L’idée selon laquelle les nations doivent s’efforcer d’accumuler des excédents commerciaux au détriment de chacun de leurs partenaires dominait les échanges au XVIIᵉ siècle. Elle a disparu au XIXᵉ siècle… jusqu’à ce que Donald Trump la ressuscite.
L’entrevue, annoncée au départ comme brève et informelle, s’est prolongée jusqu’à durer une trentaine de minutes. Donald Trump a notamment demandé au dirigeant syrien de normaliser ses relations avec Israël.
Le président américain a rencontré à Riyad le prince héritier et premier ministre saoudien, Mohammed Ben Salman. Plus d’une dizaine d’accords visant à renforcer la coopération sécuritaire, technologique et culturelle entre les deux pays ont été signés.
La décision de Donald Trump entraîne une expulsion automatique, effective dès le 12 juillet, de ces Afghans dont beaucoup ont travaillé avec les Etats-Unis pendant les vingt ans de présence américaine en Afghanistan. Une décision justifiée par la « normalisation du pays ».
« Il y a un nouveau gouvernement qui, espérons-le, réussira », a déclaré le président des Etats-Unis, qui a rencontré mercredi matin, à Riyad, son homologue syrien, Ahmed Al-Charaa, ancien djihadiste qui avait combattu les Américains en Irak.
Les « Performance Improvement Plans » (PIP), qui consistent en une liste d’objectifs à améliorer dans un temps imparti, gagnent en popularité chez les employeurs américains. Leurs personnels y voient plutôt une façon déguisée de les licencier.
Le dimanche 18 mai se tient le second tour de l’élection présidentielle roumaine, annulée en décembre 2024 après que des manipulations et distorsions majeures ont été constatées sur les plateformes numériques. Dans une tribune au « Monde », le sociologue Jean-Marc Salmon craint que cela ne devienne la règle en Europe.
Un juge californien a réduit la peine d’Erik et de Lyle Menendez, qui avaient été condamnés dans les années 1990 à la perpétuité incompressible. Ils peuvent à présent demander une libération conditionnelle, qui sera examinée dans les prochaines semaines.
Qu’il s’agisse des conflits au Proche-Orient, entre l’Inde et le Pakistan ou en Ukraine, le président des Etats-Unis privilégie ses intérêts économiques au mépris des critères traditionnels de la politique étrangère. Cela ne marche pas toujours, relève dans sa chronique Sylvie Kauffmann, éditorialiste au « Monde ».
La magistrate de Milwaukee, qui avait aidé un Mexicain à s’éclipser de la salle d’audience où il comparaissait pour des délits mineurs, est poursuivie pour obstruction à une procédure fédérale et dissimulation d’individu, risquant jusqu’à cinq ans de prison.
Au premier jour de son audition dans le procès de Sean Combs (P. Diddy) pour trafic sexuel, Casandra Ventura, de son nom de scène, Cassie, témoigne d’années d’emprise et de menaces de la part de son ancien conjoint. A ce jour, le rappeur est accusé par 120 victimes.
Le président américain a fait cette annonce d’Arabie saoudite, où il se trouve, mardi, dans le cadre de sa tournée au Moyen-Orient. Il doit « saluer » le président syrien, Ahmed Al-Charaa, mercredi, à Riyad, selon un haut responsable américain.
Le président américain a été reçu en grande pompe mardi par Mohammed Ben Salman, avec qui il a signé un « partenariat économique stratégique ». La Maison Blanche a estimé le montant total des investissements saoudiens à 600 milliards de dollars.