S’il n’est accompagné par aucun effort diplomatique significatif, le succès incontestable obtenu le 13 octobre par Donald Trump, avec la libération des otages israéliens et l’arrêt des bombardements sur Gaza, ne sera qu’un retour à la situation qui prévalait à la veille du 7 octobre 2023.
« Quatre véhicules blancs avec des marquages » ont été touchés par des drones et l’artillerie russe, rapporte le gouverneur de l’oblast de Kherson. Aucun blessé n’est à déplorer, mais plusieurs tonnes d’aide humanitaire ont été détruites.
Les autorités israéliennes anticipaient que tous les otages morts ne seraient pas restitués lundi, lorsque les 20 derniers otages vivants et les dépouilles de quatre autres ont été rapatriés.
La junte du capitaine Ibrahim Traoré est régulièrement accusée de réprimer des personnalités considérées comme hostiles, certaines étant mobilisées de force pour combattre les djihadistes.
Une vingtaine de pays se sont rangés derrière le président américain, soucieux de mettre en œuvre les étapes à venir de la reconstruction et de la gouvernance de la bande de Gaza, gage de paix durable.
Le pasteur Jin Mingri, fondateur de l’Eglise de Sion, non reconnue par le gouvernement chinois, et au moins 20 autres ecclésiastiques de son mouvement ont été placés en détention.
La chercheuse Amélie Zima expose, dans une tribune au « Monde », les solutions dont dispose l’Alliance atlantique face à la violation de l’espace aérien européen par des engins russes, afin d’adopter une réponse ferme face à la Russie, sans pour autant entraîner d’escalade.
Seize organisations ont demandé la suspension de l’accord « One in, one out », qui prévoit un échange de migrants entre Paris et Londres pour dissuader les tentatives de traversée de la Manche.
Le président américain a savouré son triomphe après un échange d’otages et de détenus entre Israël et le Hamas. Sans lever toutes les zones d’ombre autour d’un plan de paix imposé au forceps.
Le président américain a été ovationné, lundi, par le Parlement israélien, après la libération des 20 derniers otages encore vivants. S’il a salué le premier ministre, Benyamin Nétanyahou, un « homme au courage exceptionnel », il a également souligné la difficulté qu’il a eue à le faire sortir de sa stratégie meurtrière.
La législation signée lundi par le gouverneur démocrate, Gavin Newsom, oblige les plateformes à rappeler aux utilisateurs qu’ils interagissent avec un chatbot et non avec un humain et à orienter les utilisateurs vers des services d’urgence en cas d’idées suicidaires.
L’idiot regarde le doigt quand on lui montre la lune, mais Donald Trump a, lui, bien compris que l’intelligence artificielle va doper l’économie américaine sous son second mandat, explique, dans sa chronique, Arnaud Leparmentier, journaliste au « Monde ».
Il s’agira de la deuxième fois que M. Lopez Aliaga, se présentera à la présidentielle. Il est porté dans les sondages par son discours de fermeté et ses mesures radicales contre le crime organisé.
Les vols à la tire de téléphones, la plupart commis par des hommes à vélo électrique, ont explosé dans la capitale britannique. Plusieurs dizaines de personnes ont été arrêtées après une enquête de près d’un an qui a mené jusqu’en Chine.
Dans l’est de République démocratique du Congo, le village de Mukondo a été la cible de l’ADF, un groupe affilié à l’Etat islamique. Un massacre qui souligne l’impuissance des autorités à protéger la population du Nord-Kivu et de l’Ituri.
Deux cent cinquante détenus de longue durée, la plupart condamnés à la perpétuité, sont sortis des prisons de l’Etat hébreu après que le mouvement islamiste a relâché les vingt otages israéliens encore vivants. Plus de 1 700 autres Palestiniens ont aussi été élargis.
Outre la vérification de l’âge, la loi impose entre autres aux entreprises d’afficher régulièrement des messages pour rappeler à l’utilisateur que son interlocuteur est une machine et de prévoir une détection des idées suicidaires.
« Je vais poursuivre le combat, mais je ne vais pas le poursuivre seul, je dois travailler avec tous les exilés » cubains, a déclaré l’opposant à son arrivée à Miami lundi. Après de nombreux séjours en prison, il était à nouveau derrière les barreaux dans son pays depuis avril.
Le ministère des affaires étrangères a rappelé qu’Oslo n’intervenait pas dans l’attribution du prix Nobel et « souhaité maintenir le dialogue ouvert » avec Caracas.
Deux mois après l’entrée en vigueur d’une taxe douanière massue de 39 % sur de nombreux produits suisses d’exportation, les entreprises helvétiques touchées réagissent en ordre dispersé.