Début du tournoi dimanche 20 juillet à 9h au stade Municipal d’Eaucourt-sur-Somme.

Buvette et restauration sur place.

Concert gratuit à la fin du tournoi pour clore l’événement.

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Bricoler, réparer un moteur, cultiver un potager, récupérer un vêtement, ne pas jeter, troquer… Toutes ces pratiques du quotidien dans les classes populaires, invisibles, ce sont les « débrouilles rurales », pour la sociologue Fanny Hugues. Une autre vision de l’écologie, populaire, contrainte par le portefeuille mais aussi morale. Et qui dessine, peut-être bien, le futur de notre société.

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Les deux nouvelles sont tombées coup sur coup ces 8 et 9 juillet 2025. Le rapport de l’Insee, d’abord : la pauvreté explose dans le pays et atteint son niveau le plus élevé depuis 1996. Le classement Challenges, ensuite : les 500 plus grandes fortunes du pays confisquent à elles seules 1128 milliards d’euros (leur magot était « seulement » de 571 milliards en 2017). Macron, Robin des Bois à l’envers.

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Ce qui coûte le plus cher à l’État français ? Les aides publiques versées aux entreprises (sans aucune contrepartie). Le montant ? 211 milliards d’euros, rien qu’en 2023, selon le premier chiffrage rendu ce mardi 8 juillet par une commission d’enquête sénatoriale. Et pendant ce temps, le gouvernement cherche toujours à gratter 40 milliards sur le dos des plus précaires…

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C’est un pan invisible de notre société : derrière les promesses de l’intelligence artificielle, les assistants vocaux, les traducteurs automatiques, les chatbots, la reconnaissance d’images, des millions de petites mains précaires travaillent en dehors de toute règle, de tous droits. Et souvent pour le pire, voire le pire du pire… De Rouen à Vendôme en passant par Paris et Bruxelles, on a retrouvé ces micro-travailleurs cachés de l’IA. Pour eux, le numérique, c’est plutôt le retour au XIXe siècle.

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