La régression trumpiste en politique étrangère a des origines composites : aux causes extérieures se mêlent des évolutions survenues sur la scène intérieure, explique, dans sa chronique, Alain Frachon, éditorialiste au « Monde ».
Le secrétaire d’Etat américain, Antony Blinken, a qualifié le candidat de l’opposition à la présidentielle du 28 juillet Edmundo Gonzalez de « président élu » du Venezuela, tandis que la Chambre des représentants a adopté de nouvelles sanctions contre le régime de Nicolas Maduro.
Le retour du républicain à la Maison Blanche pourrait compliquer les projets de régulation des contenus sur Internet promus par l’Union européenne face aux géants américains du numérique, observe Alexandre Piquard, dans sa chronique au « Monde ».