La mort d'Abdelkader Dhibi, un ressortissant tunisien de 35 ans, continue de faire des vagues bien au-delà de Marseille. Abattu par la police française le 2 septembre après avoir poignardé plusieurs personnes dans le centre-ville, il est désormais au cœur d'un bras de fer diplomatique entre Paris et Tunis.
À 30 ans, Hazem peut vivre de sa passion : la danse. Malgré des projets entraînants et un salaire stable, le jeune homme peine à se projeter. Son art lui suffit à peine pour vivre, et il est partagé entre l’envie de continuer son activité au sein de sa troupe ou se lancer en indépendant.
Le siège de l’INAI a été fermé cette semaine, ses employé·es transféré·es à la présidence du gouvernement. Une disparition discrète, qui prive les Tunisien·nes d’un acquis essentiel de la révolution : l’accès à l’information publique.