L’homme âgé de 53 ans, déjà condamné à deux reprises pour refus d’obtempérer et violences volontaires, a admis la confection des explosifs, mais s’est montré « vague » quant à ses motivations, selon le procureur de Bordeaux.
L’ancien président brésilien d’extrême droite garde de nombreux partisans à la Chambre des députés. Mais le gouvernement de Lula compte sur le Sénat et surtout sur le Tribunal suprême fédéral pour s’opposer à toute absolution.
L’opération a été annoncée quelques jours après l’intrusion de drones russes dans le ciel polonais, alors que commençaient des manœuvres conjointes des forces russes et biélorusses sur leur flanc ouest.