Volker Türk, haut-commissaire de l’Organisation des Nations unies aux droits de l’homme, a appelé lundi la communauté internationale à prévenir un génocide dans ce « cimetière » qu’est devenu le territoire palestinien.
Soupçonné d’avoir sciemment empoisonné 30 patients, dont 12 sont morts, entre 2008 et 2017 à Besançon, l’ancien médecin de 53 ans va faire face à plus de 150 parties civiles. Le verdict du procès qui s’est ouvert lundi sera rendu le 19 décembre.
Au moins deux personnes ont ouvert le feu à un carrefour de Ramot Alon, un quartier de ce secteur de la ville occupé et annexé par Israël. Le Hamas a salué, mais pas revendiqué, « une réponse naturelle aux crimes de l’occupation ».