Réfugiée en Belgique depuis 2002, l’ancienne commandante du Front national patriotique du Liberia est soupçonnée de crimes de guerre et contre l’humanité commis pendant la première guerre civile, entre 1989 et 1996.
L’homme, condamné pour deux meurtres, a été tué à Qala-e Naw, capitale de la province de Badghis. Son exécution porte à onze le nombre de condamnés tués publiquement depuis le retour des talibans au pouvoir, en 2021. Un chiffre nettement en baisse en comparaison au premier régime taliban, entre 1996 et 2001.
Présenté par des députés macronistes, le document suggère de mettre fin au statut unique conféré aux Algériens en matière de circulation, de séjour, d’emploi et de protection sociale.
Au total, 4 823 victimes, dont 89 % étaient des femmes, ont pu être prises en charge par les 44 associations qui ont répondu à l’enquête annuelle publiée jeudi.