Face au mouvement #metoo et aux enquêtes mettant en cause des figures du cinéma français, le Festival cherche à faire jouer ensemble la parole des femmes et la présomption d’innocence des hommes, relève, dans sa chronique, Michel Guerrin, rédacteur en chef au « Monde ».
Face au mouvement #metoo et aux enquêtes mettant en cause des figures du cinéma français, le Festival cherche à faire jouer ensemble la parole des femmes et la présomption d’innocence des hommes, relève, dans sa chronique, Michel Guerrin, rédacteur en chef au « Monde ».