Dans sa chronique, Philippe Bernard, éditorialiste au « Monde », s’inquiète de la manière dont nous fermons les yeux face aux ravages sur les jeunes des écrans et des plateformes comme TikTok.

Dans un conclave qui se termine au quatrième tour de scrutin, il y a forcément un fait décisif ou une manœuvre habile, que l’historien Alberto Melloni analyse dans une tribune au « Monde ».

Plus de 100 000 femmes ont été violées à Berlin par des soldats de l’Armée rouge entre avril et septembre 1945, à la fin de la seconde guerre mondiale. Longtemps camouflé, reconnu en 1998 comme un crime contre l’humanité, le viol de masse reste pourtant une arme d’humiliation toujours en pratique dans les conflits.

Joseph S. Nye, mort le 6 mai, avait théorisé ce concept d’influence par l’attrait et la persuasion plutôt que par la force. Le trumpisme en est l’antithèse, mais d’autres Américains reprennent le flambeau.

Auteurs d’une étude à ce propos, les économistes Yann Algan et Eugénie de Laubier constatent, dans une tribune au « Monde », que le genre a un impact très significatif sur les positionnements politiques des moins de 40 ans : les femmes sont plus à gauche, les hommes plus à droite.

Pour son numéro de printemps, la revue trimestrielle plonge au cœur des enjeux de genre dans les banques, les grandes entreprises et les marchés financiers.