A l’approche du G20 de Rio de Janeiro, la directrice générale de l’Unesco et le président brésilien assurent, dans une tribune au « Monde », qu’il est possible de rompre avec la pauvreté, la dette et la crise de l’éducation par des mécanismes de financement innovants et durables.
Les chercheurs en sciences sociales s’alarment de voir leurs libertés académiques menacées par des Etats et des institutions aux comportements de plus en plus autoritaires, observe Antoine Reverchon, dans sa chronique.
Ses choix de personnalités controversées pour les plus hautes fonctions de son administration illustrent la tentation du président élu de régler ses comptes avec des rouages du gouvernement fédéral avec lesquels il avait eu maille à partir pendant son premier mandat. La vengeance ne fait pourtant pas une feuille de route présidentielle.