Le futur est là, non plus devant nous mais autour de nous. C’est pourquoi nous nous attelons à faire mieux que de la prospective : de la prospective du présent.
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Avec une croissance annuelle de plus de 10 % en moyenne, le marché des neurotechnologies devrait peser plus de 21 milliards de dollars d’ici à 2026. Pour ses promoteurs, ces puces et implants reliés directement à notre cerveau contribuent déjà à inventer la médecine du futur. Pour ses contempteurs, il risquent au contraire de porter un coup fatal à la vie privée. Et si, pour résoudre ce dilemme éthique, on créait sans tarder des neurodroits ? Nous avons posé la question à trois experts dans le dernier magazine d’Usbek & Rica. Extrait.
En décembre 2019, la Commission européenne dévoilait son Pacte Vert (Green Deal), visant à rendre l'Europe neutre en carbone d'ici 2050. Une ambition forte pour répondre à l’urgence climatique, dans un contexte où l’usage des intelligences artificielles s’intensifie et où les citoyens aspirent à une société plus équitable, abordable et accessible à tous. Cet environnement mouvant impacte déjà tous les aspects de nos vies : nos façons de nous nourrir, nous déplacer, travailler, nous loger, et consommer. Or, ces activités nécessitent des immeubles et des infrastructures, dès lors soumises à des transformations majeures.
Envoyer des personnes en situation de handicap physique dans l'espace : un projet encore distant, mais dont la concrétisation semble avancer à l’orée de progrès récents. Problème : intégrer ces populations demande des investissements considérables, en plus de passer au-delà de barrières mentales encore nombreuses.