Le débat sur l’augmentation du temps de travail est relancé, notamment par la droite sénatoriale, qui vient d’adopter un amendement visant à instaurer sept heures d’activité supplémentaires par an, mais aussi par les macronistes, qui y voient une façon de s’opposer à la réduction des allègements de cotisations patronales voulue par le gouvernement.