Neuf agriculteurs condamnés pour utilisation de mégabassines illégales, plusieurs ouvrages vandalisés au cutter, des journalistes et un militant écologiste agressés… La question du partage de l’eau a généré trois nouveaux épisodes conflictuels au mois de juillet dans le département.
La planète a épuisé ce jeudi toutes ses ressources naturelles de l’année en seulement sept mois. Une échéance toujours plus précoce, alerte l’ONG Global Footprint Network.
Dans le sillage du trois-étoiles Jacques Marcon, la profession, peu prompte à prendre position sur des sujets politiques, se mobilise contre le texte. «Nous faisons ce métier pour nourrir, pas pour empoisonner», écrivent notamment les signataires d’une tribune publiée dans «le Monde» ce jeudi.
Le texte d’Eleonore Pattery, qui dénonce la réintroduction d’un pesticide de la famille des néonicotinoïdes, est le plus soutenu de l’histoire sur le site de la Chambre basse.
Dégradations de permanences, insultes, menaces… Plusieurs élus, en majorité opposés au texte, ont été pris pour cible. Giovanni Prete, sociologue spécialiste du monde agricole, analyse comment la loi «cristallise toutes les tensions».
Dans un avis inédit rendu ce mercredi 23 juillet, la Cour internationale de justice estime que la hausse des températures est «une menace urgente et existentielle». La plus haute juridiction de l’ONU ouvre ainsi la voie à une obligation de «réparation» pour les pays pollueurs.
Dans le massif jurassien, la production du fromage, star des crémeries comme des supermarchés, a réussi à rester attractive pour les éleveurs. Une anomalie dans le paysage laitier, qui s’explique par des prix très rémunérateurs et un modèle collectif.
Plusieurs promoteurs de ce texte de loi, qui permet de contourner de nouveau l’interdiction de la substance en milieu agricole, avancent l’argument de son autorisation dans des produits «grand public» à usage domestique.
La plus haute juridiction de l’ONU rend un avis ce mercredi 23 juillet pour savoir quels sont les devoirs des pays en matière de lutte contre le changement climatique et déterminer la responsabilité historique des nations les plus polluantes. Cette décision pourrait avoir un impact sur les tribunaux du monde entier.
D’après les chiffres officiels publiés ce mercredi 23 juillet, l’immense majorité des citoyens de cet archipel du Pacifique menacé par la montée du niveau des océans cherche à obtenir le précieux sésame pour l’Australie. Seuls 280 seront sélectionnés cette année.
Définitivement libre de ses mouvements après la levée de la notice rouge, ce mardi 22 juillet, le défenseur des baleines retrace auprès de «Libération» une histoire qu’il juge «disproportionnée». Il entend désormais reprendre son combat pour la préservation des océans et prépare une nouvelle mission en Antarctique.