Lors de la présidentielle du 23 novembre en Guinée-Bissau, M. Dias était l’adversaire du président sortant, Umaro Sissoco Embalo, renversé trois jours après le scrutin par un coup d’Etat militaire.
Cette peine est assortie d’une interdiction de voyager de deux ans et d’adhésion à tout groupe politique ou social, a précisé son avocat, sans donner de détails sur la nature exacte de ce qui est reproché à son client, qui se trouve actuellement à l’étranger.