défaites de rang en 2025. Sous les encouragements du Roazhon Celtic Kop, le principal groupe de supporters, qui avait appelé à "l'union sacrée" dans un communiqué cette semaine après sa grève contre Brest, Rennes a prouvé que son encéphalogramme n'était pas définitivement plat. Il reste encore beaucoup de travail pour gommer les nombreuses scories techniques et Beye aura besoin de temps pour peaufiner son système mais il a indéniablement déjà réussi à insuffler un esprit qui tranche avec l'apathie des dernières semaines. Le match a même par moment été assez électrique à l'image du duel entre Christopher Wooh et Emmanuel Emegha souvent à la limite. Avec un 3-4-3 où figurait deux recrues hivernales, le Japonais Kyogo Furuhashi en pointe et Lilian Brassier, de retour dans son club formateur, en axe gauche de la défense, Rennes a été très généreux dans ses efforts et dans ses courses, ce qu'on ne voyait pas forcément lors des derniers matches. Le pressing très haut a considérablement gêné Strasbourg pendant les vingt premières minutes. Après seulement 27 secondes de jeu, Arnaud Kalimuendo avait allumé la première mèche d'une frappe bloquée par Djordje Petrovic. Mais les débats se sont rééquilibrés ensuite, Rennes ayant du mal à se montrer vraiment dangereux à l'image du tir hors-cadre de Kalimuendo (30e) ou celui totalement raté de Furuhashi aux 16 mètres (43e). Emegha en échec devant Samba En seconde période les Bretons ont redoublé d'efforts mais il a fallu attendre quasiment une demi-volée de Jordan James pas loin du cadre (69e) pour que le stade vibre vraiment. La libération est venue à la 89e, Ludovic Blas s'appliquant pour reprendre du plat du pied gauche un corner mal repoussé, hors de portée de Petrovic (1-0, 89e), laissant Beye de marbre, peut-être pour ne pas célébrer contre son ancien club. Ou peut-être a-t-il juste eu conscience que le match aurait pu basculer de l'autre côté sans un Brice Samba qui semble avoir enfin trouvé ses marques. Malgré un jeu au pied parfois encore imprécis, il a réussi deux très belles sorties dans les pieds d'Emegha (36e, 44e) et une manchette précieuse face au même joueur (70e). L'attaquant néerlandais a aussi raté le cadre et l'égalisation dans le temps additionnel (90+2), permettant à Beye de lâcher enfin des sourires après le coup de sifflet final avec son groupe enfin soudé à nouveau.

02.02.2025 à 19:41

Foot: Manchester City prend une claque chez Arsenal (5-1)

FRANCE24

Chez eux, les "Gunners" ont passé quatre buts en seconde période aux quadruples champions d'Angleterre en titre (4e, 41 pts), désormais sous la menace de Chelsea (6e, 40 pts) qui reçoit West Ham lundi. Au classement, Arsenal (2e, 50 pts) suit le rythme du leader Liverpool (56 pts), lequel conserve toutefois un match en retard à disputer. L'équipe de Mikel Arteta a fait vivre un enfer à la défense de Manchester City, pourtant bien équipée dimanche à l'Emirates. Une passe de John Stones a mis en difficulté Manuel Akanji, cerné par deux joueurs et qui s'est fait contrer, Kai Havertz a récupéré le ballon et servi Martin Odegaard qui a marqué après 103 secondes (2e, 1-0). Manchester City a dominé ensuite mais David Raya a repoussé une tête de Josko Gvardiol sur sa barre transversale (23e) et plongé vite au sol pour sortir, d'une belle manchette, un tir de Savinho (44e). Le gardien espagnol s'est incliné sur un centre de Savinho repris de la tête par Erling Haaland, mieux placé que William Saliba (55e, 1-1). Mais Arsenal a repris les devants très rapidement: Thomas Partey a intercepté une très mauvaise passe de Phil Foden et déclenché une frappe victorieuse, déviée par le dos de Stones (57e, 2-1). Le jeune latéral gauche Myles Lewis-Skelly (18 ans) s'est joint à la fête en marquant de son mauvais pied, le droit (62e, 3-1). L'arrière formé à Hale End, l'académie d'Arsenal, a imité la célébration de Haaland, assis à terre en méditation, pour chambrer l'attaquant norvégien. Haaland avait intimé à l'entraîneur d'Arsenal, Arteta, de "rester humble" après le match aller (2-2). Même le DJ du stade s'en est souvenu, en passant le titre "Humble" du rappeur Kendrick Lamar au coup de siffle final. Kai Havertz a corsé l'addition (76e, 4-1) avant le dernier but signé Ethan Nwaneri (90e+3). La première défaite de l'année 2025 en Premier League tombe mal pour Manchester City, avant le double barrage à venir contre le Real Madrid. En championnat, le calendrier s'annonce tout aussi épicé avec Newcastle, Liverpool, Tottenham, Nottingham Forest et Brighton dans les cinq prochains matches.
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