Sous pression après des propos polémiques sur Rachida Dati enregistrés à son insu, le journaliste estime « impossible d’assurer sereinement le débat hebdomadaire prévu » dans son émission.
Alors que Rachida Dati a réussi à s’imposer comme tête de liste du parti Les Républicains et à faire taire les dissidences, la gauche peine à établir une stratégie d’union pour le scrutin de mars 2026.
Grâce aux réseaux sociaux, Bloquons tout traduit une expression directe des citoyens, mais ce mode de revendications risque aussi d’imposer les discours à l’action, loin des grèves générales du XXᵉ siècle, observe l’historien Gérard Noiriel, dans une tribune au « Monde ».
L’instabilité gouvernementale et les élections législatives anticipées qui pourraient en découler éclipseraient le scrutin déjà mis sous l’éteignoir en 2020 en raison du Covid-19.
Le préfet de police de Paris, Laurent Nuñez, a expliqué, mardi, s’attendre à des « actions coup de poing », des blocages voire des sabotages, mais ne pense pas « que ce mouvement mobilise[ra] la société civile ».