Age de départ, compensations budgétaires, véhicule législatif… A la veille du vote des motions de censure RN et LFI, beaucoup de questions se posent encore au sujet de la «suspension» annoncée par le Premier ministre.
Le socle commun dynamité, quelles alliances pourraient se constituer à l’Assemblée nationale pour soutenir - ou faire chuter - le Premier ministre ? On vous laisse les construire.
Condamnée dans l’affaire des assistants fictifs du RN au Parlement européen, la patronne des députés d’extrême droite a vu son recours rejeté ce mercredi 15 octobre.
Le choix d’épargner le Premier ministre après sa concession sur la réforme des retraites est validé par la plupart des adhérents et responsables interrogés par «Libération».
Après l’entrée au gouvernement de Vincent Jeanbrun, les députés LR choisissent ce mercredi 15 octobre un nouveau président pour cette commission d’enquête quelque peu maudite.
Le nouveau ministre du Travail et des Solidarités a tenté de justifier le revirement sur la réforme des retraites, sur France 2, en stigmatisant les personnes souffrant d’un handicap ou d’un trouble du développement.
Après l’annonce de la «suspension» de la réforme des retraites par Sébastien Lecornu, mardi 14 octobre, un flou persiste sur le véhicule législatif censé entériner cette promesse : nouveau texte ou amendement au projet de budget de la Sécu ?
Plusieurs élus EPR refuseront de soutenir l’abandon de ce totem identitaire, sans se faire d’illusion et tout en niant défier ainsi le Premier ministre issu de leurs rangs.
La déclaration de politique générale du Premier ministre laisse entrevoir – mais pour combien de temps ? – un début de renoncement à la logique du tout ou rien si typique de notre système politique.
Lucas Biosca, Romain Métairie, Antoine Rondel, Sascha Garcia, Jérôme Balazard, AFP
Après un premier Conseil des ministres ce mardi matin, le Premier ministre a prononcé sa déclaration de politique générale et a annoncé la suspension de la réforme des retraites. Le PS a de son côté assuré qu’il ne censurera pas le gouvernement.
Très attendu sur le sujet, le Premier ministre a annoncé mardi 14 octobre dans sa déclaration de politique générale une «contribution exceptionnelle des grandes fortunes» à l’Assemblée. Mais les mesures prévues dans le projet de loi de finances ne sont pas à la hauteur de l’enjeu selon la gauche.