Lors d’un forum à Rome, la présidente du conseil italien, Giorgia Meloni, et le président algérien, Abdelmadjid Tebboune, ont affiché leur bonne entente sur fond de signature d’une quarantaine d’accords bilatéraux, notamment dans le secteur énergétique.
Ces pourparlers entre une délégation iranienne et des émissaires français, britanniques et allemands interviennent à l’heure où les trois puissances européennes menacent de rétablir les sanctions contre Téhéran.
En 2025, un solde naturel de population négatif « est de l’ordre du possible », a estimé l’Insee. Ce phénomène était attendu des démographes mais « il se produit plus tôt que prévu », en raison d’un nombre de naissances plus faible qu’anticipé, a-t-il ajouté.
Des combats d’une rare intensité ont éclaté, jeudi, à la frontière entre les deux pays, faisant au moins 16 morts. Une réunion d’urgence du Conseil de sécurité de l’ONU est programmée vendredi.
Le groupe américain va notamment lancer une plateforme de financement pour soutenir les start-up axées sur l’IA dans les secteurs de l’agriculture, de la santé et de l’éducation.
Condamné à la perpétuité en 1987 pour « complicité d’assassinats », l’ancien membre des Forces armées révolutionnaires libanaises, libérable depuis 1999, a finalement obtenu de la justice sa sortie de prison. Il est en route vers son pays d’origine.
Les ventes de vins et spiritueux de LVMH ont reculé de 8 % à 2,59 milliards d’euros, une contre-performance que le groupe explique par la baisse de la consommation et la guerre commerciale.
Le tracé de la dernière étape de montagne de la 112ᵉ édition de la Grande Boucle, entre Albertville et La Plagne, en Savoie, a été modifié en raison de la contamination d’un troupeau de bovins sur le parcours.
Le militant libanais propalestinien, condamné dans les années 1980 pour complicité d’assassinats de diplomates américain et israélien, est sorti de prison avant de prendre un vol à destination de Beyrouth, vendredi matin.
Censé incarner le trentenaire urbain et diplômé, sacrifié économiquement au profit des étrangers et des « boomeurs », le phénomène numérique de « Nicolas qui paie » est repris par plusieurs responsables politiques.