Le RN a condamné la future reconnaissance de l’Etat palestinien, annoncée par Emmanuel Macron jeudi 24 juillet, renforçant son soutien inconditionnel à l’armée israélienne.
L’institution a été saisie par des parlementaires de gauche, qui arguent que le texte est incompatible avec la préservation de l’environnement et le droit à la santé. Elle devrait donner sa décision dans deux semaines, fait-elle savoir ce 25 juillet.
La gauche applaudit l’annonce d’Emmanuel Macron mais en demande plus, tandis que l’extrême droite s’offusque, oubliant ses positions passées, favorables à cette reconnaissance.
Le Premier ministre a rappelé Rachida Dati à son «devoir» de ne pas critiquer l’autorité judiciaire, ce qu’il a pourtant souvent fait par le passé, surtout lorsqu’il était concerné au premier chef.
L’ancien Premier ministre et la ministre de la Culture doivent se voir d’ici le lundi 28 juillet pour régler leur différend en vue de l’élection partielle de septembre. La date du rendez-vous, qui serait fixée, est toutefois tenue top secrète chez Les Républicains.
La municipalité se félicite, une année après les Jeux olympiques et paralympiques, des retombées de l’événement. Un «monument des champions» sera inauguré d’ici la fin de l’année sur le pont Saint-Louis. «Libération» en révèle les dessins.
En dépit d’une mobilisation accrue sur les fermetures d’usines, qui réunissent les différents partis, la gauche, divisée sur les questions liées au travail, peine à reprendre du terrain face au RN, désormais implanté dans l’électorat ouvrier.
Tout membre du gouvernement soupçonné d’infractions en matière d’atteinte à la moralité publique devrait être suspendu de sa fonction sur décision du procureur de la République, selon l’ancien magistrat administratif, Antoine Mendras.
Le mouvement s’indigne d’une absence de réaction de l’exécutif alors que plusieurs de ses permanences parlementaires ont été ciblées par des agriculteurs, sur fond de succès de la pétition anti-loi Duplomb.
L’ancien préfet de la Réunion s’en va «pour des raisons strictement personnelles», selon une source proche du dossier. Plusieurs observateurs voient en ce départ des tensions avec Bruno Retailleau.
Après son entretien polémique à «Valeurs actuelles», le ministre de l’Intérieur a vu son entretien prévu ce jeudi 24 juillet avec Emmanuel Macron «reporté».
Proche de Donald Trump, la podcasteuse assure que la femme du Président est une personne transgenre assignée homme à la naissance. Une infox reprise par les cercles complotistes, antivax et d’extrême droite.
Dans le sillage du trois-étoiles Jacques Marcon, la profession, peu prompte à prendre position sur des sujets politiques, se mobilise contre le texte. «Nous faisons ce métier pour nourrir, pas pour empoisonner», écrivent notamment les signataires d’une tribune publiée dans «le Monde» ce jeudi.
Le texte d’Eleonore Pattery, qui dénonce la réintroduction d’un pesticide de la famille des néonicotinoïdes, est le plus soutenu de l’histoire sur le site de la Chambre basse.
Bruno Retailleau enclenche cet été un revirement stratégique pour la droite française. En évoquant les prémices d’alliances avec l’extrême droite pour battre la gauche aux municipales 2026, il met en danger y compris son propre camp.
Dégradations de permanences, insultes, menaces… Plusieurs élus, en majorité opposés au texte, ont été pris pour cible. Giovanni Prete, sociologue spécialiste du monde agricole, analyse comment la loi «cristallise toutes les tensions».
En déplacement mercredi contre les «rodéos agricoles», le ministre de l’Intérieur a assumé ses propos sur «l’impuissance» du «en même temps», avec l’intention de renforcer son poids politique dans cette période estivale.
Les différentes composantes du FLNKS ne soutiennent pas l’accord signé le 12 juillet par leurs représentants. Une décision commune doit encore être rendue le 2 août lors d’une convention. Parallèlement, les faits de délinquance se sont multipliés ces derniers jours, faisant craindre une reprise des violences.
L’agence européenne de police criminelle a publié, le 16 juillet, son rapport annuel sur l’état de la menace terroriste au sein de l’UE. Le document pointe les «vives inquiétudes» suscitées par le «très jeune âge de certains suspects» arrêtés pour planification et préparation d’attentats.
Renvoyée en procès pour corruption et trafic d’influence, mardi 22 juillet, la ministre de la Culture est la cible de nombreuses attaques à gauche et en macronie.
Le président du tribunal a réagi mercredi après que Rachida Dati a dénoncé la veille une «procédure émaillée d’incidents» et vilipendé des magistrats qui «marchent» sur les droits de la défense et perpétueraient des «atteintes graves» contre ces derniers.
