Le siège central de l’Office anti-stupéfiants avait la conviction qu’un enquêteur de Marseille renseignait Mohamed Djeha, l’un des principaux narcotrafiquants français. Rien n’a été signalé à la hiérarchie locale alors même qu’une opération, qui a tourné au fiasco depuis, visait à arrêter ce même Djeha.
Le Parlement, dominé de façon écrasante par les partisans du chef de l’Etat, a aussi approuvé l’abolition du second tour de scrutin et l’allongement du mandat présidentiel de cinq à six ans. Le vote a suscité de vives réactions dans le pays, l’opposition dénonçant la « mort » de la démocratie.
Qu’elle soit due à un accident ou à une maladie, l’altération du visage peut bouleverser l’identité. Défigurés, ils racontent un cheminement entre douleur et réappropriation de soi.
Le 2 juillet 1985, un train quittait la gare de Conflans-Sainte-Honorine dans une atmosphère de fête, destination Pékin. A bord, près de 400 Français de tous horizons, âgés de 15 à 25 ans, s’apprêtent à franchir le rideau de fer et à traverser les dictatures du bloc de l’Est. Cette formidable expédition raconte l’euphorie des années 1980 et la tentative d’ouverture d’une Chine alors en pleine mutation, qui a brutalement clos ce chapitre, quatre ans plus tard, sur la place Tiananmen.
Les Etats-Unis ont laissé jusqu’au 1ᵉʳ août à près de 80 pays pour négocier des accords commerciaux, sans quoi ils se verraient imposer des taxes pouvant aller jusqu’à 50 %. La première économie mondiale prend un virage protectionniste fort tandis que, dans le reste du monde, les échanges se régionalisent.
Le président américain a signé, jeudi, comme prévu, le décret imposant une hausse des taxes douanières à la plupart des partenaires commerciaux des Etats-Unis. Si plusieurs accords, dont celui avec l’Union européenne, ont été trouvés jusque-là, le Canada, la Suisse, le Brésil et l’Inde ont été sanctionnés par une forte hausse de taux.
Le document, publié le 29 juillet, expose les arguments qui ont conduit l’administration Trump à revenir, mardi, sur une décision-clé datant de 2009 pour la régulation des émissions de gaz à effet de serre, mettant encore un peu plus à mal la lutte contre le changement climatique aux Etats-Unis.
L’agence spatiale russe Roscosmos et la NASA sont convenues de continuer à exploiter ensemble la Station spatiale internationale, a annoncé jeudi le directeur russe après la première rencontre en face-à-face avec son homologue américain depuis 2018.