Des manifestants demandent régulièrement la démission de M. Mazon, dénonçant sa gestion de la crise et son manque de transparence sur son emploi du temps le jour de la tragédie, le 29 octobre 2024.
Fin janvier, la ministre de la culture a assuré qu’elle mènerait à son terme « d’ici [à] l’été » cette réforme qui prévoit la création d’une holding, France Médias, chapeautant France Télévisions, Radio France, France Médias Monde et l’Institut national de l’audiovisuel. Ce projet est fortement contesté par les syndicats de l’audiovisuel public.