Le président brésilien, Luiz Inacio Lula da Silva, « s’est montré surpris du fait qu’une opération de cette envergure ait été mise en place à l’insu du gouvernement fédéral ». Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, s’est lui dit « très inquiet par le grand nombre de victimes ».
Le groupe californien affichait une valorisation boursière de 5 100 milliards de dollars, mercredi, soit plus que celles de Tesla, Meta (Facebook) et Netflix réunies.
LFI a retiré 15 % de ses amendements afin d’éviter le blocage des discussions et appelle les autres groupes à en faire de même. Si les débats ne sont pas terminés le 4 novembre, ils devront reprendre après l’examen du projet de loi de financement de la Sécurité sociale, soit à partir du 12 novembre.