« Les seigneurs de la tech » (6/6). Alors que les tensions internationales se multiplient, la deuxième élection de Donald Trump a ouvert les vannes d’un rapprochement au pas de charge entre les géants de la Silicon Valley et l’armée américaine.
Le plus grand groupe de ce genre sur l’application de messagerie a depuis été supprimé, mais des groupes dérivés plus petits restent actifs. « Le partage de contenus pornographiques non consentis est strictement interdit par les règles d’utilisation de Telegram », rappelle l’entreprise.
L’éviction pour « faute grave » du patron du groupe de presse régional, poussé vers la sortie par la famille Lemoîne, a été entérinée, vendredi 25 juillet, à l’issue de deux conseils d’administration. Le dirigeant de 60 ans dit vouloir contester son licenciement aux prud’hommes.
Le coureur néerlandais de l’équipe Ineos Grenadiers a signé, vendredi, son deuxième succès lors de cette Grande Boucle, en s’imposant à La Plagne (Savoie), devant Jonas Vingegaard et Tadej Pogacar.
Un haut responsable gouvernemental américain et ancien avocat de Donald Trump rencontre à nouveau, vendredi, Ghislaine Maxwell en Floride, où elle purge sa peine de prison. L’administration Trump et ses alliés font par ailleurs feu de tout bois pour se dépêtrer de cette affaire.
Le Nord-Kordofan est le théâtre d’affrontements depuis plusieurs mois. Les paramilitaires tentent d’encercler la capitale régionale, El-Obeid, dernier lien routier entre Khartoum et la région occidentale du Darfour.
Le cap des 1 000 milliards de dirhams de capitalisation a été franchi dans un climat d’euphorie marqué par le retour des petits porteurs et la perspective de la Coupe du monde de football en 2030.
Bien qu’elles jouent à domicile, les Lionnes de l’Atlas ne partent pas favorites, samedi, face aux Super Falcons, qui possèdent le record du nombre de victoires en Coupe d’Afrique des nations féminine.
En novembre 2023, deux juges d’instruction parisiennes spécialisées avaient émis un mandat d’arrêt pour complicité de crimes contre l’humanité et de crimes de guerre contre Bachar al-Assad pour les attaques chimiques imputées au pouvoir syrien en 2013.