La décision du service de renseignement concernant l’Alternative pour l’Allemagne relève des mécanismes de défense prévus par les principes de la démocratie dite « combative », rappelle la professeure de droit public dans une tribune au « Monde ».
Le garde des sceaux a beau reconnaître que de nombreux détenus n’ont rien à faire en prison, il refuse le principe de la régulation carcérale, qui consisterait à en laisser sortir certains quelques semaines avant le terme de leur peine.