Formations «light», démarchage d’étudiants-clients, précarisation des profs… «Libération» raconte les dessous d’un business éducatif qui prospère grâce au laissez-faire de l’Etat. Et qui permet à la multinationale d’afficher une insolente santé financière.
Galileo, mastodonte de l’enseignement supérieur lucratif, aligne les embauches de «serviteurs de l’Etat» depuis la rentrée de septembre. Une façon d’asseoir la légitimité du groupe.