Gentillet et apolitique, le film de Baya Kasmi narre la rencontre d’une famille nomade antisystème et d’un prof qui les héberge dans le sud de la France.

Fable sur le patriarcat, les violences sexuelles et la censure, le «Barbie chinois» est salutaire mais excessivement inoffensif.

David Yarovesky teste les limites psychologiques de son personnage, torturé par le propriétaire de la voiture qu’il comptait voler, dans un huis-clos sans vitalité ni imagination.

Fruit de six mois de travaux et de quasi 120 heures d’auditions, le rapport de la commission d’enquête parlementaire rendu ce mercredi dresse le tableau d’un secteur «surexposé» au risque de violences et propose des solutions.

Récit des aventures intimes d’un jeune homme écrivain et travailleur du sexe, le séduisant long métrage indé de Mikko Mäkelä finit par se complaire dans une beauté lisse.

Un film gris-maronnasse où une journaliste new-yorkaise et son père survivant d’Auschwitz se rendent en Pologne, et une aventure humaine au lait de brebis bio AOP dans laquelle un publicitaire se reconvertit en berger.

Un recueil de textes par douze écrivains du système solaire SF.

Le club Jet Set, le plus ancien du pays, accueillait lundi 7 avril au soir un concert de Rubby Pérez, chanteur très populaire qui pourrait se trouver parmi les victimes. Les recherches se poursuivent pour retrouver des survivants.

La star américaine fera à nouveau son apparition lors du prestigieux festival le 14 mai prochain pour y présenter, hors compétition, le tout dernier film de la saga, ont annoncé les organisateurs ce mardi 8 avril. «Mission : Impossible - The Final Reckoning» sortira en salles le 21 mai.

Le cinéaste revient sur le tournage du «Village aux portes du paradis», premier film somalien montré au Festival de Cannes, marqué par la spontanéité dans le choix des plans et la recherche de solutions créatives.

Le cinéaste somalien Mo Harawe filme ses personnages, son pays et le vent dans un premier long métrage poétique et obstiné.

Lieu emblématique de la scène pop indépendante, le bar du XIe arrondissement a fermé ses portes le samedi 5 avril. Laissant derrière lui quelques souvenirs qui fleurent bon les années 2000 et 2010.

Alors que le long métrage de Nelson Foix cartonne dans l’archipel, signe d’une demande pour des récits non formatés pour l’Hexagone, les aides du CNC et la région vont baisser cette année.

A la fois mal aimable et d’une beauté sombre, le film sur l’existence misérable d’une couturière danoise est aussi empreint d’espoir.

«Libé» vous guide dans les pièces ou spectacles de danse à voir, à Paris ou en régions. Avec aussi : «Anatomie d’un suicide» par Christophe Rauck et «Vaisseau familles» du Collectif Marthe.

Subtile réflexion sur la mémoire en fuite, la pièce musicale retrace avec poésie la lutte du compositeur, brillamment incarné par Vladislav Galard, contre une maladie neurodégénérative.

Le cinéaste et metteur en scène présidera en mai le jury de ce prix alternatif LGBT + qui fête ses 15 ans d’existence cette année.

La série américaine, dont le dernier épisode est diffusé ce lundi 7 avril, montre une scène érotique entre deux frères en effaçant les rapports de pouvoir et de domination. Un écueil fréquent à la télévision.

A l’issue d’un grand oral prévu mercredi 9 avril seront annoncés les noms des futurs directeurs de la structure montpelliéraine. Parmi les rares candidats, la star Hofesh Shechter, la patronne culture des JO Dominique Hervieu mais aussi l’ex-président du puissant Syndicat des scènes publiques Nicolas Dubourg.

L’acteur américain de 81 ans va recevoir en mai le prix honorifique lors de la cérémonie d’ouverture de la 78e édition de l’événement.

Peinture, sculpture, photographie... «Libé» vous guide dans les expositions à voir, à Paris ou en régions. A voir également «In the hours between dawns», Alfred Dreyfus.

Faisant appel à neuf jeunes Afghanes ayant fui leur pays, Jean Bellorini livre une relecture puissante et distanciée de la tragédie de Sophocle.

L’auteur publie un texte beau et dense sur la disparition de son frère.

Dans une adaptation très épurée de «Rabalaïre», roman-fleuve d’Alain Guiraudie, Maurin Ollès se sert de la puissance imaginative pour faire tout voir au public avec presque rien.

Dindons empaillés, tête jivaro, créations d’artistes contemporains… Le centre Pompidou présente des œuvres provocatrices ayant appartenu au mystérieux collectionneur d’art, qui les exposait dans son appartement, reconstitué pour l’occasion.

En concert à Pantin, près de Paris ce jeudi 10 avril, le trio de chevronnés s’affaire à transformer la musique de transe contemporaine en dialogue entre les sons et rythmes traditionnels du monde entier.