Le président de l’entité serbe de Bosnie, la Republika Srpska, était recherché depuis le 18 mars pour avoir préconisé l’interdiction pour la police et la justice centrales du pays d’exercer sur le territoire de l’entité serbe. Il a bénéficié d’une remise en liberté conditionnelle.
Le Jihad islamique, principal allié du mouvement islamiste palestinien, a annoncé soutenir cette décision, tout en demandant des « garanties supplémentaires » permettant d’assurer qu’Israël « ne reprendra pas son agression » une fois les otages libérés.
Les proches de l’écrivain franco-algérien avaient émis l’espoir qu’il soit gracié le 5 juillet, à l’occasion du 63ᵉ anniversaire de l’indépendance de l’Algérie. Mais le président algérien a exclu de cette mesure les personnes « définitivement condamnées » pour toute une série d’infractions, dont l’atteinte à l’unité territoriale.