Une institutrice de 52 ans a été condamnée vendredi à 3 000 euros d’amende, dont la moitié avec sursis, pour avoir violenté une enfant de trois ans en classe dans le XVe arrondissement de Paris, après avoir perdu son «sang-froid».
Un professeur de sport d’un établissement privé catholique de la préfecture de Haute-Garonne est accusé par plusieurs enfants, qui ont évoqué notamment des coups de pied dans le ventre, révèle le site «Médiacités».
Alors que Philippe Baptiste vient d’être nommé ministre délégué de l’Enseignement supérieur, Edina Ifticene, chargée de campagne énergies fossiles à Greenpeace France, revient sur les stratégies d’influence de la multinationale au sein des universités et grandes écoles.
Dans un courrier adressé à l’école ce lundi 2 décembre, la mairie de Paris annonce réinstaurer son aide annuelle. Elle était suspendue après des accusations de «dérives» visant le prestigieux ensemble scolaire, comme des discours homophobes et des pratiques sexistes.
Alors que le projet de loi de finances, comprenant le budget de l’Enseignement supérieur et la Recherche, est en cours d’examen, associations, collectifs, syndicats et personnels experts de la lutte contre les violences sexistes, sexuelles de l’ESR réclament des moyens humains et financiers à la hauteur des enjeux.
Plusieurs établissements privés, sous contrat d’association avec l’Etat, s’enrichissent grâce à des subventions publiques, alors que leur accès peut parfois coûter très cher. Plongée dans les rouages de ces business qui font de l’argent sur le dos de l’éducation, avec Marie Piquemal, journaliste au service Enquête de Libération.
Moins connue que Stanislas ou l’Alsacienne, l’école privée parisienne EJM attire les enfants des patrons du CAC 40 et du show-biz. L’établissement, où les frais de scolarité débutent à 9 500 euros par an, cumule subventions publiques, importantes déductions fiscales et montage financier opaque.
«Libération» s’est procuré des contrats de mécénat liant entreprises et universités : clause de non-dénigrement, possibilité pour les grands groupes d’influer sur le choix des conférences et des thèses… Une association de jeunes ingénieurs lance un appel à la transparence.