Au-delà de la tournure politique prise par l’affaire de Bétharram et la mise en cause du premier ministre, François Bayrou, le travail des députés de la commission d’enquête sur les violences en milieu scolaire devra surtout déboucher sur des avancées concrètes, qui permettraient une véritable expression des victimes et une prévention efficace.
Plusieurs députés, du centre à l’extrême droite, se sont en revanche indignés de la manière dont François Bayrou a été interrogé par la commission d’enquête sur les violences en milieu scolaire.
Le premier ministre, dans un échange très tendu avec la commission d’enquête parlementaire, a fait de cette inspection qu’il avait diligentée à Bétharram un élément central de sa défense. Des zones d’ombre persistent néanmoins sur les conditions de cette visite et sur ses conséquences.
Pour percevoir davantage d’aides sociales et sécuriser leur situation, de plus en plus d’Ukrainiens installés en France déposent des demandes d’asile, au grand dam du gouvernement.
La direction nationale de la police judiciaire estime qu’en 2023, près du quart des enquêtes pour homicide ou tentative élucidées ont impliqué des individus âgés de moins de 20 ans.
Les prises de parole devant la cour criminelle du Morbihan, qui juge depuis le 24 février l’ex-chirurgien pour viols et agressions sexuelles contre 299 patients, ont encouragé d’autres victimes à témoigner et à se porter partie civile.
Le tribunal de Paris a condamné l’acteur à verser 1 000 euros à ses deux victimes au motif qu’elles avaient été « exposées à une dureté excessive des débats à leur encontre » du fait de la défense agressive de son avocat, Jérémie Assous.