La Grande Boucle renoue avec son final aux Champs-Elysées, après sa délocalisation, en 2024, pour cause de Jeux olympiques. L’épilogue de cette édition 2025 rendra d’ailleurs hommage à l’événement avec un tracé inédit dans la capitale.
« Une œuvre en héritage, saison 2 » (3/8). Depuis la mort d’Henri Matisse, en 1954, quatre générations ont veillé jalousement et dans la plus grande discrétion sur son immense production. Mais l’entrée du peintre dans le domaine public, en janvier, a mis fin aux opulents droits de reproduction que percevaient les héritiers, ainsi qu’à leur droit de regard sur tout ce qui touche à leur aïeul.
A côté des civils druzes, principales cibles des affrontements communautaires qui ont ensanglanté la région à la mi-juillet, des familles d’éleveurs et de fermiers ont aussi fait l’objet d’exécutions sommaires.
L’armée dit que « cette décision a été prise en coordination avec l’ONU et les ONG ». Des « itinéraires sécurisés seront également mis en place » pour permettre le passage des convois des Nations unies et des organisations humanitaires.
Après trois semaines de course, la Grande Boucle s’offre un dernier frisson, dimanche, pour sa dernière étape, avec un passage dans Montmartre. Un clin d’œil à la course en ligne des Jeux olympiques de Paris, il y a un an, marquée par une incroyable ferveur populaire.
L’Australien s’est imposé en 1 h 43 min. La semaine américaine reste belle pour le joueur français, récompensé par son entrée dans le top 50 au prochain classement ATP, lundi, à 26 ans.
Ils se retrouvent au milieu d’une bataille judiciaire, sans indemnités de licenciement ni salaires. Sur fond de soupçons d’escroquerie, le parquet de Caen a fait appel de la liquidation judiciaire de cette PME, filiale du groupe Hamelin, l’un des leaders français du secteur.
Les passagers du bateau, parmi lesquels figurent deux élues de La France insoumise, ont été appréhendés par les autorités israéliennes à leur arrivée au port d’Ashdod, dimanche matin.
L’impasse parlementaire bloque toute formation de gouvernement, laissant le pays face à une incertitude politique inédite depuis son indépendance, en 2008.
Les Forces de soutien rapide contrôlent la majeure partie du Darfour (ouest) et certaines parties du Kordofan (centre-sud) dans ce pays déchiré par une guerre civile depuis plus de deux ans.