Grande star des émissions de nuit, les fameux "late night shows", Jimmy Kimmel avait provoqué l'ire de la droite américaine en l'accusant d'exploiter politiquement l'assassinat de l'influenceur pro-Trump Charlie Kirk.
Propriété de Disney, ABC avait alors suspendu d'antenne l'animateur le 18 septembre. Face au tollé et aux accusations de censure, la chaîne avait fait revenir l'humoriste une semaine après son éviction.
Le présentateur restera à l'antenne avec son émission "Jimmy Kimmel Live!" jusqu'au milieu de l'année 2027, a assuré à l'AFP une source proche du dossier, qui a requis l'anonymat.
Son contrat devait expirer en mai 2026.
Après sa courte mise à l'écart, Jimmy Kimmel a immédiatement repris sa verve satirique contre Donald Trump, se moquant de lui lorsqu'il somnole durant des réunions et qu'il prononce mal les noms de dirigeants étrangers.
Le président américain ne mâche pas non plus ses mots à son encontre. Ce week-end, il a encore qualifié l'humoriste d'"horrible".
Pas rancunier, Jimmy Kimmel avait de son côté affirmé en octobre qu'il adorerait "avoir Trump comme invité" dans l'avenir.
Le Japon redoute mardi de nouvelles secousses après un séisme de magnitude 7,5 la veille au soir, suivi de plusieurs vagues de tsunami de 70 cm. Selon la Première ministre, le bilan s'élève à 30 blessés au moins.
Pékin enregistre un excédent commercial exceptionnel qui dépasse pour la première fois de son histoire les 1000 milliards $ alors que la Chine est la première exportatrice mondiale depuis 2009. Les ventes chinoises à l'exportation ont continué à progresser malgré la guerre commerciale de Donald Trump et un marché intérieur atone. Si l'empire du milieu continue à grignoter des parts sur tous les autres pays du monde, c'est parce qu'il a su s'adapter aux défis de l'époque en cherchant de nouveaux clients en Amérique latine, au Moyen-Orient et en Europe. L'UE voit d'ailleurs rouge alors que son déficit commercial ne cesse de s'accentuer face à la Chine, à 300 milliards de dollars en 2024. Au point qu'Emmanuel Macron appelle Pékin à redresser le tir, faute de quoi Bruxelles pourrait décider d'appliquer elle aussi des tarifs douaniers punitifs dans les prochains mois, affirme le président français.