Le destin du personnage va bien à l’écologisme, ne serait-ce que par sa dimension tragique. Et si la protection de l’environnement modernisait un peu le mythe ? Quoi de plus motivant qu’œuvrer à la préservation du vivant ?
Pour nommer une salle et au sein de l’exposition «la Chine des Tang», le musée national des Arts asiatiques a choisi de remplacer le mot Tibet par «monde himalayen» et «Tubo». Un effacement qui fait fi de l’importance historique et culturelle du Tibet et constitue une violence pour les Tibétains. La FIDH, la LDH et International Campaign for Tibet (ICT) demandent le rétablissement du nom.