Selon les médias qui ont révélé l'affaire, le réseau d'espionnage aurait opéré sous le couvert de la représentation permanente hongroise, dirigée à l'époque par Olivér Várhelyi, qui exerce actuellement en tant que commissaire européen.
Les deux motions de censure, soumises au vote jeudi, ont en commun un point de critique essentiel : les conditions déséquilibrées de l'accord commercial entre l'Union européenne et les États-Unis.