Journaliste et défenseur des droits humains, chrétien et anarchiste, Maksym Butkevych a rejoint les Forces armées ukrainiennes en 2022, après que la Russie a commencé son invasion à grande échelle de l'Ukraine. En juin 2022, il a été fait prisonnier par les Russes. En mars 2023, la Russie l'a condamné à 15 ans de prison pour crimes de guerre présumés. Cependant, en octobre 2024, il a été libéré lors d'un échange de prisonniers. En le rencontrant en personne à la Foire du livre de Leipzig, (…)

Journalist and human rights defender, Christian and anarchist, Maksym Butkevych joined the Ukrainian Armed Forces in 2022, after Russia began its full-scale invasion of Ukraine. In June 2022, he was taken prisoner by the Russians. In March 2023, Russia sentenced him to 15 years in prison for alleged war crimes. However, in October 2024, he was released in a prisoner exchange. Meeting him in person at the Leipzig Book Fair, I was surprised to discover not the tough soldier I expected, but a (…)

Le samedi 15 mars, environ un demi-million de personnes sont descendues dans les rues de Belgrade. La capitale serbe s'est réveillée aux sons de la lutte et de la résistance, vibrant de détermination, et dès l'après-midi, plus de 5% de la population du pays manifestait devant le parlement, sur la place Slavia du centre-ville, et dans les rues et boulevards environnants. Il semblait que les tactiques d'intimidation du président autoritaire Aleksandar Vučić, quelques jours avant le grand (…)

On Saturday, 15 March, some half-a-million people took to the streets of Belgrade. The Serbian capital woke up to the sounds of struggle and resistance, vibrating with determination, and by the afternoon more than 5% of the country's population was protesting in front of the parliament, in downtown Slavia Square, and throughout the surrounding streets and boulevards. It seemed that the fear-mongering of the authoritarian President Aleksandar Vučić just days before the grand “15^th for the 15” (…)

La presse espagnole véhicule généralement l'idée que Die Linke est un parti plutôt modéré. Cette impression est justifiée. En témoigne le fait qu'après le début du génocide à Gaza, une attitude prosioniste détestable - et surprenante pour le public non allemand - a pu être observée parmi nombre de responsables du parti. Le nombre des endroits, aux plans régional et local, où Die Linke participe à des exécutifs avec la social-démocratie, ou le vote récent au Bundesrat (l'équivalent du sénat (…)