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01.07.2025 à 22:23

TF1 creuse le sillon des fictions historiques pour une saison "conquérante"

FRANCE24

Bientôt privée de sa série phénomène "HPI", dont les ultimes épisodes seront diffusés prochainement, la Une a plein d'autres cartes dans sa manche. "On a une vingtaine de nouveautés en fiction", a fait valoir mardi à l'AFP le directeur des programmes et des acquisitions de TF1, Fabrice Bailly, en amont d'une conférence de presse sur la rentrée "offensive" du groupe audiovisuel. Outre la saison 2 de "Cat's Eyes" - dont la première avait été cofinancée par Prime Video, la plateforme d'Amazon -, TF1 mise sur deux autres superproductions, "L'Ete 36" et "Montmartre", séries d'époque respectivement coproduites avec Netflix et Disney+, qui les diffuseront dans un second temps. La première s'inscrit dans le sillage des deux sagas sur lesquelles ont collaboré TF1 et Netflix, "Le bazar de la charité", qui se déroulait au 19e siècle, et "Les Combattantes", durant la Première Guerre mondiale. Julie de Bona, Sofia Essaïdi, Nolwenn Leroy et Constance Gay y camperont quatre femmes de milieux différents mêlées à un meurtre dans un hôtel très chic de Nice en 1936, l'année des premiers congés payés. Coproduite avec Disney+, "Montmartre" plongera elle dans le monde du cabaret en 1899 à travers Céleste (Alice Dufour), danseuse de cancan amenée à devenir la première effeuilleuse de Paris. De manière plus surprenante, TF1 vient de démarrer le tournage d"'Oradour ne m'oublie pas", un téléfilm sur le massacre d'Oradour-sur-Glane avec Matt Pokora. Le chanteur de 39 ans y campera un officier des Forces Françaises Libres parachuté près du village du Limousin "le 5 juin 1944, cinq jours avant le plus important massacre de civils français pendant la Seconde Guerre mondiale". Au rayon nouveautés figurent aussi la comédie romantique "La belle et le boulanger", remake d'une série israélienne porté par le chanteur Amir, "Rien ne t'efface", adaptation du roman éponyme de Michel Bussi, avec Gwendoline Hamon ("Cassandre) et Fauve Hautot, ou encore "Filip", un téléfilm sur le destin tragique du leader des 2be3, Filip Nicolic. "Test permanent" "TF1 est un des acteurs qui investit le plus en fiction française", un genre "qui fonctionne très bien sur le linéaire (télévision traditionnelle), mais aussi sur le streaming", a commenté Fabrice Bailly. La première chaîne de France (18,8% de part d'audience de septembre à juin), tire une part de plus en plus importante de ses audiences de la plateforme TF1+ (30% pour "Cat's Eyes", par exemple), lancée en 2024 et qui revendique 4 millions d'utilisateurs quotidiens. Dans ce contexte, l'association avec les plateformes américaine permet à TF1 de "financer des oeuvres extrêmement ambitieuses", sans que le partage de la diffusion n'induise "une cannibalisation des audiences", assure Fabrice Bailly. En "test permanent", TF1 diffusera ainsi les séries "Ghosts" et "Bref.2" plusieurs mois après leur arrivée sur Disney+. Le groupe, qui comprend aussi les chaînes LCI, TMC, TFX, TF1 Séries films, a récemment créé la surprise en annonçant un partenariat inédit avec Netflix, qui proposera l'ensemble de ses contenus à partir de l'été prochain. Une "stratégie d'hyper-distribution essentielle face à la fragmentation des usages", assure M. Bailly. Outre la fiction, le groupe mise également sur ses programmes de divertissements, avec des nouveautés comme le jeu "Bataille navale", présentée par Arthur, ou "The box", dont les candidats, enfermés dans des containers jaunes, découvriront les règles en même temps que les téléspectateurs. A noter également, le retour de l'émission "Stars à domicile" pour deux numéros présentés par la journaliste Isabelle Ithurburu, nouveau joker du 13H. Côté sport, TF1 ne pourra pas compter sur le Mondial de football 2026, dont les droits ont été raflés par M6, ni sur le tournoi des Six Nations de rugby, conservé par France Télévisions. Le groupe proposera toutefois les matchs amicaux et les qualifications des Bleus en football et la tournée d'automne du XV de France, après la Coupe du monde féminine de rugby (22 août-27 septembre) et les matches des Bleus à l'Eurobasket (27 août-14 septembre).

