La stratégie nationale bas carbone, une feuille de route qui doit permettre à la France d’atteindre la neutralité en 2050, a été mise en consultation vendredi 12 décembre. Le document, très ambitieux, risque de se heurter aux difficultés budgétaires.
Le 12 décembre 2015, après deux semaines de négociations intenses, un accord géopolitique majeur était conclu à Paris, visant notamment à limiter le réchauffement climatique « bien en dessous » de 2 °C et à « poursuivre les efforts » pour limiter la hausse des températures à 1,5 °C.
Dix ans après la conclusion de la COP21, qui avait vu 195 pays se mettre d’accord pour limiter le réchauffement climatique en dessous de 2 °C, quel bilan peut-on tirer de l’accord de Paris et de l’action climatique qui a suivi ? Réponse en podcast avec Audrey Garric, journaliste au service planète du « Monde ».
Les nappes souterraines de la plaine du Roussillon et du massif des Corbières affichent toujours des niveaux trop bas, même s’ils « s’améliorent lentement ».
Les activités d’exploitation forestière illégale sont accusées d’avoir amplifié les crues dues au cyclone tropical Senyar, qui ont fait, selon un bilan provisoire, 961 morts et 293 disparus, et déplacé 1 million de personnes.
Une poignée de pays, dont les Etats-Unis, l’Arabie saoudite et l’Iran, se sont opposés à l’adoption du « résumé à l’intention des décideurs » d’une vaste synthèse onusienne, en raison de mentions sur la sortie des énergies fossiles ou sur la production de plastique.
Après deux décennies de sécheresses intenses qui menaçaient leur activité, les paysans de la plaine de Maribahoux, lassés de l’incurie du gouvernement haïtien, ont entrepris de construire un canal pour irriguer ce bassin rizicole de 12 000 hectares. Un an et demi après l’arrivée de l’eau dans les champs, les résultats sont tangibles.
Cet épisode de fortes vagues, nécessitant une « attention particulière », selon Météo-France, est lié à la dépression Davide située au nord-ouest de l’Irlande.
L’association Notre affaire à tous demande au Conseil d’Etat de reconnaître que l’Hexagone ne fait pas assez dans la lutte contre le changement climatique, au regard de sa responsabilité historique et de sa capacité financière.