Le président américain a fait cette annonce d’Arabie saoudite, où il se trouve, mardi, dans le cadre de sa tournée au Moyen-Orient. Il doit « saluer » le président syrien, Ahmed Al-Charaa, mercredi, à Riyad, selon un haut responsable américain.
Le président américain a été reçu en grande pompe mardi par Mohammed Ben Salman, avec qui il a signé un « partenariat économique stratégique ». La Maison Blanche a estimé le montant total des investissements saoudiens à 600 milliards de dollars.
Dans la nuit de lundi à mardi, les factions fidèles à Abdel Hamid Dbeibah ont pris le contrôle de nombreux lieux tenus auparavant par l’Appareil de soutien à la stabilité, un puissant groupe armé dont le chef, Abdel Ghani Al-Kikli, a été tué.
Interrogées par l’ONG Amnesty International, 72 Kényanes disent avoir été victimes d’exploitation, mais aussi de racisme, de violences physiques, d’enfermement et, pour certaines, de viols.
La guerre a dévasté les exploitations et les réseaux d’irrigation, qui font également face aux conséquences du réchauffement climatique. Alors que 45 % des Syriens vivent de l’agriculture, les autorités actuelles voudraient retrouver une autosuffisance alimentaire.
Volker Türk parle d’une situation avec « de graves préoccupations », alors que 142 000 personnes ont été expulsées des Etats-Unis entre le 20 janvier et le 29 avril et que le sort d’au moins 245 Vénézuéliens et d’une trentaine de Salvadoriens reste incertain.
Shira Perlmutter, la directrice du United States Copyright Office, a été renvoyée par Donald Trump alors que le débat sur la protection des œuvres dans l’intelligence artificielle fait rage, aux Etats-Unis et en Europe.