Fustigée par Israël comme une «récompense de la terreur» mais saluée à Riyad, la décision d’Emmanuel Macron de reconnaître l’Etat de Palestine en septembre à l’ONU a été annoncée jeudi 24 juillet au soir.
Pour obtenir l’aval des autorités, la chaîne a fait plusieurs concessions, dont la résolution d’un contentieux judiciaire ou encore la suppression de dispositifs d’inclusion et de diversité.
Les autorités israéliennes accusent les Nations unies de ne pas venir collecter l’aide pourtant disponible au poste-frontière de Kerem Shalom, mais les organisations internationales dépendent de multiples autorisations délivrées par Israël.