L’augmentation des dépenses consacrées à la défense, qui devraient passer de 2 % à 3,5 % du PIB, va soutenir l’activité économique. Mais en ravivant les contraintes d’offre et d’approvisionnement, elle risque aussi de relancer la hausse des prix.
La guerre commerciale généralisée et erratique que le président des Etats-Unis a lancée installe un sentiment de pagaille, sans avoir aucune chance de régler les problèmes, pourtant bien réels, du pays, estime Stéphane Lauer, éditorialiste au « Monde », dans sa chronique.
Alors que les négociations pour la formation d’un gouvernement de coalition n’ont pas encore commencé, le président de l’Union chrétienne-démocrate, parti arrivé en tête des législatives du 23 février, s’est déjà lancé dans plusieurs chantiers de grande ampleur dans son pays et au-delà.
Dominateurs mais inefficaces en première période, les Niçois ont ensuite été dépassés à domicile par des Lyonnais conquérants (2-0). Nice manque ainsi l’occasion de ravir la deuxième place du championnat à Marseille.
Cet ancien directeur de la Banque du Canada et de la Banque d’Angleterre de 59 ans est un novice en politique. « Les Américains veulent notre pays (…). Nous ne pouvons pas laisser Trump gagner », a-t-il affirmé après son élection.
« L’économie de la guerre ». L’Ukraine est devenue le premier acheteur d’armes, sur un continent européen poussé au réarmement par la menace russe. Les Etats-Unis restent de loin le fournisseur numéro un du marché international de la guerre.