L'exploitant de la centrale nucléaire japonaise ravagée en 2011 promet de prendre des dispositions pour empêcher la contamination de se poursuivre dans l'Océan pacifique.
La loi du 13 juillet 2011 interdisant la fracturation n’était pas passée devant le Conseil Constitutionnel. La société américaine Schuepbach demande une QPC.
L'organisme alerte sur la nécessité d'endiguer le réchauffement climatique, au risque, le cas échéant, de voir les récoltes affectées et la pauvreté se développer.
Six Français et un Allemand comparaissaient pour avoir entravé la circulation d'un convoi de déchets radioactifs en 2010. Les peines de sursis ont été alourdies, mais les amendes supprimées.
En conséquence, le système de refroidissement de trois piscines de stockage a dû être suspendu à la centrale nucléaire frappée par un grave incident il y a deux ans.