Un collectif d’ONG a déposé plainte, mardi 22 juillet, contre le gouvernement belge, au motif que la Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide l’oblige à prendre des mesures de rétorsion contre l’Etat d’Israël.
Au lendemain de l’avancée militaire israélienne dans le secteur de Deir Al-Balah, le ministre des affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, juge qu’il « n’y a plus aucune justification » à « une offensive qui va aggraver une situation déjà catastrophique ».
L’association demande une série d’indemnités pour divers préjudices, notamment une indemnité journalière pour toute la durée de l’immobilisation du véhicule ou encore pour préjudices moraux subis par les consommateurs.
Cette attaque israélienne a causé la mort de 79 personnes, dont des détenus. Entre 1 500 et 2 000 personnes se trouvaient dans ce centre pénitentiaire ultrasécurisé, selon l’ONG.
Le pilote, mort dans l’accident, effectuait un vol d’entraînement, lundi, lorsqu’il s’est écrasé dans la capitale, Dacca, a annoncé le service de presse du gouvernement provisoire.
Une bombe guidée lancée par la Russie a touché dans la nuit un immeuble résidentiel de la ville de l’oblast de Donetsk, selon le conseil municipal. Cinq autres personnes ont été blessées dans cette attaque. Par ailleurs, l’armée ukrainienne a fait état d’attaques nocturnes menées avec quarante-deux drones.
Le ministère de la justice de l’administration Trump avait requis un seul jour de prison contre Brett Hankison, déjà reconnu coupable, en novembre 2024 par un jury d’avoir violé les droits civiques de Mme Taylor.
Socialistes, « insoumis » et écologistes, revigorés par le succès de la pétition demandant l’abrogation du texte – une réussite qui a émergé en dehors des cercles militants et associatifs habituels –, ont promis de maintenir la pression sur le gouvernement.