Thymen Arensman a remporté la dernière étape de montagne du Tour de France 2025, devançant sur la ligne d'arrivée à la Plagne Tadej Pogacar et Jonas Vingegaard. Florian Lipowitz semble désormais dans un fauteuil pour compléter le podium à Paris.
Le président Donald Trump a de son côté de nouveau pris ses distances avec le défunt homme d'affaires, dont il était pourtant très proche il y a plus d'une vingtaine d'années.
"Je n'ai rien à voir avec ce type", a-t-il déclaré à des journalistes à son départ de Washington pour un voyage en Ecosse.
Il a conseillé aux médias de "s'intéresser plutôt" à des personnalités démocrates comme l'ex-président Bill Clinton ou son ministre des Finances Larry Summers, ex-président de Harvard, assurant pouvoir leur "fournir une liste" de personnalités bien plus liées à Jeffrey Epstein que lui.
Interrogé sur la possibilité d'accorder une grâce présidentielle ou une commutation de peine à Ghislaine Maxwell, condamnée en 2022 à 20 ans de prison pour trafic sexuel, Donald Trump a assuré "ne pas y avoir pensé", mais a souligné qu'il en avait le pouvoir.
La mort de Jeffrey Epstein, riche homme d'affaires retrouvé pendu dans sa cellule à New York le 10 août 2019 avant son jugement pour crimes sexuels, a alimenté d'innombrables théories du complot selon lesquelles il aurait été assassiné pour empêcher des révélations embarrassantes sur des personnalités de premier plan.
Donald Trump, qui pendant des mois a promis à sa base des révélations fracassantes sur ce dossier, subit un retour de flamme, y compris dans son propre camp, depuis que son gouvernement a annoncé début juillet n'avoir découvert aucun élément nouveau qui justifierait la publication de documents supplémentaires.
Le ministère de la Justice et le FBI, la police fédérale, ont conclu qu'il n'existait aucune preuve de l'existence d'une liste secrète de "clients" de Jeffrey Epstein et confirmé qu'il s'était bien suicidé.
"Aucune raison de mentir"
C'est dans ce contexte que Todd Blanche, numéro 2 du ministère de la Justice et ancien avocat personnel de Donald Trump dans plusieurs procédures pénales, rencontrait vendredi Ghislaine Maxwell au tribunal de Tallahassee, capitale de la Floride, pour une deuxième journée.
L'équipe de Todd Blanche est entrée au tribunal par une porte dérobée, rapportent les médias américains.
De son côté, David Markus, l'avocat de Ghislaine Maxwell, ex-compagne et collaboratrice de Jeffrey Epstein, a brièvement parlé aux journalistes à son arrivée.
"Ghislaine a été traitée injustement depuis plus de cinq ans maintenant", a-t-il déclaré, la qualifiant de "bouc émissaire".
"Tout ce qu'elle dit peut être corroboré et elle dit la vérité. Elle n'a aucune raison de mentir à ce stade et elle continuera à dire la vérité", a ajouté l'avocat, se refusant à la moindre précision sur la teneur de l'interrogatoire.
Ghislaine Maxwell a été condamnée en 2022 pour avoir recruté entre 1994 et 2004 des jeunes filles mineures afin qu'Epstein les exploite sexuellement.
"Le ministère de la Justice partagera davantage d'information sur ce que nous avons appris au moment opportun", a affirmé Todd Blanche sur X jeudi soir au terme de la première journée de discussions.
Donald Trump a par ailleurs de nouveau nié être l'auteur d'une lettre salace à l'intention de Jeffrey Epstein en 2003 pour le 50e anniversaire de celui-ci, dont le Wall Street Journal a fait état la semaine dernière. Il poursuit le quotidien en diffamation pour cet article et lui réclame des milliards de dollars.
L'administration Trump et ses alliés font feu de tout bois pour se dépêtrer de cette affaire.
Les dirigeants républicains à la Chambre des représentants ont ainsi envoyé dès mercredi les élus en vacances, soit un jour plus tôt que prévu, afin d'éviter des débats potentiellement explosifs, notamment dans leur propre camp, sur l'éventuelle publication de documents de l'affaire Epstein.
