L’inclusion dans le traité d’un mécanisme permettant de solliciter une compensation si une mesure a une incidence négative sur le commerce pourrait restreindre la capacité de l’Europe à émettre de nouvelles règles environnementales ou sanitaires.
Ancienne présidente du Fonds mondial pour la nature (WWF) en France, Monique Barbut, qui a pris part à de nombreux sommets sur l’environnement, depuis celui de Rio en 1992, est rompue à ces négociations internationales. Beaucoup moins aux arcanes de la politique française.