Le président français, Emmanuel Macron, a annoncé jeudi 24 juillet que la France allait reconnaître l'État de Palestine en septembre. Mais que signifie concrètement "reconnaître l'État palestinien" ?
Lors de sa première visite officielle dans cet archipel de l'océan Indien depuis qu'il a remporté un troisième mandat l'année dernière, M. Modi a souligné que l'Inde resterait le "premier intervenant" pour les Maldives, qui comptent environ 525.000 habitants.
"L'Inde continuera de soutenir les Maldives dans le renforcement de leurs capacités de défense", a déclaré M. Modi, dévoilant une ligne de crédit de 565 millions de dollars pour le pays qui fait face à une grave pénurie de devises étrangères malgré l'attrait pour son industrie touristique haut de gamme.
"La paix, la stabilité et la prospérité dans la région de l'océan Indien sont nos objectifs communs", a complété le Premier ministre indien, qui a également inauguré plusieurs projets d'infrastructure, notamment des routes financées par l'Inde ainsi qu'un programme de 4.000 logements.
Le président des Maldives Mohamed Muizzu a déclaré que la ligne de crédit de l'Inde serait utilisée pour renforcer les forces de sécurité du pays, améliorer les soins de santé, le logement et l'éducation.
"L'assistance continue de l'Inde aux Maldives grâce à l'exportation de produits essentiels est un élément clé de notre coopération bilatérale", a-t-il déclaré.
L'Inde se préoccupe d'un possible rapprochement entre les Maldives - que le gouvernement considère traditionnellement comme faisant partie de sa sphère d'influence avec le Sri Lanka - et son rival chinois après l'élection en 2023 du président Mohamed Muizzu sur une rhétorique anti-indienne.
Depuis son arrivée au pouvoir, M. Muizzu a obtenu le retrait d'un petit contingent de personnel militaire indien mais a depuis modéré ses propos à l'encontre de son voisin.
M. Muizzu a rencontré M. Modi deux fois l'année dernière à New Delhi, et les deux dirigeants ont juré d'entamer un "nouveau chapitre" dans les relations bilatérales.
L'inventeur de 46 ans, ancien champion de jet-ski, est surnommé l'homme volant après avoir traversé la Manche il y a six ans à bord d'un "flyboard", un exploit qu’il n’a réussi qu’à sa seconde tentative.
"On a eu un petit souci technique sur un moteur thermique, du coup il a préféré amerrir, c'était un scénario qu'on avait prévu en cas de grosses difficultés", a indiqué Lionel Giorgi, responsable sécurité du projet.
"On a un parachute électrique (...) et du coup il a pu amerrir" avant d'être récupéré par un bateau "très rapidement et il est sain et sauf, il va bien", a-t-il ajouté.
Une fois qu'il a décollé, son équipe s'est regroupée derrière les écrans de contrôle, où régnait un silence quasi-total au moment de l'amerrissage.
"C'est un jour de célébration, c'est la fin de cinq années de recherche et développement intensives", s'était ému Franky Zapata lors d'un point-presse avant le départ, reconnaissant "un petit stress".
L'AirScooter, une sorte de petit hélicoptère une place à moteur hybride pouvant atteindre la vitesse de 100 km/h, a décollé verticalement dans un gros bourdonnement, avant de rapidement gagner en vitesse.
Quelques minutes plus tard, il n'était plus qu'un minuscule point à l'horizon, au milieu des voiliers, ferries et navires de la marine nationale qui sillonnaient la mer.
Zapata n'a commencé qu'il y a quelques semaines à voler à bord de l'engin de 115 kg, "développé pour le récréatif" selon ses mots. Une fois dans les airs, ce n'est "que de la promenade", a-t-il assuré.
Son ambition est, d'ici à début 2026, d'implanter à Las Vegas, dans le Nevada (Etats-Unis), un centre de vol de loisir, ouvert au grand public. Selon la réglementation américaine, l'engin peut être utilisé sans licence de pilote en tant que "véhicule ultraléger", précise l'entreprise.
"L'objectif, c'est de faire voler en premier les amis, la famille, l'équipe. Et puis tout le monde qui a envie de voler", a assuré Franky Zapata.
Le 4 août 2019, Franky Zapata avait atteint les côtes anglaises en une vingtaine de minutes à bord de son "Flyboard", une planche volante dotée de cinq mini-turboréacteurs qui lui permettaient d'évoluer jusqu'à 190 km/h.