A droite et à gauche, les candidats en lice pour l’élection présidentielle de dimanche 24 novembre se sont engagés à poursuivre les enquêtes pour retrouver les corps des dizaines de disparus durant la dictature militaire de 1975 à 1985.
Dans une tribune au « Monde », un collectif d’intellectuels et de militants des droits humains, dont la Prix Nobel de la paix 2003, Shirin Ebadi, la sociologue Pinar Selek et la présidente du PEN Club français, Carole Mesrobian, demande à Emmanuel Macron d’intervenir afin d’obtenir la libération de Narges Mohammadi, retenue dans les prisons de la République islamique d’Iran.
Dans une tribune au « Monde », trois acteurs de la RSE proposent un statut d’entreprise européenne rassemblant les principes de mission d’intérêt général, de codétermination et de transparence.
Deux convois transportant des chiites ont été pris pour cible à Kourram dans la province du Khyber Pakhtunkhwa frontalière de l’Afghanistan, selon un membre de l’administration.
Face à la flambée des prix de la pierre, un collectif d’élus de métropoles françaises et européennes préconise, dans une tribune au « Monde », l’accès à des prêts garantis pour financer des programmes immobiliers.
La décision de la Cour pénale internationale de poursuivre Benyamin Nétanyahou et son ancien ministre de la défense Yoav Gallant pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité rappelle une fonction essentielle de la justice, celle qui oblige à rendre des comptes.
L’ancien président d’extrême droite est notamment soupçonné d’avoir voulu empêcher la prise de fonction du président Luiz Inacio Lula da Silva et de son colistier Geraldo Alckmin en octobre 2022.
Certains pays saluent une mesure « significative », tandis que d’autres, y compris parmi les Etats signataires du statut de Rome, dénoncent une décision « absurde ».
En s’écartant de la course aux législatives, prévues le 23 février 2025, pour le parti social-démocrate, le ministre de la défense laisse le champ libre au chancelier sortant, Olaf Scholz, pourtant bien moins populaire dans l’opinion.
Le juge des référés a estimé, vendredi, que l’éventualité de troubles lors de cette conférence ne présentait pas une gravité telle qu’elle n’aurait pu être prévenue par des mesures de police.