Renvoyée en correctionnelle, la ministre de la Culture (qui fut aussi celle de la Justice) dénonce un complot des juges visant à l’empêcher d’être maire de Paris.
Le milliardaire assume son profil réactionnaire et alimente l’extrême droite grâce aux entreprises qu’il finance. Mais en achetant ses produits, le consommateur ignore souvent qu’il la finance aussi.
Le ministre de l’Intérieur estime que le «en même temps» prôné par le chef de l’Etat «alimente l’impuissance». L’ambiance s’annonce riante jeudi 24 juillet, lors d’un tête à tête entre les deux hommes.
Avec un procès désormais certain pour corruption et trafic d’influence, la ministre de la Culture accumule les polémiques à un an des municipales à Paris. La gauche n’a plus qu’à espérer que LR et la macronie la désignent comme tête de liste.
En douze jours d’existence, la pétition citoyenne qui exige l’abrogation de la loi du sénateur Les Républicains Laurent Duplomb a rassemblé, mardi 22 juillet, plus de 1,7 million de signatures. Soit davantage que les suffrages récoltés par la candidate de la droite lors de la dernière élection présidentielle.
Dans un entretien à paraître mercredi 23 juillet dans l’hebdomadaire d’extrême droite, le ministre de l’Intérieur tacle le chef de l’Etat et revendique son indépendance.
Après le succès d’une pétition contre la loi Duplomb, jugée nocive pour l’environnement et la santé, la gauche réclame du président de la République qu’il ne promulgue pas le texte. Retour sur ces dispositions votées, voire promulguées, mais jamais entrées en vigueur.
L’ultraconservateur n’a jamais réussi à vendre la société qui lui a permis de faire fortune, en dépit de plusieurs tentatives. Entre modèle économique à risque, chute du pouvoir d’achat et désaffection pour les coffrets cadeaux, la stratégie entrepreneuriale est désavouée.
L’ex-députée européenne sera jugée en correctionnelle, ainsi que Carlos Ghosn, l’ancien PDG de Renault-Nissan. Elle est soupçonnée d’avoir touché 900 000 euros du groupe automobile contre des actions de lobbying au Parlement européen, pratique interdite aux élus.
Exilé fiscal, le milliardaire français identitaire multiplie les prises de participation financières via sa holding tentaculaire Otium. Des bénéfices qui servent sa «bataille culturelle».
Face à la dissidence citoyenne sur les néonicotinoïdes, la ministre déléguée chargée de l’Egalité entre les femmes et les hommes exige une voix unie, critiquant Agnès Pannier-Runacher pour son appel à l’Anses.
La candidate à la mairie de Paris a organisé lundi 21 juillet un «café politique» pour critiquer un Michel Barnier, soi-disant «instrumentalisé» par LR, pour la partielle de la 2e circonscription dans la capitale.
Pour défendre la loi Duplomb, Anne Genetet et d’autres macronistes tentent de délégitimer les signataires en les accusant d’une hypocrisie, dont ils ne sont pourtant pas eux-mêmes exempts.
Après des mois à batailler sous les radars, la gauche profite du succès de la pétition demandant l’abrogation du texte, qui a recueilli lundi près de 1,5 million de soutiens, pour faire entendre son projet alternatif sur l’agriculture.
Le parti Renaissance, qui présentait ce lundi 21 juillet son programme écologique, se retrouve en porte-à-faux sur la loi Duplomb, soucieux de ne pas fâcher les agriculteurs tout en affichant un désir de verdir sa politique.
Au lieu d’un courant d’air frais dont le pays aurait bien besoin, le plan du Premier ministre pour réduire la dette brasse vieilles idées et vieilles antiennes, avec des efforts injustement répartis.
Après la parution d’un article de «M le magazine du Monde», la socialiste Céline Hervieu, qui s’oppose à l’installation du supermarché dans sa circonscription, revient sur ses propos, mais ne change pas d’avis.
En 2019, le chef de l’Etat voulait «simplifier» le référendum d’initiative partagée et en abaisser le seuil de signatures de citoyens. Une réforme (oubliée) qui aurait pu grandement aider les opposants à la loi Duplomb, qui sont plus de 1,3 million à avoir signé.
Offensif, le secrétaire général du PS, Pierre Jouvet, demandait dimanche 20 juillet, de la «cohérence» aux écolos pour les municipales et menace LFI pour des législatives anticipées.
Face à un texte qui orchestre un recul écologique en France d’après ses opposants, une pétition demandant son abrogation a dépassé le million de signatures. On en parle avec Paul Quinio, directeur délégué de la rédaction.
Ventriloque et magouilleuse, une médium s’est octroyé pendant près de quatre ans un riche train de vie en manipulant l’édile d’Agde, Gilles d’Ettore, ensorcelé avec une dizaine d’autres personnes par la «voix» d’un «papa» de l’au-delà.