Le sexagénaire, qui fait figure de favori dans les sondages avec près de 40% des voix, a dénoncé sur X «un coup direct porté à la démocratie dans le monde».
Les violences qui secouent la côte syrienne marquent un tournant pour l’avenir du pays et pour le nouveau gouvernement, dépassé par les exactions de factions radicales, explique le chercheur franco-syrien Aghiad Ghanem.
Au moins 1 300 personnes, dont 830 civils alaouites, ont été tuées depuis jeudi, alors que les alliés du nouveau gouvernement et les fidèles du tyran déchu Bachar al-Assad s’affrontent dans l’ouest du pays, sur fond de rancœurs communautaires.