La gauche applaudit l’annonce d’Emmanuel Macron mais en demande plus, tandis que l’extrême droite s’offusque, oubliant ses positions passées, favorables à cette reconnaissance.
Le Premier ministre a rappelé Rachida Dati à son «devoir» de ne pas critiquer l’autorité judiciaire, ce qu’il a pourtant souvent fait par le passé, surtout lorsqu’il était concerné au premier chef.
L’ancien Premier ministre et la ministre de la Culture doivent se voir d’ici le lundi 28 juillet pour régler leur différend en vue de l’élection partielle de septembre. La date du rendez-vous, qui serait fixée, est toutefois tenue top secrète chez Les Républicains.