01.07.2025 à 22:21

Macron et Poutine divisés sur l'Ukraine, prêts à coopérer sur l'Iran

FRANCE24

Cet échange était destiné en premier lieu à faire le point sur l'Iran - Paris et Moscou étant cosignataires de l'accord de Vienne de 2015 sur le nucléaire iranien - mais a aussi en partie porté sur l'Ukraine. Emmanuel Macron a souligné "le soutien indéfectible de la France à la souveraineté et à l'intégrité territoriale de l'Ukraine", a insisté l'Elysée, alors que la Russie occupe près de 20% de ce pays. Il a appelé à "l'établissement, dans les meilleurs délais, d'un cessez-le-feu et au lancement de négociations entre l'Ukraine et la Russie pour un règlement solide et durable du conflit", a poursuivi l'Elysée. Ces dernières semaines, les frappes russes contre l'Ukraine ont augmenté. L'Ukraine a de son côté mené mardi une nouvelle attaque en profondeur en Russie, à 1.000 kilomètres de son territoire, contre une usine fabriquant "des systèmes de défense antiaériens" et "des drones" à Ijevsk. Le président russe a prévenu son homologue français que tout accord de paix en Ukraine devait être "global et sur le long terme, prévoir l'élimination des causes profondes de la crise ukrainienne et s'appuyer sur de nouvelles réalités territoriales", a de son côté souligné le Kremlin, qui entend annexer les provinces conquises. Pour Vladimir Poutine, le conflit ukrainien est "une conséquence directe de la politique des Etats occidentaux", qui ont "ignoré les intérêts sécuritaires de la Russie depuis des années" et créé une "tête de pont anti-russe en Ukraine". "Rien à discuter" Malgré leurs positions très éloignées, les deux dirigeants, qui se sont entretenus durant "plus de deux heures au téléphone", ont convenu de continuer "d'échanger" sur le conflit en Ukraine, a précisé l'Elysée. Le dernier échange entre les deux dirigeants remonte au 11 septembre 2022 et portait sur la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia, occupée par les Russes et dont la sécurité était alors menacée. Le président français, qui s'était vu reprocher de continuer à parler au maître du Kremlin pendant des mois après le début de l'offensive russe en Ukraine, en février 2022, a ensuite cessé tout contact, accusant Vladimir Poutine de "mentir" sur ses intentions et sa volonté de paix. Il a donc pris le risque de renouer avec lui, dans la foulée de Donald Trump depuis son retour à la Maison Blanche en janvier, d'abord pour parler d'Iran mais sans omettre de rappeler ses exigences sur l'Ukraine, souligne-t-on à Paris. Pour l'analyste russe Tatiana Stanovaya, cet appel "ne veut pas dire que l'Ukraine va perdre tout soutien". "Il montre plutôt la volonté des Européens d'avoir une place à la table" des négociations, même s'il "n'y a rien à discuter" pour l'instant du fait de l'intransigeance russe, a-t-elle déclaré à l'AFP. Concernant le nucléaire iranien, les deux dirigeants ont "décidé de coordonner leurs démarches et de se parler prochainement afin de faire le suivi ensemble" du dossier, selon l'Elysée. La diplomatie d'abord Malgré les dommages subis par ses installations nucléaires, Téhéran dispose des capacités techniques pour recommencer à enrichir de l'uranium d'ici "quelques mois", estime le patron de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) Rafael Grossi. A cet égard, MM. Poutine et Macron ont martelé que les crises au Moyen-Orient devaient être résolues "par la diplomatie", a renchéri la présidence russe. Emmanuel Macron a insisté sur la nécessité d'un "règlement durable et exigeant du dossier nucléaire, de la question des missiles de l'Iran et de son rôle dans la région", a poursuivi l'Elysée. Outre son programme nucléaire, soupçonné par les Occidentaux de visées militaires, Téhéran a développé un ambitieux programme balistique et exercé une forte influence régionale, de la Syrie au Yémen, aujourd'hui sérieusement mise à mal par les opérations israéliennes contre ses allié du Hezbollah au Liban et du Hamas à Gaza, ainsi que contre ses propres installations militaires. Le président français a demandé que les inspecteurs puissent "reprendre leur travail sans délai" en Iran, alors que Téhéran menace de rompre avec l'AIEA. Vladimir Poutine a de son côté insisté sur le fait que l'Iran avait "le droit" de développer un programme "nucléaire civil", a précisé le Kremlin. Le président français avait annoncé jeudi son intention de parler "dans les prochains jours" avec chacun des cinq membres permanents du Conseil de sécurité de l'ONU pour faire en sorte que l'Iran respecte le Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires (TNP). Outre la France et la Russie, les autres membres permanents sont les Etats-Unis, le Royaume-Uni et la Chine.

01.07.2025 à 22:15

Explosion dans une usine chimique en Inde: le bilan monte à 36 morts

FRANCE24

"Les opérations de recherche se poursuivent", a déclaré devant la presse le "ministre en chef" de l'Etat, Revanth Reddy, confirmant que 36 morts avaient déjà été retiré des décombres du site. Un précédent bilan faisait état de 35 morts. "Nous craignons que d'autres personnes se trouvent encore sous les débris", a ajouté M. Reddy à l'issue d'une visite de l'usine, dans le district de Sangareddy. Selon le "ministre en chef", un total de 143 personnes se trouvaient dans l'usine du groupe pharmaceutique Sigachi Industries au moment de la déflagration. L'entreprise a précisé que le site, où elle fabrique une substance utilisée comme liant dans les médicaments ou les suppléments vitaminés, avait souffert d'importants dommages et que le travail y avait été suspendu pour au moins 90 jours. Une enquête a été ouverte pour déterminer les causes de l'explosion. Les accidents industriels sont fréquents en Inde, où de nombreuses entreprises ne respectent pas les normes de sécurité en vigueur.
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