La guerre commerciale généralisée et erratique que le président des Etats-Unis a lancée installe un sentiment de pagaille, sans avoir aucune chance de régler les problèmes, pourtant bien réels, du pays, estime Stéphane Lauer, éditorialiste au « Monde », dans sa chronique.
Alors que les négociations pour la formation d’un gouvernement de coalition n’ont pas encore commencé, le président de l’Union chrétienne-démocrate, parti arrivé en tête des législatives du 23 février, s’est déjà lancé dans plusieurs chantiers de grande ampleur dans son pays et au-delà.
Dominateurs mais inefficaces en première période, les Niçois ont ensuite été dépassés à domicile par des Lyonnais conquérants (2-0). Nice manque ainsi l’occasion de ravir la deuxième place du championnat à Marseille.
Cet ancien directeur de la Banque du Canada et de la Banque d’Angleterre de 59 ans est un novice en politique. « Les Américains veulent notre pays (…). Nous ne pouvons pas laisser Trump gagner », a-t-il affirmé après son élection.
« L’économie de la guerre ». L’Ukraine est devenue le premier acheteur d’armes, sur un continent européen poussé au réarmement par la menace russe. Les Etats-Unis restent de loin le fournisseur numéro un du marché international de la guerre.
Touchée par une tempête vendredi, la ville portuaire située à 600 kilomètres au sud de Buenos Aires a reçu l’équivalent de près d’une année de pluie en quelques heures. Le président argentin, Javier Milei, a décrété trois jours de deuil national.