Autour de son président, Louis Mapou, une délégation du gouvernement de l’archipel présente un plan de sauvegarde, de refondation et de reconstruction, qui sera défendu vendredi 15 novembre à l’Elysée et lundi 18 novembre à Matignon.
Friedrich Merz, chef de file des conservateurs de la CDU et probable prochain chancelier, n’exclut pas de modifier la Constitution pour autoriser l’Allemagne à accroître ses dépenses. Le frein à l’endettement est accusé de limiter les investissements dont le pays a besoin.