Le président français, Emmanuel Macron, a annoncé jeudi 24 juillet que la France allait reconnaître l'État de Palestine en septembre. Mais que signifie concrètement "reconnaître l'État palestinien" ?
Lors de sa première visite officielle dans cet archipel de l'océan Indien depuis qu'il a remporté un troisième mandat l'année dernière, M. Modi a souligné que l'Inde resterait le "premier intervenant" pour les Maldives, qui comptent environ 525.000 habitants.
"L'Inde continuera de soutenir les Maldives dans le renforcement de leurs capacités de défense", a déclaré M. Modi, dévoilant une ligne de crédit de 565 millions de dollars pour le pays qui fait face à une grave pénurie de devises étrangères malgré l'attrait pour son industrie touristique haut de gamme.
"La paix, la stabilité et la prospérité dans la région de l'océan Indien sont nos objectifs communs", a complété le Premier ministre indien, qui a également inauguré plusieurs projets d'infrastructure, notamment des routes financées par l'Inde ainsi qu'un programme de 4.000 logements.
Le président des Maldives Mohamed Muizzu a déclaré que la ligne de crédit de l'Inde serait utilisée pour renforcer les forces de sécurité du pays, améliorer les soins de santé, le logement et l'éducation.
"L'assistance continue de l'Inde aux Maldives grâce à l'exportation de produits essentiels est un élément clé de notre coopération bilatérale", a-t-il déclaré.
L'Inde se préoccupe d'un possible rapprochement entre les Maldives - que le gouvernement considère traditionnellement comme faisant partie de sa sphère d'influence avec le Sri Lanka - et son rival chinois après l'élection en 2023 du président Mohamed Muizzu sur une rhétorique anti-indienne.
Depuis son arrivée au pouvoir, M. Muizzu a obtenu le retrait d'un petit contingent de personnel militaire indien mais a depuis modéré ses propos à l'encontre de son voisin.
M. Muizzu a rencontré M. Modi deux fois l'année dernière à New Delhi, et les deux dirigeants ont juré d'entamer un "nouveau chapitre" dans les relations bilatérales.
L'inventeur de 46 ans, ancien champion de jet-ski, est surnommé l'homme volant après avoir traversé la Manche il y a six ans à bord d'un "flyboard", un exploit qu’il n’a réussi qu’à sa seconde tentative.
"On a eu un petit souci technique sur un moteur thermique, du coup il a préféré amerrir, c'était un scénario qu'on avait prévu en cas de grosses difficultés", a indiqué Lionel Giorgi, responsable sécurité du projet.
"On a un parachute électrique (...) et du coup il a pu amerrir" avant d'être récupéré par un bateau "très rapidement et il est sain et sauf, il va bien", a-t-il ajouté.
Une fois qu'il a décollé, son équipe s'est regroupée derrière les écrans de contrôle, où régnait un silence quasi-total au moment de l'amerrissage.
"C'est un jour de célébration, c'est la fin de cinq années de recherche et développement intensives", s'était ému Franky Zapata lors d'un point-presse avant le départ, reconnaissant "un petit stress".
L'AirScooter, une sorte de petit hélicoptère une place à moteur hybride pouvant atteindre la vitesse de 100 km/h, a décollé verticalement dans un gros bourdonnement, avant de rapidement gagner en vitesse.
Quelques minutes plus tard, il n'était plus qu'un minuscule point à l'horizon, au milieu des voiliers, ferries et navires de la marine nationale qui sillonnaient la mer.
Zapata n'a commencé qu'il y a quelques semaines à voler à bord de l'engin de 115 kg, "développé pour le récréatif" selon ses mots. Une fois dans les airs, ce n'est "que de la promenade", a-t-il assuré.
Son ambition est, d'ici à début 2026, d'implanter à Las Vegas, dans le Nevada (Etats-Unis), un centre de vol de loisir, ouvert au grand public. Selon la réglementation américaine, l'engin peut être utilisé sans licence de pilote en tant que "véhicule ultraléger", précise l'entreprise.
"L'objectif, c'est de faire voler en premier les amis, la famille, l'équipe. Et puis tout le monde qui a envie de voler", a assuré Franky Zapata.
Le 4 août 2019, Franky Zapata avait atteint les côtes anglaises en une vingtaine de minutes à bord de son "Flyboard", une planche volante dotée de cinq mini-turboréacteurs qui lui permettaient d'évoluer jusqu'à 190 km/h.
