Malgré des bombardements sur Kyiv, plus d’un millier de manifestants se sont rassemblés dans la nuit du mercredi 30 au jeudi 31 juillet devant le parlement, où les députés sont finalement revenus sur le projet polémique du gouvernement.
Gintautas Paluckas, arrivé au pouvoir après la victoire de son Parti social-démocrate lors des élections de 2024, a rendu son tablier ce jeudi 31 juillet après une succession d’affaires. La coalition au pouvoir devrait se maintenir.
Après des semaines d’incertitude, le chorégraphe de 24 ans, grièvement blessé à la jambe par un bombardement israélien, a finalement été hospitalisé à Rennes. C’est le premier adulte évacué de l’enclave pour raisons médicales accueilli par la France.
L’Organisation météorologique mondiale a établi ce jeudi 31 juillet que le plus long éclair jamais mesuré s’était abattu aux Etats-Unis, en octobre 2017, sur une distance équivalente à celle entre Paris et Venise.
La bestiole de 44 grammes en forme de bâton dotée de grandes ailes noires a été observée sur la cime d’un arbre, à 900 mètres d’altitude dans le Queensland, au nord-est de l’Australie.
Après plusieurs jours de contestations dans la rue contre la mise sous tutelle d’agences anticorruption au nom de la lutte contre «l’influence russe», les députés ukrainiens ont fait machine arrière ce jeudi 31 juillet.
Sous l’impulsion d’un nouveau gouvernement favorable à l’entrée dans l’UE, l’île organisera un référendum d’ici à 2027. Le débat devrait être animé par les questions liées à la sécurité.
Lisbonne annonce ce jeudi 31 juillet que le Président et le Parlement seront consultés sur la question, emboîtant ainsi le pas de Paris, Londres et Ottawa.
Plusieurs fois repoussées, les surtaxes seront bien appliquées ce vendredi. Si la plupart des partenaires commerciaux des Etats-Unis sont concernés, certains, comme le Brésil, sont plus touchés que d’autres.
Le cyclone Co-May, en provenance des Philippines, a atteint la mégapole chinoise ce mercredi 30 juillet, tandis que le nord du pays est en proie à des pluies diluviennes meurtrières et que des tsunamis menacent les côtes.
Déclaré en 2021 après le coup d’Etat contre Aung San Suu Kyi, l’état d’urgence est levé à l’approche d’élections. Un scrutin qualifié de «farce» par l’opposition, qui compte bien le boycotter.
Le tribunal de Stockholm a rendu son verdict ce jeudi 31 juillet contre Osama Krayem, déjà condamné pour les attentats de Paris et Bruxelles, accusé d’avoir participé à l’exécution du pilote jordanien brûlé vif dans une cage en Syrie, dix ans plus tôt.
La reconnaissance devrait intervenir en septembre à l’Assemblée générale de l’ONU, aux côtés de la France et du Royaume-Uni. Un changement de politique condamné vigoureusement par Israël.
Derrière la mobilisation xénophobe des réseaux sociaux, qui demandent aux internautes d’éviter les commerces tenus par des immigrés noirs le 1er août, se cachent des tensions intracommunautaires de plus en plus prégnantes, nourries par un sentiment d’insécurité culturelle.
Le tremblement de terre survenu dans la nuit du mardi 29 au mercredi 30 juillet dans le Pacifique est le plus puissant qu’ait connu la région depuis soixante-treize ans. L’alerte a été levée en Russie, au Japon, à Hawaï puis en Polynésie française.
Le président américain souhaite abroger une décision de 2009 qui reconnaissait la dangerosité pour les humains des gaz à effet de serre. Ce projet, le plus radicalement anti-écologiste à ce jour, pourrait démanteler la base légale de la lutte contre le réchauffement.
Plusieurs avions ont été bloqués ce mercredi à Londres ou à Edimbourg en raison d’une panne du contrôle aérien. Des retards sont prévus avant le retour à la normale.
Réautorisés par Israël, les largages aériens de denrées et de médicaments sont à la fois dangereux et inadaptés à la crise dans l’enclave palestinienne frappée par la famine, dénoncent plusieurs ONG. Toutes plaident pour un laissez-passer des camions bloqués aux frontières.
Le texte présenté ce mercredi 30 juillet par le gouvernement doit permettre d’accélérer le retour des bien culturels volés par la France entre 1815 et 1972.
Surveillance de masse, arrestations arbitraires, suspension des droits fondamentaux : profitant des mesures d’exception adoptées pour lutter contre les gangs, le président du pays d’Amérique centrale réprime sans relâche activistes, opposants et journalistes.