Le chef de l’agence onusienne, Tedros Adhanom Ghebreyesus, a dénoncé l’intervention israélienne, estimant notamment qu’elle met en péril le soutien au système de santé gazaoui.
Le débat, censé s’achever avec l’adoption définitive de la loi début juillet, resurgit de plus belle à la faveur d’une pétition. Quitte à pousser certains à jouer aux équilibristes.
Les enfants du leader du mouvement des droits civiques appellent ceux qui s’intéresseront aux documents déclassifiés à le faire avec « empathie et respect ».