La Cour de cassation a annulé vendredi lemandat d'arrêt émis en France contre l'ex-président syrien Bachar al Assad, accusé de complicité de crimes contre l'humanité pour son rôle dans des attaques à l'arme chimique en 2013, en raison de l'immunité dont il bénéficiait au moment de son émission.
La Thaïlande a prévenu vendredi que le conflit meurtrier l'opposant au Cambodge pourrait dégénérer en "guerre", juste avant une réunion d'urgence du Conseil de sécurité de l'ONU, dans un contexte d'affrontements qui ont provoqué l'évacuation de près de 140 000 Thaïlandais. Les précisions de Cyrille Charpentier, correspondant France 24 à Surin en Thaïlande.
Vers 13H50 GMT, le Dow Jones prenait 0,10%, l'indice Nasdaq 0,11% et l'indice élargi S&P 500 gagnait 0,17%.
Nous assistons à un "début de séance calme pour clôturer une semaine de records", résument les analystes de Briefing.com.
Les principaux indices de la place américaine ont multiplié les clôtures à leur plus haut niveau ces derniers jours, le S&P 500 ayant même réalisé une série de quatre records d'affilée.
"Ce qui propulse le marché" ces derniers temps, "ce sont les victoires commerciales", indique à l'AFP Sam Stovall de CFRA, évoquant la conclusion d'accords et l'absence de mise en oeuvre, pour le moment, de certains droits de douane annoncés par le président américain Donald Trump.
Un accord commercial entre Bruxelles et Washington est à "portée de main", a assuré jeudi un porte-parole de la Commission européenne, Olof Gill.
Le président américain Donald Trump a affirmé vendredi que la probabilité que les Etats-Unis concluent un accord commercial avec l'Union européenne était de "50-50", alors qu'approche la date butoir du 1er août.
Selon plusieurs sources européennes, ce compromis prévoit des surtaxes douanières de 15% sur les exportations européennes à destination des Etats-Unis, avec des exemptions notamment sur l'aéronautique, les spiritueux ou certains médicaments. C'est bien en deçà des 30% que Donald Trump menaçe d'appliquer.
L'administration Trump compte pour l'heure cinq accords à son actif, avec le Royaume-Uni, le Japon, le Vietnam, l'Indonésie et les Philippines.
"Nous entrons dans une période difficile pour le marché avec une sorte, non pas de pessimisme, mais de prudence", anticipe Sam Stovall, alors que la date butoir du 1er août - à partir de laquelle d'importantes surtaxes américaines doivent être appliquée - approche à grands pas.
De plus, souligne l'analyste, le troisième trimestre est généralement synonyme d'accrocs pour Wall Street.
Côté indicateurs, les investisseurs ont accueilli vendredi une baisse de commandes de biens durables en juin (-9,3%), légèrement moins marquée qu'attendu par les analystes.
Sur le marché obligataire, le rendement des emprunts d'Etat américains à 10 ans était pratiquement stable par rapport à la veille, à 4,41%.
Côté entreprises, le groupe américain de semi-conducteurs Intel (-9,08% à 20.58 dollars) pâtissait de l'annonce de pertes nettes de 2,9 milliards de dollars au deuxième trimestre, en grande partie dues au coût d'un important plan de départ.
Très en retard dans le boom de l'intelligence artificielle (IA), l'entreprise continue sa restructuration dans l'espoir de renouer avec les bénéfices, et réduit la voilure sur les constructions d'usines.
Le chausseur Deckers Outdoor (+12,69% à 118,38 dollars) profitait d'une nette hausse des ventes des chaussures de course Hoka et des bottes Ugg. D'avril à juin, l'entreprise a réalisé un chiffre d'affaires de 964,5 millions de dollars (+17% sur un an) et un bénéfice net par action de 93 cents.
Le groupe de médias Paramount Global (+1,92% à 13,52 dollars) avançait, porté par l'autorisation de son rachat par la société de production Skydance. Le régulateur américain des télécommunications, la FCC, a donné jeudi son feu vert à cette opération moyennant des changements de ligne éditoriale au sein de la chaîne CBS, une condition très atypique.